Tu passeras mon bonjour à Mr Spock.Je suis Zefram Cochrane et je suis le concepteur du principe de distorsion, procédé visant à augmenter artificiellement la vitesse de la lumière autour d'un vaisseau, l'entourer d'une "bulle spatiotemporelle" à l'intérieure de laquelle il pourra évoluer à vitesse supraluminique par rapport à une observateur situé à l'extérieur de la "bulle".
Non.
Salut,
En général, sauf tout près du trou noir, l'espace est quasi euclidien. Ca simplifie les raisonnements.Depuis la Terre, j'observe l'explosion d'une étoile en supernova distante de 430 AL. C'est l'image directe de cette étoile
donc D1 = 430 AL et l'évènement s'est produit il y a 430 ans.
Mais parce que la lumière est déviée par un trou noir, j'observe également une image indirecte de cette étoile, image qui l'a place à 700 AL de distance,
donc D2 = 700 AL et j'observe donc l'image de cette étoile telle qu'elle était il y a 700 ans donc avant qu'elle n'explose en supernova.
Je ne vois pas bien la configuration que tu invoques. Mais il y a plusieurs possibilités non paradoxales :
Dans les deux premiers cas j'invoque un effet de "lentille gravitationnell". Le rayone passe pas très loin du TN et est juste dévié.
- Soit il s'agit d'un effet d'optique (image fortement déformée) mais la lumière a parcouru 500 AL dans les deux cas
- Soit la lumière a réellement parcouru 700 AL, mais dans ce cas tu ne risques pas de voir cette image là maintenant, tu la verras simplement beaucoup plus tard. Le TN peut déformer l'espace-temps mais pas accélérer le trajet de la lumière dans l'espace quasi euclidien qui nous entoure et qui nous sépare du trou noir.
Dans le cas suivant, j'envisage des effets relativistes beaucoup plus violents. Le rayon est passé beaucoup plus près du TN, dans la région fortement non euclidienne.
- Soit la lumière a pacouru 500 AL en passant par le trou noir mais près du trou noir elle a frolé l'horizon vraiment de très très près. Dans ce cas le temps de transit peut être considérablement augmenté, on va dire ici de 200 ans. Je ne parle pas seulement d'un photon qui ferait énormément de tours autour du TN. Je parle d'un photon qui met beaucoup de temps même pour faire un seul tour.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Shapiro
Dans ce cas, tu peux tenir deux raisonnements, tout aussi valables l'un que l'autre :
-- Elle a mit 700 ans pour venir jusqu'à moi. Quand je mesure sa vitesse, je trouve c. Elle a donc mis 700 AL pour venir jusqu'à moi. Donc, près du trou noir, l'espace est incroyablement contracté et la lumière a parcouru 200 AL rien qu'en passant à coté ! C'est vrai, pour un observateur extérieur, s'il regardait un objet s'approcher du TN il le verrait s'applatir jusqu'à devenir comme une crèpe (à noter que c'est l'effet inverse de ce que ressent l'objet, lui il est étiré à cause des forces de marées !!!! L'espace-temps est vraiment déformé à l'extrême donnant des effets très bizarres).
-- Je regarde la distance parcourue : 500 AL plus un tout petit passage a coté du TN. Donc la lumière a été très lentement près du TN. Sa vitesse était plus lente.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Un petit complément pour comprendre ça :
Comment est-il possible de tenir des raisonnements aussi opposés ? Lequel est le bon ? Les deux ! Simplement parceque l'on ajoute des éléments "humains" à la description.
La seule chose qui existe dans l'univers ce sont des objets (la supernovae, le trou noir, le rayon lumineux, le détecteur sur Terre), des événéments (la supernovae explose, le rayon lumineux passe près du TN, le détecteur se déclenche) et des relations entre événements (la supenovae est observée par le détecteur par l'échange du rayon lumineux).
Rien d'autre n'existe. Et en particulier, pas d'espace absolu ou de temps absolu. Tout est relationnel. Ce sont des relations spatiotemporelles (par exemple : "la supernovae se produit" puis "je la détecte", ou "les atomes de platine se touchent les uns les autres dans l'étalon en platine irridié définissant l'ancienne unité du mètre").
Ce qu'on ajoute, nous "humains", ce sont des étiquettes : "maintenant", "hier", "ici", "là", "le 1er juin", "Picadilly-Circus" (exemple tiré de Gravitation ), "t = 12 s", "x = 23 m, y = 12 m, z = -15 m". Ce sont les coordonnées (latitude, longitude, coordonnées cartésiennes, polaires, unités S.I., unités angosaxones, etc... etc...)
Mais c'est totalement arbitraire. La seule chose que cela doit respecter ce sont les relations évoquées ci-dessus. Donc on peut avoir différentes façon de décrire la même chose. En relativité générale cela se traduit par plusieurs métriques qui décrivent la même situation physique. Par exemple, pour le TN : la métrique de Schwartzchild, la métrique de Kruskal-Szekeres, la métrique de Painlevé, etc... etc.... (il y en a une bonne dizaine à ma connaissance mais on peut en inventer des milliards).
En parlant du respect des relations, on peut dresser ça comme un réseau de relations dans "l'espace-temps" et decrire les propriétés géométriques de ce réseau. Certaines propriétés géométriques ne dépendent pas du choix des coordonnées. C'est pour ça que la description géométrique de la RG est si puissante et si utile. Mais cela ne signifie pas qu'il y a un "espace absolu" décrit par cette géométrie.
Il est, amha, très utile d'analyser un aspect sous différents points de vue. Cela aide à voir ce qui est réellement physique et ce qui ne fait partie que de la "description humaine" (ou mathématique). D'autant que faire abstraction de ces aspects arbitraires pour ne voir que ce qui est physique est un exercice de haute voltige. Et même si je connais plutôt bien le sujet, je suis certainement loin d'exceller dans cet exercice (pour preuve, je lâche au moins une grosse connerie par mois en RG, histoire de garder la forme ). C'est un travail de perfectionnement permanent mais que je trouve incroyable enrichissant (il donne l'impression de comprendre. C'est peut-être psychologique mais c'est agréable )
Tout ce que je dis là est vrai aussi en mécanique quantique d'ailleurs, même si la forme prise par tout cela est extrêmement différente.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Ce genre d'effet permet de mesurer la constante de Hubble.Depuis la Terre, j'observe l'explosion d'une étoile en supernova distante de 430 AL. C'est l'image directe de cette étoile
donc D1 = 430 AL et l'évènement s'est produit il y a 430 ans.
Mais parce que la lumière est déviée par un trou noir, j'observe également une image indirecte de cette étoile, image qui l'a place à 700 AL de distance,
donc D2 = 700 AL et j'observe donc l'image de cette étoile telle qu'elle était il y a 700 ans donc avant qu'elle n'explose en supernova.
Quand la lumière d'un objet lointain passe proche d'une lentille gravitationnelle (pas un trou noir à ces échelles c'est trop petit, mais un amas de galaxies par exemple), les rayons vont être déviés. On va pouvoir recevoir 2 rayons lumineux qui n'ont pas suivi le même trajet et donc n'ont pas parcouru la même distance. Autrement dit si on peut repérer un évènement (variation de luminosité ou autre...) on va avoir un décalage de temps entre les 2 rayons. Ce décalage est directement dépendant de la constante de Hubble et de la répartition de masse de lentille, donc si on connait ce dernier on peut en déduire la constante de Hubble!
Oui, mais il n'empêche qu'il est impossible de voir un évènement après 700 ans pour un objet se trouvant physiquement à 720 a-l. Rien ne peut accélérer la lumière. S'il existe une différence entre les deux mesures, ce ne peut être dû qu'au résultat de l'allongement du trajet d'une des deux images de cet objet, et ce ne sera jamais 20 ans.Ce genre d'effet permet de mesurer la constante de Hubble.
Quand la lumière d'un objet lointain passe proche d'une lentille gravitationnelle (pas un trou noir à ces échelles c'est trop petit, mais un amas de galaxies par exemple), les rayons vont être déviés. On va pouvoir recevoir 2 rayons lumineux qui n'ont pas suivi le même trajet et donc n'ont pas parcouru la même distance. Autrement dit si on peut repérer un évènement (variation de luminosité ou autre...) on va avoir un décalage de temps entre les 2 rayons. Ce décalage est directement dépendant de la constante de Hubble et de la répartition de masse de lentille, donc si on connait ce dernier on peut en déduire la constante de Hubble!
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
Vu la taille de certaines lentilles, je n'en serais pas si étonné.
A noter qu'on n'a pas besoin d'attendre 20 ans. Ce n'est pas d'une supernovae dont on parle ici, mais d'un objet (en arrière plan) qui peut éclairer pendant des millions d'années (un quasar par exemple)
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Je pense avoir compris pourquoi la vitesse de la lumière peut être C et tout point de l'espace alors que la vitesse moyenne caculée est différente de C.
corriges moi si j'ai fait erreur, mais la distance de 500 AL n'est qu'une illusion créer par le trou noir qui se trouve à proximité de la trajectoire alors qu'en fait la distance réelle est de 700 AL et que c'est pour cela que la lumière met 700 ans à nous parvenir. (effet Shapiro).
en fait ce que j'avais à l'esprit était cette configuration
ce que j'ai décrit dans ce schéma:Soit la lumière a réellement parcouru 700 AL, mais dans ce cas tu ne risques pas de voir cette image là maintenant, tu la verras simplement beaucoup plus tard. Le TN peut déformer l'espace-temps mais pas accélérer le trajet de la lumière dans l'espace quasi euclidien qui nous entoure et qui nous sépare du trou noir.
http://img847.imageshack.us/i/toilefantme.png
j'ai une question : est ce que dans l'absolue, il existe une image gravitationnelle de l'étoile fantôme?
et une autre qui me vient avec : si une étoile est proche d'un trou noir, est ce que l'étoile exerce un effet marée sur le trou noir, en d'autres termes, est ce que la forme de l'Horizon du trou noir s'en trouve affecté?
Pour la première partie, ce n'est qu'une phrase de présentation. Ce n'est pas le genre de sujet sur lequel je m'étendrais sur ce forum. D'ailleurs, la théorie des bulles spatiotemporelles est totalement découplée du principe de distorsion.Citation:
Envoyé par Zefram Cochrane
Je suis Zefram Cochrane et je suis le concepteur du principe de distorsion, procédé visant à augmenter artificiellement la vitesse de la lumière autour d'un vaisseau, l'entourer d'une "bulle spatiotemporelle" à l'intérieure de laquelle il pourra évoluer à vitesse supraluminique par rapport à une observateur situé à l'extérieur de la "bulle".
Tu passeras mon bonjour à Mr Spock.
Citation:
Envoyé par Zefram Cochrane
Intéressant Non?
Non.
Par ailleurs, si la constance de la vitesse de la lumière est vérifiée expérimentalement le postulat de la relativité reste à démontrer.
En imaginant que je parvienne à démontrer que la vitesse de la lumière puisse varier ( ce que je n'ai pas réussi à faire à priri pour diverses raisons qui ont été évoquées précédemment)
ce que j'ai proposé pourrait servir de base à une telle démonstration, les formules sont élégantes et d'un point de vue purement physique je trouve qu'il n'est pas absurde de penser que la vitesse de la lumière puisse diminuer quand l'intensité du champ de gravitation augmente. (Effet Shapiro? je déconne!)
il se peut que malgré la preuve mathématique, l'expérience puisse infirmer la variabilité de la lumière et en se penchant sur les raisons d'un tel échec, apporter la preuve de la constance de la vitesse de la lumière.
je crois que cela peut représenter un quelconque intérêt.
La, tu t'attaques à un gros morceau. Pour contredire Einstein, tu es très fort.
Effectivement, il faudra faire un gros effort d'imagination.
C'est clair. Nous attendons la suite de tes travaux avec un intérêt non dissimulé.ce que j'ai proposé pourrait servir de base à une telle démonstration, les formules sont élégantes et d'un point de vue purement physique je trouve qu'il n'est pas absurde de penser que la vitesse de la lumière puisse diminuer quand l'intensité du champ de gravitation augmente. (Effet Shapiro? je déconne!)
il se peut que malgré la preuve mathématique, l'expérience puisse infirmer la variabilité de la lumière et en se penchant sur les raisons d'un tel échec, apporter la preuve de la constance de la vitesse de la lumière.
je crois que cela peut représenter un quelconque intérêt.
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
Pour l'heure, je me contente de démontrer l'intérêt que peut représenter le questionnement sur la constance ou non de la vitesse de la lumière, ce n'est pas si mal
je remarque quand même qu'Einstein en a chié des ronds de châpeaux pour pondre la théorie de la RG. Pour moi et je me trompe peut être, c'est parce qu'il avait foi en la constance de la vitesse de la lumière.
pour la théorie des bulles spatiotemporelle, j'ai mis trois ans avec ma gomme et mon stylo, base et ravalement compris. Et, je suis loin d'avoir le potentiel d'Einstein.
j'en déduis que à son époque, s'il avait envisagé que la vitesse de la lumière puisse varier dans un champ de gravitation, il serait parvenu à des conclusions similaires aux miennes. Même si plus tard, cela aurait été infirmé soit par la théorie, soit par l'expérience. où alors ....
Salut,
Je vois le principe de relativité comme un principe logique, non physique.
Je raisonne comme suit : les repères et les systèmes de coordonnées sont des choix totalement arbitraires, des choix humains utilisés pour des raisons pratiques (pour quantifier les mesures).
Peu importe que j'utilise des mètres, des stades égyptiens ou des miles anglais,... peu importe que je mesure les distances à partir de ma maison, du centre de la terre, du centre du soleil,... peu importe que j'utilise des coordonnées cartésiennes ou polaires... peu importe que je mesure le temps avec une horloge au césium, avec l'horloge à balancier de mon grand-père ou rgardant les saisons. Si une étoile explose quelque part dans le cosmos et détruit ses planètes, ce qui se passe est totalement indépendant des choix que j'ai fait : ça se produit et cela se déroule selon certaines lois physiques.
Par conséquent, il est normal de chercher une description de ces lois qui soit indépendante de ces choix arbitraires. C'est le principe de relativité (restreint ou généralisé) qui dit que tous les repères sont physiquement équivalents.
On n'est d'ailleurs pas obliger de suivre ce principe. en électromagnétisme on utilise souvent la jauge de Coulomb pour des raisons pratiques. Mais cette jauge viole le principe de relativité ! Il n'empêche que l'électromagnétisme ainsi décrit reste le même EM qu'en jauge de Lorentz (qui elle respectele principe de relativité). Les aimants ne cessent pas brusquement de fonctionner parce que je choisis la jauge de Coulomb
Par conséquent, (sous réserve des autres hypothèses en relativité), la seule chose quil faut vérifier c'est l'invariance de c.
Tu ne saurais pas le démontrer, impossible car : ça ne se démontre pas, ça se mesure. C'est de physique qu'on parle ici, pas de mathématique.
Donc, à moins que tu disposes d'un laboratoire de très haute technologie, je te conseille plutôt d'étudier la physique.
Et oui, tu te trompes.
S'il a eut quelques difficultés c'est uniquement à cause des connaissances en mathématiques d'un physicien de l'époque.
En RG, l'espace-temps n'est pas euclidien mais riemannien. Il faut des outils, au minimum, le calcul tensoriel.
Ce n'était pas un outil courant du physicien. Einstein a donc dû demander l'aide de son ami Grosmann, mathématicien.
Après cela a été tout seul.
La seule chose qu'il ne pouvait pas déduire c'était l'équation d'Einstein. Il a mis un peu de temps avant d'en trouver la forme correcte.
Dis donc Zefram, ça devient de plus en plus grave là, tu ferais mieux de te renseigner sur l'histoire avant de jouer les révisionistes. Changer l'histoire dans le but de faire passer tes rammassis d'absurdités cela s'appelle de la fraude scientifique
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
C'est surtout une question de connaissances. D'après les interventions que j'ai pu voir de ta part, tu es très loin d'avoir toutes les connaissances physiques nécessaire l'élaboration d'une quelconque théorie...
Ca va les chevilles?
C'est quand même dingue que le mec lambda avec si peu de connaissance en physique puisse prétendre de telles choses!
Il n'y a aucune contrainte autre que l'observation pour déterminer la valeur de la vitesse de la lumière, dans le temps comme dans l'espace.
Autrement dit, d'un point de vue théorique, on pourrait inventer ce qu'on veut.
Mais faire de la physique ce n'est pas cela, ce qui me contraint à passer au vert.
La discussion est au point mort depuis le départ parce que tu n'adoptes pas un raisonnement scientifique. Et sur ce forum, c'est un motif de fermeture.
Un raisonnement scientifique consiste à rendre compte du réel observé à l'aide de lois qui forment si on veut un réel théorique, ou causal. C'est un fait qu'on pourrait inventer un monde où la vitesse de la lumière pourrait varier. Ce dont il faut rendre compte, c'est qu'elle ne varie pas, dans les limites de l'observation.
L'exemple est pris sur cet aspect de la discussion, mais il vaut pour tous.
Ce rappel à l'ordre a pour but d'éviter le dialogue de sourd.
S'il n'est pas pris en compte dans ta prochaine intervention, je ferme.
Pour la modération.
Gilgamesh
Parcours Etranges
C'est parce que d'après Einstein :C'est surtout une question de connaissances. D'après les interventions que j'ai pu voir de ta part, tu es très loin d'avoir toutes les connaissances physiques nécessaire l'élaboration d'une quelconque théorie...
Ca va les chevilles?
C'est quand même dingue que le mec lambda avec si peu de connaissance en physique puisse prétendre de telles choses!
La vitesse de la lumière dans le vide a la même valeur dans tous les référentiels inertiels
et q'un champ de gravitation n'étant pas (je crois, mais maintenant j'ai des doutes) un référentiel iniertiel, y a pas de raison qu'elle ai la même valeur.
après, on peut essayer de refaire le monde en nous replaçant en 1905 juste après la théorie de la Relativité restreinte et voir ce que nous aurions découvert toi et tes baggages scientifiques et moi et mon calbute.
Roger captain!Il n'y a aucune contrainte autre que l'observation pour déterminer la valeur de la vitesse de la lumière, dans le temps comme dans l'espace.
Autrement dit, d'un point de vue théorique, on pourrait inventer ce qu'on veut.
Mais faire de la physique ce n'est pas cela, ce qui me contraint à passer au vert.
La discussion est au point mort depuis le départ parce que tu n'adoptes pas un raisonnement scientifique. Et sur ce forum, c'est un motif de fermeture.
Un raisonnement scientifique consiste à rendre compte du réel observé à l'aide de lois qui forment si on veut un réel théorique, ou causal. C'est un fait qu'on pourrait inventer un monde où la vitesse de la lumière pourrait varier. Ce dont il faut rendre compte, c'est qu'elle ne varie pas, dans les limites de l'observation.
L'exemple est pris sur cet aspect de la discussion, mais il vaut pour tous.
Ce rappel à l'ordre a pour but d'éviter le dialogue de sourd.
S'il n'est pas pris en compte dans ta prochaine intervention, je ferme.
Pour la modération.
Gilgamesh
Bonjour,
Je me permet de citer du "vert de modération" car ce sont des arguments de physique.
Si j'effectue la mesure de la vitesse de la lumière en bon scientifique qui utilise le SI, je trouve invariablement la valeur de c qui définit le mètre.
Un raisonnement scientifique consiste à rendre compte du réel observé à l'aide de lois qui forment si on veut un réel théorique, ou causal. C'est un fait qu'on pourrait inventer un monde où la vitesse de la lumière pourrait varier. Ce dont il faut rendre compte, c'est qu'elle ne varie pas, dans les limites de l'observation.
C'est quand même fort qu'il faille être hors SI pour mesurer une valeur significative de c!
Cordialement.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Salut,
T'es en forme toi
Quand on mesure la vitesse de la lumière, on n'utilise pas la définition SI, sinon on ne fait aucune mesure. Malin. Tu devrais réfléchir avant d'écrire. On utilise un mètre étalon déjà prélablement établi (grâce à la définition récente SI et avant avec d'autres définitions). Si la vitesse de la lumière variait on le verrait.
Et heureusement qu'on fait ça (surtout les laboratoires travaillant avec le BPM) ! C'est une des tâches du BPM de s'assurer qu'une définition ne devient pas caduque suite à diverses découvertes ou améliorations des précisions. Un mètre étalon qui changerait tout seul, faut avouer que ce serait gênant.
En fait, même si on découvrait de la sorte que la vitesse de la lumière variait (c'est d'ailleurs soupçonné pour les énergies extrêmement grande en gravité quantique. Mais il s'agit d'une variation de la vitesse de la lumière, pas de la vitesse limite c !) on ne devrait pas nécessairement abandonner la définition SI. On devrait la compléter par des précisions du style "un rayon lumineux dans un vide inférieur à x tor, de longueur d'onde y, au niveau de la mer, émis par une source immobile etc... etc...". On a déjà ce genre de choses pour d'autres étalons qui n'ont pas la chance de bénéficier d'un truc aussi sympa que la lumière En fait, il y a même déjà des règles actuellement pour le mètre, pour le vide, il ne faut évidemment pas utiliser un rayon lumineux dans de l'eau
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Bah, c'est bien ce que je disais : Il faut être hors SI pour faire une mesure significative.T'es en forme toi
Quand on mesure la vitesse de la lumière, on n'utilise pas la définition SI, sinon on ne fait aucune mesure. Malin. Tu devrais réfléchir avant d'écrire. On utilise un mètre étalon déjà prélablement établi (grâce à la définition récente SI et avant avec d'autres définitions). Si la vitesse de la lumière variait on le verrait.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
bonjour,
déjà je tens à préciser que je ne veux pas faire de révisionisme scientifique; si j'ai pu faire croire le contraire, je m'en excuse.
ce n'était qu'une parenthèse
parlons de l'effet Shapiro.
http://img850.imageshack.us/i/shapiro.png
d'après WIKI l'effet shapiro serait du à une erreur qui à négliger la déviation de la lumière et à prendre comme distance la projection de l'image fantôme de Mars sur l'orbite martienne et à mesurer le temps que met la lumière pour parcourir la distance (géodésique) entre Mars et la Terre
mais d'après le lien suivant:
http://www.relativite.info/RG.htm
la compréhension de l'effet Shapiro pourrait être plus complexe. Est-ce que tu pourrais me donner des précisions ?
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Bonjour,
Dans le cadre de la théorie des bulles spatiotemporelles et comme il m'a été reproché de mélanger la RR avec la théorie de la gravitation de Newton, j'ai cherché à éliminer le champ de gravitation dans la théorie des bulles spatiotemporelles.
Je tente ici de proposer une approche dynamique de l'affaire, voici ce que cela donne :
Dans un champ de variation de la lumière à symétrie sphérique, la vitesse de la lumière Cz varie selon la formule :
Ci est la vitesse de la lumière à l'infini
Cz est la vitesse de la lumière à l'altitude z
Pz;i est le potentiel gravitationnel de l'altitude z mesuré depuis l'infini. Dans le cas présent, Pz;i ne correspond qu'à la valeur : où Z;i est l'altitude z mesurée à l'infini.
Dans une chute libre ou une ascension libre, l'énergie totale du système reste constante et égale à :
Le numérateur correspond à une énergie potentielle.
Prenons pour l'exemple le Soleil; un archer à bord d'une station spatiale à 150 millions de kilomètres du Soleil tire une flèche en direction de l'observateur situé à l'infini. L'idée consiste à dire que l'observateur s'éloignant de l'archer à la vitesse de libération, la flèche reste fixe par rapport à l'observateur; mais, parce qu'elle est prise dans le sillage "gravitationnel" du Soleil, son énergie potentiel augmente: sa longueur Lz est définie: , et tend vers Lo au fur et à mesure que l'altitude augmente et que sa vitesse diminue.
Je pense qu'il y a matière ici à définir une métrique, j'aimerais avoir votre avis là-dessus.
cordialement,
Zefram
Il faudrait constater que la vitesse varie avec l'altitude avant de proposer une formule. Il faudrait que ce fut le résultat d'une mesure. Ce n'est pas le cas.
Re : la physique est là pour expliquer le réel, pas pour en inventer un autre.
J'avais prévenu que ce serait une condition de continuation de ce fil. Ça ne semble pas porter ses fruits.
Je ferme.
Pour la modération
Gilgamesh
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