pour le référent je vois ce que c'est comme dit dans la communication le sujet d'un message donc la je me doute que s'étais le sujet le referent
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pour le référent je vois ce que c'est comme dit dans la communication le sujet d'un message donc la je me doute que s'étais le sujet le referent
Eh bien c'est simple comment voit le référent par rapport au chef de gare qui lance une balle la fait rebondir et la rattrape ! Si tu visualise cela tu as compris la relativité !
bon plus serieusement pourquoi le faite de se deplacer courbe le temps ?
pour moi l'histoire du crayon tombe verticalement a l'interrieur du train vu qu'il n'est pas exposer a la pression de l'air tandis que si il est laché dehors avec la pression il est propulsé
Il y a un début de débat ! Bien !!
Il faut cependant réfléchir, un peu, au problème
1- depuis la place assise dans le train, on lâche le crayon.
Le crayon tombe à ses pieds, l'air n'a RIEN à voir : que le train soit à l'arrêt ou à 300 km/h, le crayon sera à ses pieds
C'est Galilée qui , le premier, a mis cela en évidence : à son époque il utilisa le déplacement en bateau; dans une cabine du bateau, si on fait tomber de l'eau goutte à goutte ( le but était de mesurer l'écoulement du temps ) , rien ne permet de savoir si le bateau est à l'arrêt ou en déplacement
Attention, Galilée précisa bien que le mouvement devait être rectiligne et à vitesse constante.
Galilée dit alors : "le mouvement est comme rien" ce qui voulait dire que ce mouvement rectiligne et à vitesse constante était indétectable
L'air n'a rien à voir dans ce problème que Galilée précisa aussi en décrivant le lâcher d'une pierre depuis le haut du mât du navire : la pierre tombe ... au pied du mât, que le navire soit à l'arrêt ou en mouvement
2 : pouvez vous dire comment le chef de gare VOIT le trajet de VOTRE crayon qui tombe à VOS pieds dans le wagon ?
Dernière modification par bb98 ; 22/05/2012 à 22h30.
Ou encore :
Un basketteur avance avec son ballon, pour le basketteur le ballon va de bas en haut, verticalement.
Mais comment, l’arbitre, voit le déplacement du ballon.
Petit ajout
"la résistance de l'air"...
Dans tout problème il faut, comme on dit, "séparer les variables"
Ici on ne s'intéresse pas à de l'aviation, mais à l'étude des mouvements relatifs ( pour arriver, assez vite possiblement, à la relativité, mais oui ...)
Donc, on peut parfaitement imaginer le problème dans le vide...
Ou, si cela vous gêne, vous vous imaginez jonglant en vélo ( ou voit souvent cela au cirque)
L'artiste lance une balle vers le haut, puis la récupère, après avoir parcouru quelques mètres en vélo
Quelle est la trajectoire de la balle, vue du clown, et la trajectoire de la balle vue des spectateurs ?
Vous voyez que air ou pas air, le problème est le même et que la résistance de l'air n'y joue aucun rôle conceptuel
Bien sûr, la résistance de l'air existe, elle déforme les trajectoires, mais ce n'est pas ce sur quoi on réfléchit ici
Bonsoir,
les trois principes de la relativité restreinte sont :
_L'éther est une notion arbitraire qui n'est pas utile à l'expression de la théorie de la relativité.
_La célérité de la lumière par rapport aux observateurs ne dépend pas de leur vitesse.
_Les lois de la physique respectent le principe de relativité.
pour répondre à la question on a besoin que des deux premiers.
on imagine un train de hauteur h avec une bougie au sol et un capteur au plafond se déplaçant horizontalement à une vitesse constante v
pour le voyageur dans le train un photon part horizontalement de la bougie et atteindra le capteur après un temps t'
tel que t'=h/c
pour le chef de gare, le photon n'a pas parcouru la même distance parce que le train c'est déplacé pendant le temps t d'une distance d=vt et en appliquant pythagore, la distance l parcourue par le photon selon le chef de gare est telle que
l²=d²+h²
comme par principe La célérité de la lumière par rapport aux observateurs ne dépend pas de leur vitesse.
ce qui veut dire que la vitesse de la lumière est c pour le chef de gare et pour le voyageur, alors :
puisque l=ct , alors c²t² = v²t² + c²t'² et donc t²=t'²/(1-v²/c²).
d"où le phénomène de dilatation du temps.
mais commeL'éther est une notion arbitraire qui n'est pas utile à l'expression de la théorie de la relativité.
ce qui veut dire qu'il n'y a pas de référentiel privilégié un système analogue à celui du train placé sur le quai à coté du chef de gare fait que la perception de la dilatation du temps du point de vue du voyageur est réciproque par rapport à celui du chef de gare car pour le voyageur le quai se déplace à la vitesse -v et donc :
c²t'² = (-v)²t'² + c²t² et donc t'²=t²/(1-v²/c²).
cordialement,
Zefram
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
heu la je suis perdu mais je vais poser ma question sous forme a me repondre par oui ou non et après une explication la personne qui lache un objet exemple une feuille , cette feuille tombe verticalement pour celui qui l'a lance mais tombe t'elle verticalement pour le chef de gar enfin si ce n'est pas le cas pourquoi
par ailleurs si la vitesse n'est pas constante et rectiline qu'est ce qui change ?
heu la je suis perdu mais je vais poser ma question sous forme a me repondre par oui ou non et après une explication la personne qui lache un objet exemple une feuille , cette feuille tombe verticalement pour celui qui l'a lance mais tombe t'elle verticalement pour le chef de gar enfin si ce n'est pas le cas pourquoi
par ailleurs si la vitesse n'est pas constante et rectiline qu'est ce qui change ?
Bravo pour le début de réflexion !
Un problème bien posé est souvent en partie bien compris et presque résolu
Attention cependant : on s'intéresse à deux points de vue :
-celui du passager du train
-celui du chef de gare
Donc : bravo, dans le train, ton crayon tombe à tes pieds; son mouvement, tel que tu le vois et que tu peux le décrire est une droite verticale
Attention, le chef de gare voit passer le train, par exemple de gauche à droite
Quand le crayon commence à tomber, le train est à gauche du chef de gare
Quand le crayon est au milieu de sa chute, le train est juste devant le chef de gare
Quand le crayon arrive sur la moquette, le train est à droite du chef de gare
Donc, si on dessine la chute du crayon , VUE DU Chef de Gare, que voit on : (je donne la solution , ce n'est pas la coutume ici, mais vous avez déjà bien réfléchi , bravo ! ) : on voit une COURBE ( faire un dessin pour mieux comprendre)
Ce petit exercice a pour but de faire comprendre qu'un mouvement n'a rien d'ABSOLU, il faut TOUJOURS donner le référentiel, c'est à dire "d'où regarde t on" ce mouvement ( langage simple, presque incorrect , mais c'est pour faire comprendre)
Voila, on est presque à causer de la Relativité ! ( mais oui)
Pourquoi la vitesse doit elle être constante et rectiligne : c'est pour la leçon suivante, concernant ce que l'on appelle l'inertie !
A bientôt
Dernière modification par bb98 ; 24/05/2012 à 21h27.
bon je crois avoir compris mais en faite c'est de la logique donc si j'ai bien compris plus l'on va vite et plus l'objet en question qui tombe tombera plus courbé pour le chef de gare ?
D'accord
NON , ce n'est pas le but de l'exercice, désolé
Faire quelques lectures de SVT niveau 5 ieme, avant de revenir "causer" dilatation du temps ou contraction des longueurs
Bonsoir
une autre petite question , pourquoi le faite que l'on soit en mouvement peut-on voir notre reflet ?
Salut,
Voici un petit schéma qui devrait aider lukarson
La scène dure une seconde, le train va a 100km/h soit 27,75m/s, l'accélération terrestre est de g=9,81m/s²
Une balle lâchée du haut du wagon (vitesse initiale nulle par rapport au wagon)
atteindra la distance de 4,90m et la vitesse de 9,81m/s au bout d'une seconde en raison des deux formules indiquées
Si on a un wagon assez haut pour l'expérience, au bout de 3 secondes la balle tombera plus vite que le train n'avance...
Bien sur on ne tiens pas compte des frottements (l'exemple où tu craches par la fenêtre est hors sujet )
(Tout ça si je ne me trompe pas )
Mais je suis très intéressé par la suite de l'exercice que je décomposerais bien en deux parties:
- La première dans laquelle la balle est remplacée par un photon qui n'accélère pas mais dont la fréquence/énergie augmente au cours de sa "chute"
- La deuxième où le train va a vitesse relativiste est se contracte dans le sens du mouvement
Si vous avez des formules adaptées à ces cas de figure je suis preneur
Sinon j'ai quelques questions :
- Si une source éloignée émet vers la terre l'onde est blueshitée.
Ça veut dire qu'une émission en infra rouge peut être reçue en lumière visible et qu'une émission en lumière visible peut être reçue en rayon x ?
(En exagérant bien sur ou avec une masse supérieure celle de la terre)
- Quand on dit que le train est contracté, j'ai du mal à comprendre pourquoi c'est dans une seule dimension.
A priori le temps est attaché aux trois dimensions de l'espace, si le temps varie il doit le faire sur les trois axes...
Sinon ça veut dire que le temps du voyageur n'est ralenti que dans une dimension ? j'ai du mal... je ne suis pas contre une petite explication
Est-ce uniquement un effet "optique" pour l'observateur ? Sous quelle forme a-ton pu observer ce phénomène ?
Merci d'avance
Mailou
Dernière modification par Mailou75 ; 25/05/2012 à 04h27.
Salut.
Comment définis tu la "chute du photon dont l'énergie augmente" ?
Attention, en réalité le train ne se contracte pas. Ceci n'est apparent que pour le chef de gare qui mesure la vitesse du train.
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
Ce n'est pas le train qui se contracte, mais l'espace (pour le chef de gare).
Mais si il y a une porte à l'entrée de la gare et une porte à la sortie de la gare, que ces portes sont distantes d'une longueur inférieure à celle du train au repos, et qu'elles s'ouvrent automatiquement "juste au moment où le train passe". A partir d'une certaine vitesse, le train peut réellement se situer entre les deux portes fermées du point de vue du chef de gare, car le train est plus court.
En revanche, du point de vue du conducteur du train, c'est la simultanéité qui va résoudre le problème car pour lui les deux portes ne sont jamais fermées en même temps.
Il y a eu dans le passé une longue discussion sur ce problème sur le forum. Cela montre que même si cette contraction n'existe que pour le chef de gare, elle n'en est pas moins réelle.
Dernière modification par Garion ; 25/05/2012 à 15h35.
Je me souviens fort bien de cette discussion, de l'histoire du train qui entre dans un tunnel plus court, etc.
Mais pour le cosmonaute dans la fusée, comme pour les passagers du train, il n'existe pas de contraction. Que peut bien alors signifier ta phrase "elle n'en n'est pas moins réelle" dans ces conditions ? Que signifie le mot réel en physique relativiste ?
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
Je parle de réel pour distinguer d'un phénomène purement optique.
voila une video d'une des series de video qui explique ce phénomene l'experience se montre à 7 minute 15 : allez dans module video et cliquez sur la premiere vignette en haut a gauche des cinq http://ww2.college-em.qc.ca/relativite-animee/
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
Les transformations de Lorentz sont ainsi faites. J'ai du mal à trouver un argument pour le justifier autre que de dire que c'est comme ça parce que ça marche, et que les transfo de Lorentz se démontrent facilement à partir du postulat qu'il existe une vitesse limite invariante, ça tombe tout seul, la contraction des longueurs se fait dans la direction du déplacement, c'est tout.- Quand on dit que le train est contracté, j'ai du mal à comprendre pourquoi c'est dans une seule dimension.
A priori le temps est attaché aux trois dimensions de l'espace, si le temps varie il doit le faire sur les trois axes...
Sinon ça veut dire que le temps du voyageur n'est ralenti que dans une dimension ? j'ai du mal... je ne suis pas contre une petite explication
m@ch3
Never feed the troll after midnight!
Si tu remplaces la balle par un photon, ton problème n'a plus la même configuration. Dans l'état actuel de la physique, un photon (pure quantité d'énergie électromagnétique en mouvement, dépourvu de masse) n'a pas les même propriétés physiques qu'une balle (douée de masse, sensible aux accélérations mécaniques). Tu ne peut pas en toute rigueur transposer ton raisonnement dé l'une des configurations à l'autre et en tirer quelques choses de cohérents. C'est malheureusement ce qui est fait en relativité restreinte, etqui met la physique dans une impasse.
Zog.
Il est remarquable ce site !voila une video d'une des series de video qui explique ce phénomene l'experience se montre à 7 minute 15 : allez dans module video et cliquez sur la premiere vignette en haut a gauche des cinq http://ww2.college-em.qc.ca/relativite-animee/
L'impasse c'est de nier l'évidence des faits quotidiens concrets qui vérifient la relativité restreinte et même la relativité générale (car c'est d'elle qu'il s'agit si on s'intéresse au photon qui "tombe" dans un champ gravitationnel). Les accélérateurs de particules, comme les synchrotrons ou le LHC où bizarrement tiens les particules chargées se comportent exactement comme le dicte la relativité restreinte, les centrales nucléaires qui tire parti de l'énergie de masse, une prédiction de la relativité restreinte, le GPS dont la synchronisation des satellites ne pourrait pas avoir la précision nécessaire si la relativité générale n'était pas prise en compte. Toutes ces choses sont tous des applications pratiques, concrètes. Et on peut rajouter toutes les confirmations expérimentales directes ou indirectes, décalages d'horloges atomiques embarquées dans des avions, déviation de la lumière par les corps massifs (mirages gravitationnels), avance du périhélie de mercure, accélération de la vitesse de rotation des pulsars binaires, observation du redshift gravitationnel...C'est malheureusement ce qui est fait en relativité restreinte, etqui met la physique dans une impasse.
Et j'oublie d'ailleurs la théorie quantique des champs, qui est basée sur la relativité restreinte. Jamais de l'histoire de la physique nous n'avons eu de théorie aussi précise dans ses prédictions que la théorie quantique des champs. Un accord entre valeurs théorique et expérimental sur plus de 10 chiffres significatifs! vous pouvez faire mieux? elle est où l'impasse là?
Bref si vous ne comprenez pas une théorie, ce n'est pas qu'elle est mauvaise, c'est juste que vous ne la comprenez pas, et quand on y met de la bonne volonté ce n'est pas incurable rassurez vous. Ce n'est pas votre compréhension d'une théorie, ou le fait qu'elle ne vous plaise pas qui décide de sa validité, mais son accord avec l'expérience, l'observation. Citez moi la moindre expérience dont les résultats soient en désaccord avec la relativité. Mis à part cette histoire de neutrinos soi-disant supraluminiques dans l'expérience OPERA qui s'est finalement trouvé être une erreur de mesure, vous ne trouverez rien, et c'est pourtant pas faute d'avoir essayer. Les physiciens tentent de mettre cette théorie en défaut depuis plus de 100 ans maintenant, sans succès.
m@ch3
Never feed the troll after midnight!
Le photon n'est pas "laché" comme la balle évidement, je parle d'un lampe qui émet du haut vers le bas du wagon
Après c'est le redshift / blueshift gravitationnel suivant si on s'éloigne ou qu'on s'approche de la planète qui remplace l'accélération
Mais justement j'aurais aimé avoir une ou deux formules applicables pour me faire un p'tit dessin parlant
DurLes transformations de Lorentz sont ainsi faites. J'ai du mal à trouver un argument pour le justifier autre que de dire que c'est comme ça parce que ça marche, et que les transfo de Lorentz se démontrent facilement à partir du postulat qu'il existe une vitesse limite invariante, ça tombe tout seul, la contraction des longueurs se fait dans la direction du déplacement, c'est tout.
m@ch3
Ces contractions sont des conséquences directes de ou y a-t-il d'autres facteurs ?
Merci
Mailou
en fait quand on cherche à démontrer les transformations de Lorentz, ce facteur gamma apparait spontanément. J'avais cherché à le faire il y a quelques années. Il y a plusieurs façon d'y arriver. L'une d'elle est sur sciences.ch, elle part de l'équation de propagation des ondes électromagnétique de Maxwell et cherche une transformation des coordonnées qui fasse que quand on change de référentiel cette équation ne change pas. Personnellement je n'apprécie pas trop cette approche, ce n'est pas assez fondamental.Ces contractions sont des conséquences directes de gamma ou y a-t-il d'autres facteurs ?
J'avais préféré l'approche qui part du postulat qu'il existe une vitesse qui est invariante pour tout référentiel. J'ai tenté par moi meme de faire ce qui existait déjà (mais qu'alors je ne connaissais pas). J'ai considérer dans un référentiel donné un repère x,y,z,t, avec un objet qui se déplace à une vitesse c dans la direction x, puis poser une matrice de passage (ben oui une transformation de Lorentz n'est rien d'autre qu'un changement de base mathématiquement parlant) quelconque qui va transformer les coordonnées x,y,z,t en des coordonnées x',y',z',t' d'un autre repère dans un autre référentiel. On va donc chercher quelle matrice de passage permet d'avoir, dans ce nouveau référentiel, une vitesse c suivant l'axe de x' du nouveau repère pour notre objet. On trouve ainsi une famille de matrice pour lesquelles cela fonctionne.
Mais cela ne suffit pas, et ça je ne m'en étais pas rendu compte sur le coup, ce qui m'avait intrigué. On doit d'ailleurs en pouvoir retrouvé le fil de discussion que j'avais initié sur le sujet à l'époque. Trouver une matrice de passage qui permettent de changer de coordonnées tout en conservant la vitesse c invariante ne suffit pas, il faut en plus qu'il y ait une structure de groupe, c'est à dire que si j'applique la transformation une fois de plus sur x',y',z',t', pour obtenir des coordonnées x",y",z",t" d'un 3e référentiel, cela doit être équivalent à appliquer une transformation du même type directement à x,y,z,t. C'est à dire que la composition de 2 transformation de Lorentz doit être elle-même une transformation de Lorentz.
A partir de là ça vient assez naturellement, il n'y a qu'une seule possibilité.
m@ch3
Dernière modification par mach3 ; 26/05/2012 à 01h38.
Never feed the troll after midnight!
J'apprécie beaucoup la pédagogique avec laquelle vous posez le problème. Et je vais m'efforcer de rester dans le même esprit que vous.L'impasse c'est de nier l'évidence des faits quotidiens concrets qui vérifient la relativité restreinte et même la relativité générale (car c'est d'elle qu'il s'agit si on s'intéresse au photon qui "tombe" dans un champ gravitationnel). Les accélérateurs de particules, comme les synchrotrons ou le LHC où bizarrement tiens les particules chargées se comportent exactement comme le dicte la relativité restreinte, les centrales nucléaires qui tire parti de l'énergie de masse, une prédiction de la relativité restreinte, le GPS dont la synchronisation des satellites ne pourrait pas avoir la précision nécessaire si la relativité générale n'était pas prise en compte. Toutes ces choses sont tous des applications pratiques, concrètes. Et on peut rajouter toutes les confirmations expérimentales directes ou indirectes, décalages d'horloges atomiques embarquées dans des avions, déviation de la lumière par les corps massifs (mirages gravitationnels), avance du périhélie de mercure, accélération de la vitesse de rotation des pulsars binaires, observation du redshift gravitationnel...
Et j'oublie d'ailleurs la théorie quantique des champs, qui est basée sur la relativité restreinte. Jamais de l'histoire de la physique nous n'avons eu de théorie aussi précise dans ses prédictions que la théorie quantique des champs. Un accord entre valeurs théorique et expérimental sur plus de 10 chiffres significatifs! vous pouvez faire mieux? elle est où l'impasse là?
Bref si vous ne comprenez pas une théorie, ce n'est pas qu'elle est mauvaise, c'est juste que vous ne la comprenez pas, et quand on y met de la bonne volonté ce n'est pas incurable rassurez vous. Ce n'est pas votre compréhension d'une théorie, ou le fait qu'elle ne vous plaise pas qui décide de sa validité, mais son accord avec l'expérience, l'observation. Citez moi la moindre expérience dont les résultats soient en désaccord avec la relativité. Mis à part cette histoire de neutrinos soi-disant supraluminiques dans l'expérience OPERA qui s'est finalement trouvé être une erreur de mesure, vous ne trouverez rien, et c'est pourtant pas faute d'avoir essayer. Les physiciens tentent de mettre cette théorie en défaut depuis plus de 100 ans maintenant, sans succès.
m@ch3
Pour cela, restons pour l'instant sur la RR (avant de juger de la nécessité d'aller plus loin avec la RG), et choisissions au hasard l'une des preuves que vous avancez au crédit de la RR et examinons la sereinement. Disons, les corrections relativistes du GPS. D'après mes investigations, le temps s'écoulant plus vite au dessus de nos têtes (prédominance des effets de la RG sur ceux de la RR) la seule correction sérieuse est celle qui consiste à augmenter délibérément lors de son émission la fréquence du signal émis par les satellites, de telle sorte qu'à l'arrivée de ce signal sur terre sa fréquence corresponde à celle que les récepteurs attendent. Mais ce qui n'est pas dit, c'est que d'autres corrections plus importantes sont appliquées (prise en compte de la traverse de l'ionosphère, blueshift gravitationnel, l'effet Sagnac, etc.). Et le plus important c'est que ces corrections n'impactent à aucun moment la précision des coordonnées calculées. Elles ne servent a priori qu'à stabiliser la fréquence du signal sur terre, pour des récepteurs dont la bande passante de réception est par ailleurs relativement étendue.
Pour être complet, il faut mentionner les synchronisations d’horloges embarquées mais les ajustements effectués ne sont en aucun cas effectuées sur la base de calculs relativistes. Il s’agit de corrections purement mécaniques que je pourrais détailler dans un autre post si nécessaire. On peut penser que les désynchronisations de ces horloges embarquées sont dus aux effets de la relativité, mais encore une fois, on n’en sait vraiment rien.
Je pourrais prendre comme ça une par les prétendues preuves que vous tentez de mettre au crédit de la théorie de la relativité.
la traversée de l'ionosphère, je veux bien, ce n'est pas relativiste, le souci c'est que cela ne peut en aucun cas induire un décalage qui ne cessera de s'allonger dans le temps : on va juste osciller autour d'une valeur moyenne.Mais ce qui n'est pas dit, c'est que d'autres corrections plus importantes sont appliquées (prise en compte de la traverse de l'ionosphère, blueshift gravitationnel, l'effet Sagnac, etc.)
le blueshift gravitationnel, ben ce n'est rien d'autre que le ralentissement du temps à cause de la gravitation, bref, ce n'est pas un effet en plus.
l'effet sagnac c'est de la relativité aussi, donc si on doit le corriger, c'est bien qu'il existe et que la relativité est correcte...
Enfin bref l'argument ne prend pas. Même si les corrections non relativistes sont plus grandes que les corrections relativistes, ces dernières sont cumulatives : 0,039ms par jour (soit une erreur de position de déjà 10km), ce qui, depuis que la constellation est opérationnelle représente 0,2 secondes, ce qui n'est pas négligeable : une erreur de positionnement de 62000km!!!
non, on le sait très bien, c'est indubitable, c'est juste que vous vous n'y croyez pas parce que la relativité vous déplait.On peut penser que les désynchronisations de ces horloges embarquées sont dus aux effets de la relativité, mais encore une fois, on n’en sait vraiment rien.
et bien allez-y faites donc pour voir.Je pourrais prendre comme ça une par les prétendues preuves que vous tentez de mettre au crédit de la théorie de la relativité.
m@ch3
Never feed the troll after midnight!
D'abord l'effet Sagnac n'est absolument pas une preuve de la véracité de la RR. Il est d'ailleurs une preuve de la composition Galiléenne de la vitesse de la lumière avec d'autres vitesses ...le blueshift gravitationnel, ben ce n'est rien d'autre que le ralentissement du temps à cause de la gravitation, bref, ce n'est pas un effet en plus.
l'effet sagnac c'est de la relativité aussi, donc si on doit le corriger, c'est bien qu'il existe et que la relativité est correcte...
Enfin bref l'argument ne prend pas. Même si les corrections non relativistes sont plus grandes que les corrections relativistes, ces dernières sont cumulatives : 0,039ms par jour (soit une erreur de position de déjà 10km), ce qui, depuis que la constellation est opérationnelle représente 0,2 secondes, ce qui n'est pas négligeable : une erreur de positionnement de 62000km!!!
Ensuite, ce que je vous disais, c'est que le prétendu décallage temporel n'est a aucun moment pris en compte dans les calculs de coordonnées. Il n'est uniquement pris en compte dans l'ajustage de la fréquence du signal émis par les satellites pour indiquer aux récepteurs terrestes leur heure, position, et autres données techniques. Le calcul des coordonnées terrestes est réalisé par résolution d'un système d'équations formulé avec les différences de temps d'émission des signaux d'au moins 4 satellites. Il est fallacieux de faire passer les résultats de vos estimations pour ce qu'ils ne sont pas. A part le callage des fréquences de signaux de communication générés à bord des satellites (et là encore il faudrait juger de leur contribution à la fréquence du signal sur terre), ces supposés écarts sont purement et simplement ignorés dans le calcul des coordonnées.
Et pour continuer avec le passage en revue de vos preuves, on peut prendre encore au hasard, la production d'énergie nucléaire. En quoi fissuer et briser des atomes et récuppérer une partie de l'énergie émise est une preuve de E=mC2? Et si c'était le cas, pourquoi faire bruler une buche ne l'était pas déjà? On passait déjà bien d'une matière (bois) à de l'énergie (chaleur) avec au passage des déchets (ou des cendres) non?
C'est pas du tout la réponse que j'attendais
Je voulais savoir si, pour représenter la contraction dans le sens du mouvement, le facteur de Lorentz était suffisant ou si j'ai besoin d'une autre donnée ?
Sinon pour la "chute" du photon j'ai trouvé ça comme formule :
mais je ne comprends pas comment l'utiliser (si c'est la bonne)
pour la réception , pour l'émission ok !
Mais r c'est lequel émission ? réception ? de toute façon avec un seul j'arrive à rien... help
Comment peut tu être aussi précis dans ta description des effets de la RR et ne pas croire à la théorie elle-même ?