Oui mais à partir de là tu délires sur une impression des astéroïdes.
Quant à la glace de l'astéroïde transformée en carburant
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Oui mais à partir de là tu délires sur une impression des astéroïdes.
Quant à la glace de l'astéroïde transformée en carburant
Dernière modification par JPL ; 31/01/2013 à 14h50.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Ça par contre, à la défense de l'intervenant, c'est ce que les sociétés qui se proposent d'évaluer l'exploitation minière des astéroïdes essayent de nous faire croire : tirer l'eau des astéroïdes pour la consommation de nos astronautes et utiliser l'énergie solaire abondante pour pratiquer l'électrolyse de cette eau pour en tirer un carburant cryogénique LOX/LH2.
Cordialement.
Bonjour,
Il y a aussi DSI et elle veut le faire à partir de la matière des astéroïdes
c'est terriblement économique donc sa fait sauter un verrou qui nous empêchait de conquérir en masse l'espace.
DSI is developing a patent-pending breakthrough in 3D printers able to output complex metal components using a simple process with few moving parts. The MicroGravity Foundry (MGF) will enable early utilization of asteroid material to produce structural parts, fasteners, gears, and other components to repair in-space machinery and to create new space infrastructure, such as solar power satellites. A version of the MGF process will be licensed to terrestrial users; the underlying process is more straightforward than those now employed to digitally print metal components.
N'est il pas plus rentable de craquer H2O avec un four car dans l'espace l'isolation par le vide est gratuite et il n'y a qu'a isoler le rayonnement avec un matériaux léger réfléchissant pour atteindre de haute température avec peut d'énergie ?Ça par contre, à la défense de l'intervenant, c'est ce que les sociétés qui se proposent d'évaluer l'exploitation minière des astéroïdes essayent de nous faire croire : tirer l'eau des astéroïdes pour la consommation de nos astronautes et utiliser l'énergie solaire abondante pour pratiquer l'électrolyse de cette eau pour en tirer un carburant cryogénique LOX/LH2.
Cordialement.
Pour remplir les cartouches de l'imprimante 3D MGF on vaporise avec un laser comme celui de curiosity et on aspire le plasma dans un tube.
Le tri est alors automatique, les plus léger d'abord.
Dans l'espace il y a le vide mais aussi de très basse température
L'industrie utilisant le vide et la supraconductivité devra donc délocaliser sa production
Et comment tu aspires dans le vide ?Pour remplir les cartouches de l'imprimante 3D MGF on vaporise avec un laser comme celui de curiosity et on aspire le plasma dans un tube.
Le tri est alors automatique, les plus léger d'abord.
Dans l'espace il y a le vide mais aussi de très basse température
L'industrie utilisant le vide et la supraconductivité devra donc délocaliser sa production
en tout cas si on veut exploiter les astéroïdes il va falloir trouver des véhicules plus efficaces que les actuels : la sonde Near a mis 5 ans pour se poser sur Eros et n'est pas revenue, et la sonde japonaise Hayabusa a fait l'aller-retour vers Itokawa en 7 ans (d'après wiki)
Bonsoir
Je me suis posé la même question après mon post !
Après réflexion un plasma devrait pouvoir être séparé de ses électron par un champs magnétique et on récupère les ions avec un filtre de masse
bin voyons, de la spectro de masse a l'echelle industrielle....pourquoi n'y avait on pas penser avant.....
A titre d'information, la quantite de matiere transformee en plasma a chaque tir de Curiosity se situe entre 10-9 et 10-11 grammes de roches.
Un LA-ICP normal transforme au mieux 0.005mm3/s en plasma, en consommant quelques litres d'argon a la minute. Je suis sur que pour une qualite industrielle, on peut pousser la torche plasma a 1 mm3/s...on est encore loin de volumes qui vont rapporter du pognon, ca fait 250kg de fer par an...
T-K
Dernière modification par Tawahi-Kiwi ; 02/02/2013 à 08h00.
If you open your mind too much, your brain will fall out (T.Minchin)
Bonjour,
Merci de cet éclairage Tawahi-Kiwi.
L'objectif n'est pas d'extraire des matière première, c'est d'imprimer des objets finis.
La nanotechnologie ne consomme pas beaucoup de matière et elle permet de diminuer le poids et la taille des objets.
Il faudra réinventer l'industrie, du petit vers le gros.
On imprime des nanorobots qui vont s'assembler et reproduire une imprimante comme les abeilles avec leur reine
Ils essaimerons sur la lune puis sur mars et on attendra qu'il aient ouvert le premier hôtel pour touristes humains.
On en sait rien du tout si c' est ''prétendument économique''.Bonjour,
Il y a aussi DSI et elle veut le faire à partir de la matière des astéroïdes
c'est terriblement économique donc sa fait sauter un verrou qui nous empêchait de conquérir en masse l'espace.
DSi l' affirme sur le papier.
Futura science n' est pas un forum de Science Fiction.
Dernière modification par Moinsdewatt ; 02/02/2013 à 12h46.
Bonjour,
Quelques questions pour EauPure :
1) où en est-on dans la nanotechnologie (taille, poids des nanorobots actuels) ?
2) comment les nanorobots spatiaux sont-ils alimentés en énergie (électrique et propulsive) ?
3) a-t-on déjà exploré ne serait-ce que le début d'un commencement des technologies nécessaires à de tels nanorobots ?
Cordialement.
Dernière modification par Geb ; 02/02/2013 à 13h19.
Cette histoire de nanorobots spatiaux ne repose sur strictement rien de concret.
Salut, GebQuelques questions pour EauPure :
1) où en est-on dans la nanotechnologie (taille, poids des nanorobots actuels) ?
2) comment les nanorobots spatiaux sont-ils alimentés en énergie (électrique et propulsive) ?
3) a-t-on déjà exploré ne serait-ce que le début d'un commencement des technologies nécessaires à de tels nanorobots ?
1) Difficiel de répondre car la pluspart des recherches sont , si non classifiées, du moins se font de manière discrète. D'après ce qui transpire, on peut dire que ce n'est pas très avancé, en tout cas, pas au point de permettre une exploitation économique de l'espace.
2) Il n'est pas déraisonable de penserqu'ils seraient alimentés par des "nano-piles" (au ion litium) ou des "nano-photopiles". Les lois d'échelle les avantagent: leur poids est proportionnel au volume (en gros), donc au cube du rapport d'échelle, alors que les surfaces de leurs éléments sont proportionnelles au carré du rapport d'échelle, de sorte que le rapport surface/masse est inversement proportionnel au rapport d'échelle: ils disposeraient, donc, en principe, d'un rapport puissance/masse d'autant plus élevé qu'ils sont plus petits. Ceci est très général: c'est ce qui permet aux oiseaux mouches (comme aux insectes) de faire facilement du vol au point fixe de "longue" durée.
3) ça m'étonnerait vivement!! Surtout pour des applications spatiales...
En ce qui concerne l'exploitation minière des astéroïdes, on peut se poser la question de l'efficacité de nano-robots: ne fût-ce que pour décortiquer un astéroïde d'un millions de tonnes (un tout petit cailloux !!!) il faudrait beaucoup de nano !! Bien sûr, on prévoit que "un jour" ils seront à même de se reproduire (machines de Von Neumann) mais sans doute pas avant la fin du siècle.
Cordialement
Ne jetez pas l’anathème : il peut servir !
Bonjour,
Serions-nous entrain d'influencer sur la stabilité de l'univers ?
Je me réfère à l'idée que nous n'avons toujours pas de thérorie concrète, aboutie, sur les systèmes gravitationnels à n corps !
Toutefois, nous savons que sur un modèle à 3 corps, il est possible que d'infimes modifications du système puissent perturber ce système.
N'existe-t-il pas une organisation des échanges d'information au sein d'un système, en assurant son équilibre, et sommes nous en mesure de prédire quelles sont
les conséquences de nos exploitations, dans le contexte de ce forum précisement, en ce qui concerne l'exploitation minière des astéroïdes, planètes, enfin ctous ce qui concerne l'environnement externe de notre planète ?
Pour ma première intéraction sur ce forum, je solicite votre indulgence, dans le cas où je devais être hors sujet ou totalement à côté de la plaque. En effet, j'aborde souvent ce genre de question avec ce qui me reste comme liaisons neuronales, de ce fait, je suis surtout très intéressé par vos réponses.
Celles-ci susceptibles au mieux de les entretenir, vous en remercie avec tout le coeur d'un homme qui sait pourant si bien que la sagesse rend fou !
VahaKaunaAtaHai
Effectivement. C'est bien là où je voulais en venir.
Effectivement. Une fois n'est pas coutume, mais je suis tout à fait d'accord avec toi. Je me suis un peu documenté sur la robotique et je dois bien avoué que même en cherchant, je n'ai rien trouvé de concret en matière de robots autonomes adaptés à l'usage dont parlait EauPure.
Parmi les sources d'inspirations des chercheurs en robotique, il y a par exemple :
La reproduction cellulaire ou moléculaire (de l'ADN) :
- Self-replication from random parts
S. Griffith, D. Goldwater, J. M. Jacobson, Nature 437, 636 (2005).
- Toward a scalable modular robotic system
S. Murata, H. Kurokawa, H. IEEE Robot. Autom. Mag. 14, 71 (2007).
- Evolved and Designed Self-Reproducing Modular Robotics
V. Zykov, M. Efstathios, M. Desnoyer, H. Lipson, IEEE Trans. Robot. 23, 308 (2007).
Les myxomycètes :
- A modular robot that exhibits amoebic locomotion
A. Ishiguro, M. Shimizu, T. Kawakatsu, Robot. Auton. Syst. 54, 641 (2006).
Les insectes marchants :
- Stride Period Adaptation of a Biomimetic Running Hexapod
J. G. Cham, J. K. Karpick, M. R. Cutkosky, Int. J. Robot. Res. 23, 141 (2004).
- Insect walking is based on a decentralized architecture revealing a simple and robust controller
H. Cruse, V. Dürr, J. Schmitz, Philos. Trans. R. Soc. London Ser. A 365, 221 (2007).
Les insectes volants :
- Biologically plausible visual homing methods based on optical flow techniques
A. Vardy, R. Moller, Connect. Sci. 17, 47 (2005).
- Design, fabrication, and analysis of a 3DOF, 3cm flapping-wing MAV
R. J. Wood, in Proceedings of the International Conference on Intelligent Robots and Systems (San Diego, CA, 2007), pp. 1576–1581.
Les araignées :
- Distributed mechanical feedback in arthropods and robots simplifies control of rapid running on challenging terrain
J. C. Spagna, D. I. Goldman, P.-C. Lin, D. E. Koditschek, R. J. Full, Bioinspiration Biomimetics 2, 9 (2007).
Les homards :
- Biomimetic approaches to the control of underwater walking machines
J. Ayers, J. Witting, Philos. Trans. R. Soc. London Ser. A 365, 273 (2007).
Les pieuvres :
- Kinematics for multisection continuum robots
B. A. Jones, I. D. Walker, IEEE Trans. Robot. 22, 45 (2006).
Les poissons :
- Morphological computation for adaptive behavior and cognition
R. Pfeifer, F. Iida, G. Gomez, Int. Congress Ser. 1291,22 (2006).
Les salamandres :
From swimming to walking with a salamander robot driven by a spinal cord model
A. J. Ijspeert, A. Crespi, D. Ryczko, J.-M. Cabelguen, Science 315, 1416 (2007).
Les serpents :
- Snakes and strings: new robotic components for rescue operations
S. Hirose, E. F. Fukushima, Int. J. Robot. Res. 23, 341 (2004).
Les geckos :
- Microscale and nanoscale robotics systems [grand challenges of robotics]
M. Sitti, IEEE Robot. Autom. Mag. 14, 53 (2007).
Les souris :
- On the influence of morphology of tactile sensors for behavior and control
M. Fend, S. Bovet, R. Pfeifer, Robot. Auton. Syst. 54, 686 (2006).
Les chiens :
- Morphological computation for adaptive behavior and cognition
R. Pfeifer, F. Iida, G. Gomez, Int. Congress Ser. 1291,22 (2006).
- Adaptive dynamic walking of a quadruped robot on natural ground based on biological concepts
H. Kimura, Y. Fukuoka, A.-H. Cohen, Int. J. Robot. Res. 26, 475 (2007).
Les primates (singes et humains) :
- Socially intelligent robots: dimensions of human–robot interaction
K. Dautenhahn, Philos. Trans. R. Soc. London Ser. B 362, 679 (2007).
- From humanoid embodiment to theory of mind
Y. Kuniyoshi et al., in Embodied Artificial Intelligence, F. Iida, R. Pfeifer, L. Steels, Y. Kuniyoshi, Eds. (SpringerVerlag, Berlin, 2004), pp. 202–218.
- Walking: technology and biology
F. Pfeiffer, H. Inoue, Eds., Philos. Trans. R. Soc. London Ser. A 365, 3 (2007).
Il y a évidemment très peu de ces concepts qui sont potentiellement adaptables pour l'application qui fait l'objet de cette discussion. Aucun ne fait partie de la catégorie des nanorobots, ni même des microrobots, mais plutôt, si l'on en croit Wikipédia (pour ce que ça vaut), de la catégorie des petits robots :
Ce que je tenais à critiquer ici, c'est le fait de faire usage du terme nanorobot comme si c'était un "mot magique". Pour les raisons que tu as déjà mentionné, il n'y aurait pratiquement aucun avantage à utiliser des nanorobots (c'est-à-dire, des robots d'une taille de moins de 1 micromètre) s'ils ne sont pas capables de se reproduire par eux-mêmes. Un essaim de minirobots (ou de petits robots) capables d'accomplir l'exploitation minière d'un astéroïde serait déjà fabuleux.- un nanorobot a des dimensions égales ou inférieures à 1 micromètre, ou permet de manipuler des composants sur la plage de 1 à 1000 nm de taille.
- un microrobot aurait des dimensions caractéristiques inférieure à 1 millimètre,
- un millirobot aurait des dimensions moins d'un cm (il se mesure en millimètres),
- un minirobot aurait des dimensions inférieures à 10 cm,
- un petit robot aurait des dimensions inférieures à 100 cm.
C'est effectivement une possibilité. Personnellement, je pensais à une technologie développé au Rensselaer Polytechnic Institute et présentée dans un article du 13 août 2007 :
Beyond Batteries: Storing Power in a Sheet of Paper
Quant à savoir si de tels dispositifs d'alimentation électrique seraient radio-résistants, c'est une autre histoire.
En tout cas, de ce que j'ai pu lire, le seul concept exploré qui a ma connaissance fait à la fois référence à la microrobotique et même à la nanorobotique ainsi qu'à des applications spatiales potentielles, c'est un robot adapté du gecko (voir référence susmentionnée) :En ce qui concerne l'exploitation minière des astéroïdes, on peut se poser la question de l'efficacité de nano-robots: ne fût-ce que pour décortiquer un astéroïde d'un millions de tonnes (un tout petit cailloux !!!) il faudrait beaucoup de nano !! Bien sûr, on prévoit que "un jour" ils seront à même de se reproduire (machines de Von Neumann) mais sans doute pas avant la fin du siècle.
Wall-Climbing Robot
Cordialement.Such robots could, among other applications, be used to inspect the hulls of spacecraft for damage, their stickiness ensuring that they would stay attached.
Dernière modification par Geb ; 03/02/2013 à 14h08.
BonjourSerions-nous entrain d'influencer sur la stabilité de l'univers ?
Je me réfère à l'idée que nous n'avons toujours pas de thérorie concrète, aboutie, sur les systèmes gravitationnels à n corps !
Toutefois, nous savons que sur un modèle à 3 corps, il est possible que d'infimes modifications du système puissent perturber ce système.
N'existe-t-il pas une organisation des échanges d'information au sein d'un système, en assurant son équilibre, et sommes nous en mesure de prédire quelles sont
les conséquences de nos exploitations, dans le contexte de ce forum précisement, en ce qui concerne l'exploitation minière des astéroïdes, planètes, enfin ctous ce qui concerne l'environnement externe de notre planète ?
Les systèmes comprenant de multiples corps en interaction gravitationnelle peuvent être instables mais il s'agit d'instabilités à développement très lent. L'orbite de la Terre est stable à raisonnablement long terme (des milliards d'années) mais sa position sur son orbite est cahotique: on ne sait pas oû elle se trouvera dans un million d'années !! Pas de soucis à se faire: nos descendants en seront simplement quittes pour remettre les calendriers à jour !! L'exploitation minière des astéroïdes n'entraîne aucun risque en soi. Mais, bien sûr, on peut, en principe, modifier volontairement l'orbite d'un astéroïde pour le mettre en trajectoire de collision (des années plus tard !!) Comme, en pareil cas, on peut toujours corriger, ce ne sera qu'un problème de surveiilance !!
D'un point de vue général, l'exploitation des métaux lourds est généralement très polluante, ce qui justifierait de l'exporter dans l'espace qui, lui, est une poubelle sans fond!! Même si on ballançait, dans la photosphère solaire, une quantité de déchets égale à la masse de la Terre 1/250000 de celle du soleil), c'est à peine si d'éventuels extra-terrestres, observant nôtre étoile, noteraient une "variation faible, locale et transitoire de métallicité". En outre, dans l'espace, l'énergie est disponible, pratiquement sans limite: 1,6 kw/m2 au voisinnage de l'orbite de la Terre. Plus de 10 kw/m2, auprès de Mercure. Naturellement, pour que ces rèves se réalisent, il faut disposer de moyens d'accès à l'espace plus performants que les moyens actuels (ce qui est tout à fait possible): rendez-vous vers la fin du siècle !!!
Cordialement
Ne jetez pas l’anathème : il peut servir !
Bonsoir,
Désolé de vous avoir fait chercher, je me suis trompé une abeille n'est pas un nanorobot mais un mini robot
Peu de recherche car ce projet d'exploitation minière des astéroïdes est récent.
Donc 250 kg par an avec un bon laser
Meilleur que celui de curiosity mais celui ci semblait aussi impossible en 2004 qu'un minirobot imprimé comportant un laser et capable d'envoyé les ions qu'il récolte à son imprimante de mère par un champs magnétique.
Gageons qu'avec un peu de réflexion sur ce nouveau problème les chercheurs trouverons des solutions tirant partie du vide et de l’apesanteur. L'ISS servira a tester ça lui donnera plus de légitimité
Il peut tirer un puissant rayon laser dont l'énergie libérée est suffisante pour transformer la matière en un gaz chauffé à près de 10 000 ºC. Ce nuage de vapeur se met alors à briller. Il ne reste plus qu'à analyser la lumière par un spectromètre pour connaître la composition chimique des roches. "Nous étions à la limite de ce qui est faisable techniquement", indique Sylvestre Maurice, coresponsable de l'instrument.
Au début de sa conception, en 2004, le laser, fabriqué par le groupe français Thales, pesait 10 kg et nécessitait du 220 volts. Cinq ans plus tard, le poids est tombé à 700 grammes et le besoin électrique à 28 volts. Il a aussi passé une batterie de tests de résistance. Vibrations, chocs (jusqu'à 2 000 fois son poids au moment de l'"amarsissage"), écart de températures (pouvant aller de - 80 ºC à plus de zéro degré sur Mars), poussières, variation de pression... "Parfois ça a cassé...", se souvient Sylvestre Maurice.
A quelques mois de la fin, l'ensemble mesurait encore 2 cm de trop et ne tenait pas dans la coque. A force d'ingéniosité, 1,5 cm a été gagné et les ingénieurs américains ont modifié leurs dessins pour que tout rentre.
On ne sait pas encore tout ce que la nano nous réserve
Par exemple
La frontière est sans fin, les défis immenses ... La technologie est prête. Donc, nous allons commencer! (DSI)Des chercheurs de l'Université de Buffalo sont parvenus à produire de grandes quantités d'hydrogène à partir de nanoparticules de silicium. Ils ont montré que des nanoparticules de silicium de 10 nm peuvent produire 150 fois plus d'hydrogène que des nanoparticules de silicium de 100 nm, et 1.000 fois plus que le silicium massif.
Dernière modification par JPL ; 03/02/2013 à 18h13. Motif: Lien remplacé par l'actualité correspondante de FS
et bien j' espère que vous avez lu en entier sans sauter de lignes , car il y est bien dit :
Pas de miracles.À nouveau, il ne s’agit pas d’une source d’énergie primaire, car il a fallu dépenser de l’énergie pour produire ces nanoparticules.
Dernière modification par Moinsdewatt ; 03/02/2013 à 20h34.
L'idee date des annees 70, comme a peu pres tout en matiere de spatial.Peu de recherche car ce projet d'exploitation minière des astéroïdes est récent.
Dans les bouquins du siecle passe, on a : Mining the Sky: Untold Riches from the Asteroids, Comets, and Planets de John Lewis qui fait le point sur le sujet.
Que les choses soient bien claires, ce que tu evoquais dans ton message precedent, c'est de la spectro de masse a une echelle industrielle avec un laser. Cela n'est pas possible, on est limite a ces quelques centaines de kilos. .... En fait apres, reflexion, on peut theoriquement maintenir un plasma stable sous forme de torche dans l'espace mais je reste dubitatif sur le fait que l'on puisse agrandir la capacite de ces instruments la. Je suis a peu pres certain qu'il y a des techniques moins gourmantes en energies et plus facile a mettre au point.
Par contre, pulveriser n'importe quoi avec un laser, les militaires le font tres bien, mais ce ne sera ni un plasma, et ce n'est sujet a aucune separation elementaire.
Tu confonds ce qui est "a la limite de la technique" et sur lequel on peut eventuellement elaborer ce que le futur nous reserve et des idees qui ne reposent sur pas grand chose de concret et ou on peut raconter a peu pres n'importe quoi. Je ne dis pas que c'est impossible, juste que cela reste de la fiction tant qu'a present.Meilleur que celui de curiosity mais celui ci semblait aussi impossible en 2004 qu'un minirobot imprimé comportant un laser et capable d'envoyé les ions qu'il récolte à son imprimante de mère par un champs magnétique.
Au dela de ca, la technique utilisee par Curiosity sera totalement inutile pour de l'exploitation. Le plasma, tres fugace, n'est jamais collecte, seul son spectre d'emission l'est.
T-K
Dernière modification par Tawahi-Kiwi ; 04/02/2013 à 00h49.
If you open your mind too much, your brain will fall out (T.Minchin)
Bonjour,
Merci Tawahi-Kiwi de me ramener sur terre
Puis je encore quelques questions ?
Jusqu’où pourra on réduire la taille d'un laser à fibre de 10 w ,mini, micro ?
Avec ce laser peut on dans le vide vaporiser toute matière ? (dans le vide ça me semble moins énergivore)
Peut on faire un mini canon à ions ( dans le vide il est plus efficace)
c'est pour mes abeilles de l'espace
Peut être devriez créer un nouveau sujet sur le projet de DSI car je crois plus a une transformation des matériaux à la mine qu'une exportation de brut(e) vers la terre
Ainsi l’échelle industrielles est à reconsidérer (on fait du miel industriel)
DSI dit savoir faire l'imprimante mais ne parle pas des cartouches de matière.
Puisqu'un laser ne peut produire suffisamment vite l'idée est de multiplier les lasers avec des minirobot qui envoient leur miel à la ruche avec un canon à ion.
Si cela est possible alors quand il y a assez de miel la ruche en imprime une autre qui est assemblé par des mini robots spécialisé et précédemment imprimé.
C'est une industrialisation qui ressemble à la vie.
Bonjour,
Ce sujet a déjà démarré dans http://forums.futura-sciences.com/ac...ml#post4372702
Mais comme il privilégie l'utilisation spatiale de la matière extraite avec une impression 3D il est différent.
SourceUne tonne de roche typique astéroïde vaut 1 million de dollars orbite - mais seulement $ 4000 sur la Terre», a déclaré Mark Sonter, un consultant minier en Australie et un membre du conseil d'administration de DSI.
Une nouvelle vidéo et un article en français ici
Ça reste le même sujet:
Les fils sont donc fusionnés.Exploitation minière des astéroïdes
Il est inutile de faire un fil pour chaque utilisation ou destination possible, sinon, on peut en ouvrir un pour chaque molécule exploitée.
Bonjour,
L'ESA veux la lune
http://www.humanoides.fr/2013/02/03/...mprimee-en-3d/
Comme mon message précédent semblai simpliste et a été supprimé je précise
Si le mini robot envoie sa récolte avec un canon à ion il a déjà une partie d'un moteur ionique.
Tout les ions ne convenant pas pour le moteur il peu conserver les ions qui conviennent et ne sont pas nécessaire à l'imprimante.
Avec ce moteur et à condition qu'il ait plusieurs sortie le mini robot peu se déplacer économiquement dans l'espace.
Source30.03.12 - Un moteur ultra-compact permettra à de petits satellites de gambader librement autour de la Terre et au-delà. Le premier prototype vient de sortir des laboratoires de l’EPFL. Les chercheurs ont pour ambition de baisser drastiquement les coûts de l’exploration spatiale.
Moins d'un litre de carburant pour atteindre la Lune? Grâce au moteur ionique MicroThrust, les chercheurs de l’EPFL et leurs partenaires européens comptent inaugurer l’ère de l’exploration spatiale low-cost. Avec quelques centaines de grammes tout au plus, le dispositif est conçu pour prendre place dans de petits satellites, d’un poids compris entre un et 100 kilos. Il leur permettra de changer d’orbite terrestre, ou de rejoindre des destinations plus lointaines – des fonctions d’ordinaire réservées à de grands et coûteux engins spatiaux. Un premier prototype vient de sortir des laboratoires. Le système est d’ores et déjà pressenti pour équiper CleanSpace One – un nanosatellite nettoyeur de débris spatiaux également conçu à l’EPFL – ainsi que l’essaim de nanosatellites hollandais OLFAR, qui ira traquer les ondes d’ultra-basse fréquence derrière la Lune.
Le moteur est conçu pour être logé dans un satellite aussi compact que 10 centimètres de côté. Le prototype ne pèse qu’environ 200 grammes, carburant compris.
oui mais le problème avec la base de la lune c'est que il y a des micro poussières qui sont vraiment trop petit et qui s'introduit facilement dans la base et donc on ne peut y vivre et puis pour revenir à notre sujet ben je pense que la Nanotechnologie est bien inefficace et bien trop cher aujourd'hui alors que la méthode du début était simple et efficace je pense que deep space industrie ai bien pensé car les pièces qui sont fait dans l'espace ne pollues pas notre atmosphère et puis extraire des métaux puis les ramener sur terre puis le transformer puis le renvoyer dans l'espace est bcp trop cher et trop polluant
Sinon il y aurait peut être une méthode qui consiste à chercher les astéroïdes sur la lune car ils sont nombreux à tomber sur ce dernier mais peut être qu'il n'y a rien de spéciaux à la l'intérieur.
Donner votre avis
Bonjour,
hum peut être mais est-ce que cela est vraiment retable pour aller chercher des astéroïdes car plus on vas en chercher plus le prix d’astéroïde baissera et donc l'exploitation s’arrêtera sauf si les exploiteur les vendent peu a peu ..
dans beaucoup de cas l’opération est couteuse et peut-être pas rentable.