Non, ils ne mesurent pas non plus l'inverse. Ils mesurent la réponse à la variation de la distribution spatiale de l'ensoleillement qui est due au forçage orbital, au changement d'albédo qui en résulte et au changement du CO2 qui en résulte et j'en oublie (les poussières entre autres)...finalement beaucoup de choses qui ne sont pas toutes la conséquence d'une augmentation:diminution du CO2. Si toutes ces variations étaient dues au CO2, il n'y aurait pas de pb mais ce n'est pas le cas, on ne peut donc pas isoler les forçages . C'est ça le vrai pb, beaucoup de gens essaient de le faire mais alors les incertitudes augmentent à la vitesse Vles auteurs ne mesurent pas la sensibilité de la température au CO2, mais l'inverse de la sensibilité du CO2 à la température : ici le forçage initial n'est pas du au CO2 et donc on mesure la quantité inverse.
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