Oui ! Et tout ce qu'on peut en lire c'est de la me...uguet !
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Oui ! Et tout ce qu'on peut en lire c'est de la me...uguet !
On peut avoir le(s) lien(s) en question ?
De ce que je lis : hypothèse d'une antimatière de masse négative remplaçant l'énergie noire, ça me parait très faible. Par ailleurs il me semble que ça pourrait être vérifié par une expérience de chute libre des particules d'antimatière dans un piège à particule. En coupant le courant, on devrait voire les particules d'am monter au lieu de descendre.
Parcours Etranges
Dernière modification par mik16 ; 07/05/2012 à 16h21.
sur wikipédia il est dit que selon la relativité générale ou la gravité selon Newton se révèlent prédire qu'une masse négative engendrait un champ gravitationnel répulsif
En effet, mais donc comme il a été dit l'hypothèse d'une masse négative pour l'am comme pour autre chose ne repose sur aucune base théorique ou observationnelle.
La seule antigravité admise actuellement concerne la pression négative associée à la constante cosmologique ("énergie du vide").
a+
Parcours Etranges
merci Gilgamesh,je ne savais pas que l'énergie du vide a une pression négative et qu'est ce que ca veut dire "am" stp?
ca veut dire que tu ne crois pas en la masse négative et en l'antigravité?
Dernière modification par mik16 ; 07/05/2012 à 23h43.
Salut,
Le lien :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gabriel_Chardin
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
merci à vous 2
Est-ce qu'on a déjà mesurer une valeur absolue de masse des anti-protons, positrions et autres constituant de l'antimatière (à l'exception des neutrons bien sûr) ?
Interrogation : l'énergie du vide (force de Casimir, je crois ?) pourrait-elle suffire à expliquer l'expansion de l'univers ; soit en tenant compte de l'accélération, soit sans en tenir compte ? Si oui, comment ? Si non, comment ça se passe alors ?
Salut,
Ca oui. De manière beaucoup plus précise que les effets de la gravité.
Dans les interactions dans les accélérateurs, la mesure des sections efficaces différentielles dans le "repère du laboratoire" (particule en mouvement et une cible fixe) dépend fortement de la masse de la particule.
Pas directement. Et indirectement, on n'a rien qui semble l'indiquer (ni expérimentalement ni théoriquement).
Note que j'ai toujours soupçonné un lien (et je ne suis pas le seul, bien que la façon dont j'envisage les choses est assez différente de ce que j'ai déjà lu sur le sujet. C'est l'objet de mes travaux.... à temps perdu puisque ce n'est pas mon métier).
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)