Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique - Page 2
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Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique



  1. #31
    Rincevent

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique


    ------

    Citation Envoyé par Karibou Blanc Voir le message
    Je trouve ce point de vue interessant (et l'illustration qui en suit me convainc largement). Néanmoins, en ce concerne temps/espace/masse, je suis encore réticent à faire le pas (très certainement parce que je ne suis pas un géomètre confirmé).
    si tu bossais en relativité générale tu le ferais sans hésiter et pas qu'un peu... quand on s'intéresse à ce qui se passe pour/autour d'un trou noir isolé (de masse M fixé), on exprime toujours les distances et durées en unité M. Ainsi, le rayon de Schwarzschild se trouve à R=2M, le temps pour un photon de faire le tour de la dernière orbite stable pour les particules sans masse est 6 pi M (car R=3M pour cette orbite), etc.

    reste que cette vision n'inclut pas la constante de Planck qui "corse" un peu le jeu car elle met sur le même niveau L et L^-1 comme le dit stefjm.

    Mais mettre ces deux choses sur le même niveau (en tous cas du point de vue dimensionnel), c'est ce que fait la mécanique hamiltonienne, en particulier avec la vision symplectique (nom proposé par Weyl justement ) dans laquelle l'espace des phases est un espace "en soi" et les coordonnées conjuguées (x,p) sont "arbitraires" [on peut les mélanger par des reparamétrisations]...

    donc en mélangeant espace des phases et relativité générale, on arrive à cette "prédiction" de devoir à long terme tout mettre au même niveau... m'enfin c'est pas très clair/intuitif effectivement pour certains trucs

    Citation Envoyé par ù100fil
    La matière étant aussi de l'énergie a quand espace/temps/masse/travail/chaleur/... ?
    regarde du côté du rayonnement de Hawking (et donc de la thermodynamique des trous noirs) et tu verras du G=c=h=k=1... en particulier pour l'entropie d'un trou noir...

    -----
    Ceux qui manquent de courage ont toujours une philosophie pour le justifier. A.C.

  2. #32
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par Rincevent Voir le message
    regarde du côté du rayonnement de Hawking (et donc de la thermodynamique des trous noirs) et tu verras du G=c=h=k=1... en particulier pour l'entropie d'un trou noir...
    Cette recherche d'unification me convient très bien, je suis même surpris que l'on ne semble pas plus fouiller les similitudes apparentes entre les différents domaines de la physiques pour faire apparaitre comme en math des concepts aussi universel que la notion de groupe et de ses morphismes.

    Patrick

  3. #33
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    simple coefficient de conversion d'unité ou relation fondamentale entre énergie et température?
    C'est peut-être que l'ère du mélange doit basculer dans l'ère de proposition de nouvelles unités de mesure correspondant mieux à l'évolution des concepts et des théories. Exemple de démarche http://www.lne.fr/fr/r_et_d/metrolog...ntique-etm.asp

    C'est la théorie qui décide de ce que nous pouvons observer (Dixit A.Einstein) et donc mesurer.

    Patrick

  4. #34
    stefjm

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par Karibou Blanc Voir le message
    Une longueur à la dimension d'une longueur quelque soit le système d'unité utilisé. Dire qu'une grandeur dimensionnée à la dimension de son inverse, c'est faire aveu d'incompréhension totale.
    J'avoue tout, et en particulier mon incompréhension totale dont je suis très fier car c'est un véritable moteur pour moi.

    En y réfléchissant un peu beaucoup, je ne trouve pas que la relation en dimension
    L^1=L^0/L^1 soit si choquante que cela.

    Cela ne fait qu'impliquer la relation L^2=L^0=1, ce qui semble induire que la notion de surface est indépendante de tout système d'unité. Comme il est question des unités de Planck, c'est cette surface là qu'il faut considérer.
    C'est d'ailleurs celle qui est impliquée dans la corrélation de l'entropie de Bekenstein-Hawking : Rhubble^2/Lplanck^2=6 10^121
    Citation Envoyé par Karibou Blanc Voir le message
    Quelque soit le système d'unités choisi, une grandeur dimensionnée reste dimensionnée. Le contraire voudrait dire qu'il existe un choix d'unité pour lequel la grandeur ne dépend pas du choix d'unité... ce qui est un non-sens.
    Je suis d'accord, sauf pour le non sens. Il va bien falloir trouver un sens à cette curiosité, qui apparemment étonne tout ceux à qui j'en parle. (sauf Rincevent )
    Citation Envoyé par Rincevent Voir le message
    si tu bossais en relativité générale tu le ferais sans hésiter et pas qu'un peu... quand on s'intéresse à ce qui se passe pour/autour d'un trou noir isolé (de masse M fixé), on exprime toujours les distances et durées en unité M. Ainsi, le rayon de Schwarzschild se trouve à R=2M, le temps pour un photon de faire le tour de la dernière orbite stable pour les particules sans masse est 6 pi M (car R=3M pour cette orbite), etc.
    Woaaaoh!
    Le rayon d'univers de Weyl est au 1/3 du rayon de Hubble! Tu as donné cet exemple exprès?
    avec le rayon classique de l'électron
    (Je ne mets les applications numériques que sur demande pour ne pas charger la discussion.)
    Je trouve cette relation particulièrement parlante car elle implique la surface de Planck et le volume de l'électron pour obtenir une longueur d'univers.
    Un photon sur l'orbite de Hubble est à 3 fois le rayon de Weyl. Il doit se passer un truc au rayon de Weyl...
    Citation Envoyé par Rincevent Voir le message
    reste que cette vision n'inclut pas la constante de Planck qui "corse" un peu le jeu car elle met sur le même niveau L et L^-1 comme le dit stefjm.
    Merci.
    Je commençais à douter de ma santé mentale.
    Citation Envoyé par Rincevent Voir le message
    Mais mettre ces deux choses sur le même niveau (en tous cas du point de vue dimensionnel), c'est ce que fait la mécanique hamiltonienne, en particulier avec la vision symplectique (nom proposé par Weyl justement ) dans laquelle l'espace des phases est un espace "en soi" et les coordonnées conjuguées (x,p) sont "arbitraires" [on peut les mélanger par des reparamétrisations]...

    donc en mélangeant espace des phases et relativité générale, on arrive à cette "prédiction" de devoir à long terme tout mettre au même niveau... m'enfin c'est pas très clair/intuitif effectivement pour certains trucs
    Ben figure toi que cela commence à devenir un peu plus clair pour moi!
    En tout cas, je suis fichtrement content d'avoir fait cette prédiction simplement avec de l'analyse dimensionnelle de niveau Terminale S.

    Bon, pour me soigner en math, j'ai chercher un peu du coté "symplectique" (groupe, forme, géométrie, etc...) et là je dois dire que je me suis remis dans le brouillard.

    Si tu as des références accessibles grand public de cette vision symplectique, je veux bien me cultiver. (Pendant que je bouquine, je te fout la paix sur FSG...)

    Cordialement.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  5. #35
    stefjm

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par ù100fil Voir le message
    Cette recherche d'unification me convient très bien, je suis même surpris que l'on ne semble pas plus fouiller les similitudes apparentes entre les différents domaines de la physiques pour faire apparaitre comme en math des concepts aussi universel que la notion de groupe et de ses morphismes.
    Attention, c'est hors charte.
    Ne va pas faire fermer mon fil...
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  6. #36
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Attention, c'est hors charte.
    Ne va pas faire fermer mon fil...
    C'est quoi qui est hors charte dans mes propos ? Je ne suis que spectateur de l'évolution des concepts qui sont présentés et n'ai aucune théorie à proposer, juste que des interrogations.


    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    C'est d'ailleurs celle qui est impliquée dans la corrélation de l'entropie de Bekenstein-Hawking : Rhubble^2/Lplanck^2=6 10^121


    En tout cas, je suis fichtrement content d'avoir fait cette prédiction simplement avec de l'analyse dimensionnelle de niveau Terminale S.
    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    T'as oublié la température et son unité le Kelvin et la valeur de la constante de Boltzman,
    Tu vas pouvoir maintenant t'attaquer au lien de la température avec l'espace-temps et sa courbure. Le vecteur tangent sur une variété (le long d'une courbe) est un opérateur qui à tout champ scalaire f fait correspondre sa dérivée directionnelle.

    Citation Envoyé par Wiki
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Thermod...es_trous_noirs
    ... il montra qu'un trou noir rayonnait avec une température proportionnelle à sa gravité de surface.
    Patrick

  7. #37
    invitebd2b1648

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    [mode HS] pas taper pas taper ! je voulais simplement dire qu'étant jeune, j'ai fait de l'AD avec les unités fondamentales et les constantes ... avec l'équation et j'ai trouvé les unités de Planck ... ! C'est qu'après dégouté que j'ai vu qu'elles avaient déjà été inventées ! c'est pourquoi je trouve que l'AD est de la numérologie car on retombe toujours sur nos pattes ! mais depuis que je lis Stefjm je retrouve ce goût de l'AD et c'est un pur plaisir que de faire des petits calculs savants pour une raison que je ne révélerait pas encore ... patience est la mère des vertus ! [/mode HS]

    Cordialement,

  8. #38
    stefjm

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par ù100fil Voir le message
    C'est quoi qui est hors charte dans mes propos ? Je ne suis que spectateur de l'évolution des concepts qui sont présentés et n'ai aucune théorie à proposer, juste que des interrogations.
    Le recensement des phénomènes impliquant un second ordre s'est plutôt mal passé sur physique.
    http://forums.futura-sciences.com/ph...ond-ordre.html

    Alors que c'est un sujet très intéressant que j'ai essayé de canaliser du mieux que j'ai pu. (Il m'arrive aussi de travailler pour gagner de l'argent.)
    Citation Envoyé par ù100fil Voir le message
    Tu vas pouvoir maintenant t'attaquer au lien de la température avec l'espace-temps et sa courbure. Le vecteur tangent sur une variété (le long d'une courbe) est un opérateur qui à tout champ scalaire f fait correspondre sa dérivée directionnelle.
    Déjà fait!
    La coïncidence cosmologique dont il est question ici implique l'entropie de trou noir (Black Hole) (Bekenstein-Hawking) appliquée à l'univers observable.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Entropie_des_trous_noirs



    Je peux aussi te justifier assez facilement le 4 par des considérations naïves : La température intervient en T^4 dans la loi de Stefan-Boltzman qui relie puissance (donc régime permanent) et surface.
    (1/4).T^4 donne T^3 après dérivation.

    Il y a aussi la série (une série, c'est quand même plus sérieux qu'une seule coïncidence au hasard) donnée ici :
    http://forums.futura-sciences.com/ph...ml#post2829746



    Le terme suivant en puissance 4 fait intervenir le rayon d'univers de Hubble R et la longueur d'onde du rayonnement à 2.7k.

    Je ne joue jamais au loto car je ne crois pas au hasard.

    Cordialement.

    Edit : C'est la surface de Planck qui sert à quantifier la mesure d'entropie de TN par sa surface.
    ReEdit : L'entropie est une grandeur sans dimension en théorie de l'information.
    Dernière modification par stefjm ; 26/02/2010 à 07h06.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  9. #39
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    ReEdit : L'entropie est une grandeur sans dimension en théorie de l'information.
    Mon analogie avec la théorie des groupes portée sur une démarche de mise en cohérence des concepts en physiques. La physique a progresser de manière signification dans tous ses domaines, mais il semble qu'elle ait fait de façon dispersé en faisant évoluer séparément les concepts.

    Dans le monde de l'information on parle de convergence de l'informatique, des réseaux, des télécommunications et de l'audio-visuel.

    Par exemple la notion entropie et même de température semble disposer de plusieurs définitions (une sorte de concept Protéiforme) surement suite à son histoire Carnot, Fourier, Clausius, Boltzmann (fait apparaitre la vision statistique. L'aléatoire individuel peut donner du déterminisme collectif), Shannon ....


    Quels sont les paradigmes actuel de la thermodynamique des systèmes ouverts car il y a toujours échange (un système parfaitement isoler ne peut faire sens en pratique non ? si ce n'est l'univers tout entier) énergie. Comment est défini la notion d'équilibre thermique si on ne peut s'affranchir de l'isolement d'un système et afin de prendre en compte son ouverture sur l'environnement. La frontière qui sépare deux phases en équilibre d'un système physique est elle bien connue ?

    Faut-il faire un lien avec la notion d'entropie (quantité d'information) en théorie de l'information ? En MQ j'ai vu employer le terme de fuite d'information.

    Il y a t-il un concept d'entropie plus fondamental qui a émergé ?


    Patrick

  10. #40
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    ReEdit : L'entropie est une grandeur sans dimension en théorie de l'information.
    Oublie.

    La seule relation que je connaisse entre l'entropie et les système d'information classique est : S = klog2(W), k= 0,96 10-23 JK-1bit-1 et W l'ensemble des configurations microscopiques compatibles avec les variables thermodynamiques.

    avec en système d'information classique I = log2(W); I manque d'information (incertitude exprimée en bit) et W nombres total de messages ayant tous la même proba 1/W

    La théorie de l'information quantique va elle nous apprendre plus sur ce concept d'entropie à la fois subjectif et objectif ?

    Patrick

  11. #41
    Les Terres Bleues

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par Rincevent Voir le message
    effectivement ça peut troubler

    mais en fait, les deux points de vue sont possibles. C'est juste une histoire de paradigme. Pour comprendre, prends l'exemple "simple" c=1. Tu as deux façons de voir c=1

    1) un choix d'unité pour la vitesse, ce qui implique que les grandeurs physiques gardent leurs dimensions et que tu peux faire ce choix même en physique newtonienne

    2) l'assimilation des notions de distance et de durée. C'est ce qui est fait dans l'interprétation géométrique moderne de la relativité. Dans ce cas, tu ne te contentes pas de dire que tu peux exprimer les distances et les durées avec un facteur de conversion qui vaut 1, mais tu dis que "par essence" ces grandeurs physiques sont identiques du point de vue dimensionnel.
    pour la physique aux échelles de Planck, il est plus correct de dire qu'en l'état actuel des choses c'est un choix d'unités. Mais un changement de paradigme futur (et probable si l'on en croît les travaux sur la gravitation quantique) risque de nous mener à un changement de grandeur physique (en tous cas quand on restera dans ce cadre d'application : les durées et les distances sont toujours mesurées avec des unités différentes à nos échelles).
    Bonjour,

    Ça commence à être bien connu sur le forum que je n'ai pas le niveau. Aussi, je ne laisse pas d'être étonné d'avoir l'impression de comprendre ce qu'écrit Rincevent, et en plus d'être d'accord avec.
    Non seulement, cette assimilation des notions classiquement séparées ne me paraît pas troublante, mais elle me semble être un passage obligé en direction d'une éventuelle unification à venir.

    Bien sûr, il est toujours possible que mon sentiment ne repose que sur un contresens interprétatif. Mais, je dirai simplement pour vérifier l'hypothèse que je ne me trompe pas (ou pas trop), qu'une fois assimilées les grandeurs de durées et de distances, il s'agit de ne pas oublier que c (avec la valeur 1) reste toujours l'expression du rapport de l'une à l'autre.

    Cordiales salutations.

  12. #42
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par Les Terres Bleues Voir le message
    il s'agit de ne pas oublier que c (avec la valeur 1) reste toujours l'expression du rapport de l'une à l'autre.
    Pour moi il n'y a plus de rapport (espace et temps deviennent confondu). Ce qui fait sens est la quadrivitesse qui est sans dimension. La définition du temps propre permet d'associer à chaque ligne d'univers un champ de vecteur tangents indépendant de tout paramétrage, le 4-vitesse du point matériel défini en tout point de la ligne d'univers.

    Patrick

  13. #43
    Les Terres Bleues

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par ù100fil Voir le message
    Pour moi il n'y a plus de rapport (espace et temps deviennent confondus). Ce qui fait sens est la quadrivitesse qui est sans dimension. La définition du temps propre permet d'associer à chaque ligne d'univers un champ de vecteur tangents indépendant de tout paramétrage, le 4-vitesse du point matériel défini en tout point de la ligne d'univers.
    Soit je n'ai pas compris ce que disait Rincevent, et effectivement je ne puis qu'être d'accord avec ce que tu écris, soit j'ai compris autre chose qui ressemble à ça : espace et temps sont de même nature physique signifie que la vitesse est l'expression numérique d'un rapport d'une grandeur tridimensionnelle spatiale (ou temporelle ou spatio-temporelle si on veut) relativement à une quatrième, et dont le quadrivecteur permet une représentation unique dans un espace (ou espace-temps) quadridimensionnel bien entendu.
    Réponds vite s'il te plaît, ton point de vue sur la question est important pour ma propre réflexion.

    Merci d'avance et cordiales salutations

  14. #44
    stefjm

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par ù100fil Voir le message
    Oublie.

    La seule relation que je connaisse entre l'entropie et les système d'information classique est : S = klog2(W), k= 0,96 10-23 JK-1bit-1 et W l'ensemble des configurations microscopiques compatibles avec les variables thermodynamiques.
    Pour l'unité, les joules, c'est comme les Kelvin.
    D'un point de vu théorique, une température, c'est comme une énergie. (http://arxiv.org/PS_cache/physics/pd.../0110060v3.pdf Part1 point 6)
    La constante de Botzman permet de définir le Kelvin, c'est un coefficient de changement d'unité.
    Je croyais que ce point faisait consensus?

    Cordialement.

    Edit : J'ai rien dit, ton log est en base 2, on reconnait l'info!
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  15. #45
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par Les Terres Bleues Voir le message
    Soit je n'ai pas compris ce que disait Rincevent, et effectivement je ne puis qu'être d'accord avec ce que tu écris, soit j'ai compris autre chose qui ressemble à ça : espace et temps sont de même nature physique signifie que la vitesse est l'expression numérique d'un rapport d'une grandeur tridimensionnelle spatiale (ou temporelle ou spatio-temporelle si on veut) relativement à une quatrième, et dont le quadrivecteur permet une représentation unique dans un espace (ou espace-temps) quadridimensionnel bien entendu.
    Réponds vite s'il te plaît, ton point de vue sur la question est important pour ma propre réflexion.
    Je ne suis pas spécialiste de la question. Ce que j'en comprend est que le fameux point matériel de la mécanique classique devient une courbe (ligne d'univers) dans l'espace-temps relativiste, correspondant à toutes les "position successives" occupées par le point matériel. On postule que toute courbe qui représente un point matériel soit du genre temps (tout vecteur u tangent à la courbe est du genre temps ; dans la signature (-,+,+,+) g(u,u) < 0 ; g forme bilinéaire appelée tenseur métrique). Une seconde interprétation du tenseur métrique est la notion de temps propre correspondant au temps mesuré le long de la ligne d'univers. A deux évènements P et P' infiniment voisin sur la ligne d'univers on peut leur associer un 4-vecteur séparation infinitésimal dP qui appartient à l'espace tangent. Le carré de la distance entre P et P' vis à vis du tenseur métrique g s'exprime ds2 = g(dP, dP). L'intervalle d'espace-temps de genre temps ds2 < 0. La définition du temps propre tau le long de la ligne d'univers est à priori arbitraire : dtau = 1/c sqr (-g(dP,dP)) et si c = 1 dtau = sqr (-g(dP,dP)). Le temps propre écoulé entre deux points A et B éloigné est donnée par l'intégrale.

    Temps et espace sont confondu pour créer l'espace-temps.

    Dans le cas particulier de l'espace de Minkowski, associé à la relativité restreinte, les isométries (transformation qui conserve les longueurs) sont les transformations affines qui préservent la pseudo-métrique liée à l'intervalle d'espace-temps et forment le groupe de Poincaré.

    Patrick

  16. #46
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Edit : J'ai rien dit, ton log est en base 2, on reconnait l'info!
    Pour nous les informaticiens le bit est une unité de mesure

    La physique statistique à la structure d'une théorie probabiliste. Chaque configuration correspond à un évènement, un état thermodynamique à une loi de probabilité. L'état fait intervenir à l'échelle microscopique une incertitude I mesuré en bit par la formule du système d'information.

    La correspondance est de constater (il semble même que cela a été démontré, mais passé inaperçue) que les propriétés de cette incertitude I sont les mêmes que toutes celles que la thermodynamique a empiriquement attribué à l'entropie S.

    En 1957, Edwin Thompson Jaynes démontrera le lien formel existant entre l'entropie macroscopique introduite par Clausius en 1847, la microscopique introduite par Gibbs, et l'entropie mathématique de Shannon. Cette découverte fut qualifiée par Myron Tribus de "révolution passée inaperçue"
    Patrick

  17. #47
    invitebd2b1648

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Et si S pouvait être "transitoirement" (question de durées) < 0 !

    DarkOctani !

    Pas @ +

  18. #48
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    D'un point de vu théorique, une température, c'est comme une énergie. (http://arxiv.org/PS_cache/physics/pd.../0110060v3.pdf Part1 point 6)
    Cette équivalence me surprend. C'est comme si d'un point de vue théorique on postulait que l'espace-temps c'est comme une énergie-impulsion.

    Ma compréhension de la notion de température est une variable qui caractérise à l'échelle macroscopique l'état statistique d'un système physique microscopique. La température peut s'interpréter comme la manifestation macroscopique de l'agitation relative et désordonnées des constituants microscopiques (approche réductionniste).

    A 0 K la température n'est plus (entropie nulle) alors que la notion d'énergie persiste.

    Je vois plutôt des analogies entre température et espace-temps. La première bien connu la "flèche du temps". L'espace-temps permet par la notion de métrique de caractériser la distribution de l'énergie-impulsion. Le degré de courbure de l’espace-temps dépend de la concentration de matière (au sens large du terme, c’est-à-dire incluant toutes les formes d’énergie).

    A l’échelle microscopique de Planck la notion d'espace-temps ne semble plus être. Cela semble donc aussi un concept macroscopique tout comme la température.

    C'est la vision réductionniste de l'émergence lié au passage d'une échelle microscopique à l'échelle macroscopique qui donne lieu à de nouvelles propriétés et donc de nouveaux concepts. Comme si température, espace-temps sont émergent (non équivalent, mais en découle) de concept plus fondamentaux au niveau microscopique.


    Patrick

  19. #49
    Les Terres Bleues

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par ù100fil Voir le message
    Je ne suis pas spécialiste de la question. Ce que j'en comprend est que le fameux point matériel de la mécanique classique devient une courbe (ligne d'univers) dans l'espace-temps relativiste, correspondant à toutes les "position successives" occupées par le point matériel. On postule que toute courbe qui représente un point matériel soit du genre temps (tout vecteur u tangent à la courbe est du genre temps ; dans la signature (-,+,+,+) g(u,u) < 0 ; g forme bilinéaire appelée tenseur métrique). Une seconde interprétation du tenseur métrique est la notion de temps propre correspondant au temps mesuré le long de la ligne d'univers. A deux évènements P et P' infiniment voisin sur la ligne d'univers on peut leur associer un 4-vecteur séparation infinitésimal dP qui appartient à l'espace tangent. Le carré de la distance entre P et P' vis à vis du tenseur métrique g s'exprime ds2 = g(dP, dP). L'intervalle d'espace-temps de genre temps ds2 < 0. La définition du temps propre tau le long de la ligne d'univers est à priori arbitraire : dtau = 1/c sqr (-g(dP,dP)) et si c = 1 dtau = sqr (-g(dP,dP)). Le temps propre écoulé entre deux points A et B éloigné est donnée par l'intégrale.

    Temps et espace sont confondu pour créer l'espace-temps.

    Dans le cas particulier de l'espace de Minkowski, associé à la relativité restreinte, les isométries (transformation qui conserve les longueurs) sont les transformations affines qui préservent la pseudo-métrique liée à l'intervalle d'espace-temps et forment le groupe de Poincaré.
    Eh bien dis donc, de la part d’un non-spécialiste de la question, c’est quand même drôlement bien ficelé. Et à mon avis, une petite piqûre de rappel de Relativité générale ne peut pas faire de mal. L’idée qui sous-tendait mon intervention sur l’assimilation de l’espace au temps, consistait plutôt à prolonger dans le sens de « la disparition annoncée du temps en préparation à la gravitation quantique » (conférence de Marc Lachièze-Rey à l’ENS).

    Et exprimer la vitesse à travers un rapport de deux grandeurs "par essence" identiques d’un point de vue dimensionnel : par exemple qu’un mobile parcours environ 10 mètres suivant une horizontale donnée pour 30 kilomètres dans le sens de la révolution de la Terre autour du Soleil.

    Cette approche permet alors de s’apercevoir beaucoup mieux de la signification physique des nombres exprimant des rapports (non-dimensionnés) entre des grandeurs (qui, elles, sont du coup totalement comparables les unes aux autres).

    Cordiales salutations.

  20. #50
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par Les Terres Bleues Voir le message
    Eh bien dis donc, de la part d’un non-spécialiste de la question,
    Tu le trouves dans tous bon cours de relativité.

    Citation Envoyé par Les Terres Bleues Voir le message
    L’idée qui sous-tendait mon intervention sur l’assimilation de l’espace au temps, consistait plutôt à prolonger dans le sens de « la disparition annoncée du temps en préparation à la gravitation quantique » (conférence de Marc Lachièze-Rey à l’ENS).
    Justement ce qui semble dire est que la théorie de la relativité générale repose sur la disparition de l'espace et du temps au profit de l'espace-temps. Mais aussi bien plus, dans une approche « relationnelle », que suscite la covariance de cette théorie, l'espace-temps semble lui-même s'évanouir.

    Patrick

  21. #51
    Les Terres Bleues

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    .
    Salut,

    Juste une précision qui avait échappé à ma lecture et à ma relecture :

    Si la grandeur ds² < 0, l’intervalle d'espace-temps est du genre espace (et non pas de genre temps). Cela signifie que tous les événements sont situés à l’extérieur du cône de lumière.

    Tout le monde avait bien sûr rectifié de lui-même.

    Cordiales salutations.

  22. #52
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par Les Terres Bleues Voir le message
    .
    Salut,

    Juste une précision qui avait échappé à ma lecture et à ma relecture :

    Si la grandeur ds² < 0, l’intervalle d'espace-temps est du genre espace (et non pas de genre temps). Cela signifie que tous les événements sont situés à l’extérieur du cône de lumière.
    Non, j'ai précisé la signature (-,+,+,+) qui est la plus utilisé en RG. C'est pour la signature (+,-,-,-), plus utilisé en RR, que ds2 < 0 est un intervalle d'espace-temps du genre espace

    Patrick

  23. #53
    stefjm

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par ù100fil Voir le message
    Non, j'ai précisé la signature (-,+,+,+) qui est la plus utilisé en RG. C'est pour la signature (+,-,-,-), plus utilisé en RR, que ds2 < 0 est un intervalle d'espace-temps du genre espace
    C"est vrai?! Ils ont fait cela?
    Quelle en est la raison?
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  24. #54
    Les Terres Bleues

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par ù100fil Voir le message
    Non, j'ai précisé la signature (-,+,+,+) qui est la plus utilisé en RG. C'est pour la signature (+,-,-,-), plus utilisé en RR, que ds2 < 0 est un intervalle d'espace-temps du genre espace
    Ça alors, j'avais pas du tout fait gaffe.
    Finalement, tu as très bien fait de rectifier ma rectification .

    Cordiales salutations.

    Au fait, tant qu'à poster : "l'espace-temps semble lui-même s'évanouir". Quest-ce que ça signifie plus précisément ?

  25. #55
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Quelle en est la raison?
    ils ont changé de convention en RG pour préparer la notion de temps imaginaire it .... Non je ne connais pas la raison. Simplification d'écriture de certaine formule ?

    Patrick

  26. #56
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par Les Terres Bleues Voir le message

    Au fait, tant qu'à poster : "l'espace-temps semble lui-même s'évanouir". Quest-ce que ça signifie plus précisément ?
    C'est l'approche relationnelle qui est présenté par Marc Lachièze-Rey qui était en fait (d'un point de vue philosophique) en quelque sorte celle de Leibniz. Ce discours, Marc Lachièze-Rey a commencer apparemment à l'énoncer en 2006 http://www.cea.fr/recherche_fondamen...te_et_illusion

    La vidéo est pas mal aussi ou il présente en quelques phrase la vision de Leibniz.

    Patrick

  27. #57
    invité576543
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Pour l'unité, les joules, c'est comme les Kelvin.
    D'un point de vu théorique, une température, c'est comme une énergie. (...)
    Je croyais que ce point faisait consensus?
    M'étonnerais, comme cela étonne ù100fil.

    Cela ne fait pas sens avec le fait que l'une (l'énergie) est une grandeur extensive et l'autre (la température) est une grandeur intensive.

    Confondre énergie et température reviendrait à considérer l'entropie comme sans unité, ce que personnellement je trouve choquant pour une grandeur extensive.

    Cordialement,

  28. #58
    stefjm

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par ù100fil Voir le message
    C'est l'approche relationnelle qui est présenté par Marc Lachièze-Rey qui était en fait (d'un point de vue philosophique) en quelque sorte celle de Leibniz. Ce discours, Marc Lachièze-Rey a commencer apparemment à l'énoncer en 2006 http://www.cea.fr/recherche_fondamen...te_et_illusion
    La vidéo est pas mal aussi ou il présente en quelques phrase la vision de Leibniz.
    Bonjour,
    Apparemment, c'est devenu classique de tout faire "émerger", mais de quoi de plus simple que temps, longueur et masse? (Les vidéos, c'est pénible à lire, trop long)

    Cohen Tannoudji défend aussi l'émergence de la température avec la constante de Boltzmann.

    Je trouve cela très curieux d'ériger en principe physique des dénombrements statistiques. (physique statistique) Dans le cas de la température, c'est particulièrement clair avec le nombre géant d'Avogadro qui cache le dénombrement des atomes (molécules, etc...)

    Le SI a même introduit une grandeur de genre sans dimension (la mole) pour en tenir compte. C'est très étonnant d'avoir un nombre sans dimension (le nombre d'Avogadro est un nombre arbitraire) affublé d'une dimension.

    Le lien que je vois entre informatique et physique est dans l'utilisation du logarithme qui suppose une base de comptage : Les informaticiens aime bien la base 2 ou 3. Les physiciens préfèrent e.
    Dans un cas comme dans l'autre, c'est une base de comptage, qui permet de compresser les grands nombres qui apparaissent dans les relations (physique ou informatique).

    Cela donne aussi une explication au fait qu'on multiplie entre elles des grandeurs physiques dimensionnées (multiplication formelle) et que cela revient à additionner les ordres de grandeur d'un point de vu calculatoire. L'ordre de grandeur étant en général en base 10 en physique, mais ce n'est guère logique (à mojns d'être un pythagoricien passionné de base 10), on devrait le faire en base optimum e. (Neper) (On peut quand même espérer que le physicien moderne utilise une calculatrice plus efficace que ses dix doigts...)


    Cordialement.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  29. #59
    stefjm

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par Michel (mmy) Voir le message
    M'étonnerais, comme cela étonne ù100fil.

    Cela ne fait pas sens avec le fait que l'une (l'énergie) est une grandeur extensive et l'autre (la température) est une grandeur intensive.

    Confondre énergie et température reviendrait à considérer l'entropie comme sans unité, ce que personnellement je trouve choquant pour une grandeur extensive.
    Je crois que je comprends ce que tu veux dire.
    Ce serait donc la température qui resterait sans unité (dimension) et l'entropie qui serait homogène à une énergie?
    k_B T est homogène à une énergie et c'est bien la constante de Bolztmann qui définit alors le Kelvin.

    Si je réécris la relation


    sous forme exponentielle, cela donne :



    Que les informaticiens préférerons en base 2 (ou 3?)

    Suis-je tout seul à voir un changement de base dans cette manipulation?

    Quand k_B T est normalisé à 1/2, 1, 3/2 ou 2 etc..., on obtient l'égalité entre un grand nombre de configuration w à une petite puissance et la base de comptage à une grande puissance?

    Exemple pour la corrélation de l'entropie de l'univers observable, avec



    Cordialement.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  30. #60
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Conjecture et réalité de Weyl, Coincidence cosmologique

    Citation Envoyé par stefjm Voir le message
    Bonjour,
    Apparemment, c'est devenu classique de tout faire "émerger", mais de quoi de plus simple que temps, longueur et masse? (Les vidéos, c'est pénible à lire, trop long)
    Il me semble que cela n'est pas nouveau, c'est le réductionnisme. La microphysique semble discontinue, probabiliste, linéaire, réversible alors que la macro physique qui en découle semble plutôt continue, déterministe, non linéaire, irréversible. C'est la compréhension de l'émergence de comportements nouveaux qui rend fructueux le réductionnisme.


    Que devient l'espace-temps sans matière/énergie ?

    Citation Envoyé par M Lachièze-Rey
    Chez Newton il reste l'espace, chez Einstein, il n’existe rien, a-t-il déclaré lui-même. Sa théorie de la RG ne vérifie pas cette phrase, car il reste l’ET de Minkowski et ça n’est pas rien, c’est un ET sans courbure. Si on rentre dans du relationnel, l’ET n’existe pas, seul existe le tenseur de courbure et dans ce cas l’ET de Minkowski c’est rien.
    La petitesse de la constante k de Boltzmann va de pair avec l'immensité de la valeur de W lorsque l'entropie S = 1 KJ-1

    1/k étant de l'ordre du nombre d'Avogadro l'incertitude I = S/k sur un système macroscopique est de l'ordre de grandeur du nombre de ses constituants élémentaires.


    Patrick

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