Tu parlais des océans et je t’ai répondu sur les océans.
Là encore tu ne considères que la moitié du phénomène. Il y a les puits de carbone, mais il y a aussi de nombreuses zones de végétation qui ne sont pas des puits, mais qui montrent au contraire un déséquilibre dans l’autre sens. Note aussi que tout ce qui est cultivé l’est pour être récolté, donc réutilisé. Donc toutes les zones très étendues de cultures alimentaires ont au mieux un bilan nul, souvent négatif en réalité.
L’expérience montre, ce n’est pas une théorie mais un fait, que la photosynthèse n’est globalement pas capable de séquestrer assez de carbone pour empêcher dans les conditions habituelles l’augmentation de la concentration du CO2 dans l'atmosphère. Or actuellement si les émissions de CO2 anthropique ont certes diminué, elles ne sont pas nulles loin de là.
Voilà ce qui se passe quand on veut raisonner en tout ou rien, et en sélectionnant dans les données et dans les réponses qu’on te fait les seuls bouts de mécanismes qui confortent ton idéologie de départ.
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