et le message précédent celui sur les palmiers parlait d'optimum médiéval, qui n'a pas été défini pour les palmiers ou les insectes que je sache , donc le n'importe quoi a commencé à ce moment là ! fin du HS donc.
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et le message précédent celui sur les palmiers parlait d'optimum médiéval, qui n'a pas été défini pour les palmiers ou les insectes que je sache , donc le n'importe quoi a commencé à ce moment là ! fin du HS donc.
C’est bien ce que je pense, ça a commencé au message 1136 et tu remarquera que je n’ai pas dit "si tu arrêtais" mais "si on arrêtait".
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Si tu t'intéresses à l'Antarctique, cet article de La Recherche devrait t'intéresser si tu ne l'as pas déjà lu.
La principale source d'instabilité, c'est l'Antarctique Ouest. Là les échelles de temps sont beaucoup plus courtes. C'est vrai que, du coup, on a tendance à oublier le reste. Néanmoins, si j'ai bien compris l'article, on y parle de 11 avancé&es et recul de la glace dans cette région en 20 millions d'années. Pour l'Antarctique Ouest, on sait qu'il y a eu une contribution significative à la hausse des 6m du niveau de la mer du dernier interglaciaire, cad , il y a 120 000 ans.
Dix secondes pour écrire une bêtise, parfois des heures pour montrer à tous que c'en est une...
Et si tu as envie de te faire peur, il y a cet article là
et tu trouves de quoi te rassurer un peu ici
Dix secondes pour écrire une bêtise, parfois des heures pour montrer à tous que c'en est une...
Bah trouvé ça et ça (traduction)Et si tu as envie de te faire peur, il y a cet article là
et tu trouves de quoi te rassurer un peu ici
Ça va pour moi, j'habite à plus de 120m au dessus du niveau de la mer la submersion, ce n'est pas pour tout de suite.
C'est juste que c'est très impressionnant, 1,6 km d’épaisseur de glace, mais rapporté à la surface, ou à une mesure de longueur d'environ 3000 km environ de diamètre c'est en fait une couche fine,
et que si transition énergétique il doit y avoir, elle se traduira nécessairement en premier temps par une forte consommation énergétique malheureusement encore largement carbonée.
Pour ce qui concerne ta première référence, ça a fait l'objet d'une actu de FS qui n'a été discutée que sur la forme (voir ici.) Si le fond t'intéresse, on peut re-ouvrir la discussion.
Dernière modification par yves25 ; 18/12/2017 à 17h55.
Dix secondes pour écrire une bêtise, parfois des heures pour montrer à tous que c'en est une...
Selon le GISS, l'anomalie de novembre est de 0,87 °C ce qui le met en 3e position derrière 2015 ( 1,02 °Cen plein El Nino ) et pratiquement à égalité avec 2016 (0,90°C).
2017 sera donc très probablement la deuxième année la plus chaude derrière 2016 .
Les anomalies calculées en moyenne annuelle glissante (dec à nov, donc) sont respectivement de 0,84 1,02 et 0,88 °C pour 2015, 2016 et 2017.
Si on compare les évolutions des trois derniers gros El Nino (82, 98 et 2016), on obtient la figure jointe
Ce qui frappe au premier coup d'oeil, outre l'augmentation de plus de 0,6°C en 30 ans, c'est que la température peine à diminuer après le dernier coup de chaleur.
La Nina est en route mais ça ne se voit pas encore sur la moyenne planétaire
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Une remarque sur les pentes tracées en tiret : tu n'as pas pris les mêmes intervalles dans les 3 cas, et de toutes façons, comme on peut le vérifier avec un trend calculator , aucune pente calculée sur une période aussi courte n'est significativement différente de zéro (c'est à dire plus grande que sa barre d'erreur).
Les pentes n'ont aucun intérêt en effet. C'est evident. Si ça en avait eu à mes yeux je l'aurais mentionné. Ce qui en a c'est ce que je soulignais l: 0.6 degrés en 30 ans et le difficile retour à la normale.
Dernière modification par yves25 ; 22/12/2017 à 09h32.
Dix secondes pour écrire une bêtise, parfois des heures pour montrer à tous que c'en est une...
hmm , peut etre, a premiere vue ça ne m'apparait pas clairement que le comportement de cet évènement El nino est statistiquement différent des autres, vu qu'il y a quand meme une variabilité évidente sur des échelles de quelques mois. Pour la tendance de 0,6°C sur 30 ans, soit un peu moins de 2°C par siècle, on est d'accord, mais de toutes façons c'est du long terme et ça n'est pas significativement impacté par des événements sur quelques années.
Et paradoxalement, des périodes où la température superficielle est supérieure à la tendance moyenne correspond a priori à des périodes où la Terre perd de la chaleur, puisque le forçage radiatif positif ne change pas, mais la rétroaction (négative) due à l'augmentation de température augmente ! (et vice versa d'ailleurs.)
... j'ai présenté 3 courbes trois !statistiquement différent
Il n'est donc pas question de statistiques !
On peut quand même être intéressé par les différences apparentes entre ces trois cas sans chercher à en tirer une loi quelconque.
Par ailleurs peux tu prouver que le bilan radiatif de la la planète est négatif en période de Nino ?
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c'est par exemple ce qu'on observe sur la composante thermosterique ici... j'ai présenté 3 courbes trois !
Il n'est donc pas question de statistiques !
On peut quand même être intéressé par les différences apparentes entre ces trois cas sans chercher à en tirer une loi quelconque.
Par ailleurs peux tu prouver que le bilan radiatif de la la planète est négatif en période de Nino ?
Tu ne trouves pas que tu tires des conclusions bien rapides ? Y a t il vraiment une tendance statistiquement significative ...sur ces deux évènements ?
Par ailleurs la Terre dans son ensemble ne se refroidit que si son bilan radiatif est negatif
Tu ne réponds donc pas vraiment à ma question.
C'est peut être le cas mais ça n'est pas certain. Le bilan global peut n'être que moins positif.
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@ dattier Tu trouveras toujours des gens pour clamer que la Terre est plate. Si ça peut te rassurer ...
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Il semble qu'il s'agisse de prédictions au doigt mouillé
http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/doscl...il/soleil1.htm
Envoyé par cnrs.fr"Le futur ?
Dans le cas actuel, l’excentricité de l’ellipse étant particulièrement faible, alors que l’inclinaison est loin d’être à son minimum, la situation est peu favorable au retour d’une glaciation; de plus, cette situation va évoluer progressivement à l’établissement d’étés de plus en plus chauds en H.N. (diminution de la distance Terre-Soleil en juin, au cours des prochains milliers d’années (voir la figure Théorie astronomique du climat/précession). Tout indique l’absence de construction d’une calotte dans les prochains siècles, prochains millénaires, mais à nouveau un réchauffement naturel des étés de l’H.N. Que nous enseigne le passé ? Cette configuration astronomique est rare au cours des dernières centaines de milliers d’années (faible excentricité) mais s’est produite il y a environ 400 000 ans (stade isotopique 11), où l’interglaciaire a été particulièrement long (environ 30 000 ans). A cette époque, le balancier des 11 000 ans a peu joué, et le nouveau cycle de 22 000 ans s’est établi alors que le niveau des mers était encore élevé. Bien que la reconstitution du climat de cette époque soit encore difficile, les données actuelles suggèrent un état plus chaud que la moyenne des interglaciaires (cela semble être la seule époque où l’on ait trouvé des pollens de vigne sauvage dans le Vercors), et un niveau des mers plus élevé (une dizaine de mètres ?)."
Cela ne peut surprendre que les gens qui ignorent que la masse des glaciers est déterminée par l'apport de neige moins ce qui fond
et qu'en théorie, réchauffement atmosphérique-> air possiblement plus humide-> plus de précipitations (neige)
Les variations annuelles ne contredisent pas ceci.
Quel rapport avec un refroidissement climatique ?
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
comme quoi la science est "settled", mais pas complètement quand même ...Envoyé par HuetLa compréhension de cette évolution demeure faible...
Pour la même raison que la fonte serait un signe du réchauffement climatique :
Réchauffement climatique : fonte record de la banquise arctique en 2016 (MAJ) (source Futura-science)
Donc j'en déduis que l'accroissement de la calotte est un signe de refroidissement climatique.
Aprés votre position est complétement irréfutable, en effet qu'il fasse chaud ou froid, c'est un signe du réchauffement climatique....
Si ta chaîne de causalité était exact, alors on aurait dû observer ce phénomène avant 2017 (car les causes dont tu parles étaient présentes bien avant 2017), ce qui n'est pas le cas, avant on observait une réduction de la calotte, c'est la première année ou on enregistre une augmentation de la calotte (d'où le mot : surprise)
Une hirondelle ferait elle le printemps ?
Il suffit de lire l'article de Huet il y est bien mentionné que cette augmentation apparait comme exceptionnelle dans une série continue de pertes de glace.
On en reparlera donc quand il y aura une série statistiquement significative
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Il y a 2 sujets différents dans le papier du blog de Huet, l'épaisseur du bouclier glaciaire du Groenland et l'extension des banquises.
Il faut rappeler que l'extension des banquises est mesurée en appliquant une trame,
et que toute unité de la trame couverte de plus de 15% de son aire couverte de glace entre en compte dans le calcul de l'extension,
si bien qu'une surface marine couverte à 20% de glace fragmentée vaut autant qu'une surface couverte à 100% de glace épaisse.
Les vents et les courants marins peuvent faire varier très fortement les mesures au jour le jour des banquises.
Les mesures plus précises par les satellites radar et gravimétriques sont très récentes.
La variation sur une année de l'épaisseur de la glace due à des chutes de neige abondantes doit être considérée comme un évènement météorologique.Si ta chaîne de causalité était exact, alors on aurait dû observer ce phénomène avant 2017 (car les causes dont tu parles étaient présentes bien avant 2017), ce qui n'est pas le cas, avant on observait une réduction de la calotte, c'est la première année ou on enregistre une augmentation de la calotte (d'où le mot : surprise)
une séquence de perte de glace sur plusieurs décennies, c'est ça l'évènement climatique.
Très mauvaise déduction.Pour la même raison que la fonte serait un signe du réchauffement climatique :
Réchauffement climatique : fonte record de la banquise arctique en 2016 (MAJ) (source Futura-science)
Donc j'en déduis que l'accroissement de la calotte est un signe de refroidissement climatique.
Ne t'es-tu jamais aperçu que les chutes de neige abondantes, au moins sous nos climats, se font lors de redoux, lorsqu'un front humide vient percher sur des terres froides?
Fais quelques progrès en météo, ça te permettra de parler climat avec plus de pertinence.
Ben non...tu nous cites un évènement météorologique concernant le Groënland, uniquement 2017 par rapport à 2016. Il est par ailleurs précisé dans l'article que cela ne change pas la tendance de fond, donc à la fonte, et que c'est dû à de très fortes chutes de neige. On est loin d'un refroidissement; il faudrait déjà voir ça sur plusieurs années, comme le fait justement l'article que tu cites sur la fonte de la banquise arctique. Tu compares deux trucs complètement différents...un évènement d'une année, et des observations arctiques sur des décennies (c'est écrit en toutes lettres).Pour la même raison que la fonte serait un signe du réchauffement climatique :
Réchauffement climatique : fonte record de la banquise arctique en 2016 (MAJ) (source Futura-science)
N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)
Les très fortes chutes de neige impliquant nécessairement que de l'air doux et humide s'est déployé sur les terres d'altitude du Groenland,
et qu'il faut en déduire que les températures y ont été plus élevées qu'en l'absence de couverture nuageuse où il ne peut neiger.
B-A BA de météorologie