… si je verse de la javel dans de l’eau infectée de bactéries, direct la javel détruit, désagrège, les bactéries qui sont dans cette eau : n’est-ce pas plutôt ce genre de truc qu’il faut pour éradiquer définitivement le virus chinois ?
Autrement dit ne sont-ce pas plutôt des traitements dignes de ce nom qui mettront fin à la pandémie, à moins qu’elle finisse par disparaître d’elle-même, naturellement ?
Faux, regarde ce qui se passe en Afrique par exemple, ou chez nous.Envoyé par aygline
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Trump ?
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Le vrai problème c'est que les traitements contre les virus, ça fait longtemps qu'on en cherche et on a toujours énormément de mal à trouver un truc qui fonctionne.
Bien entendu avec un traitement différent par virus.
De plus de même si on a un traitement, rien n'empéchera le virus de muter pour y échapper.
Pour l'instant et quoi que puissent raconter certains (y compris des sommités), on n'a pas d'autres solutions que le vaccins ou à défaut des traitement symptomatique à l'efficacité limitée.
"La réalité c'est ce qui reste quand on refuse d'y croire" P.K. Dick
Je ne suis pas sûr de comprendre la phrase, mais on ne peut pas dire que le VIH atteint les homosexuels comme le SARS COV2 affecte les poumons. Le VIH n'a aucune préférence en termes d'orientation sexuelle, il peut se transmettre lors de rapports sexuels non protégés entre êtres humains....
D’autres virus ne sont pas respiratoires et font acception de personnes en quelque sorte, de choix de vie : exemple le VIH atteint prioritairement les personnes homosexuelles.
Tout le monde doit respirer pour vivre mais tout le monde, n’est pas homosexuel
Dernière modification par Gephil47 ; 16/07/2021 à 16h43.
Archi-FAUX!
Cite-moi une SEULE maladie épidémique éradiquée par un traitement!
pourtant il y a des maladies infectieuses (bactériennes) qu' on sait très bien traiter, et guérir, par des antibiotiques......
Les maladies infectieuses qu' on a pu contrôler (rendre très rares, ou, parfois, éliminées ) l' ont été soit par la vaccination seule, soit par des changements de mode de vie (hygiène, salubrité des eaux....) associés parfois aux vaccins. Le traitement curatif ne sert à rien pour ça......*
les traitements préventifs (pour le paludisme par exemple) ils réduisent le nombre de malades, mais lorqsu'on veut de débarrasser du palu (dans les DOM, ou au Brésil..) il a fallu changer un 'petit détail' de l' environnement: repérer et tuer systématiquement le vecteur - l' anophèle- qui vit dans toutes les eaux stagnantes depuis la plus petite flaque d' eau temporaire..... et même dans le moindre petit pot de yaourt laissé à l' abandon, et à la pluie....donc avec 1 peu de flotte dedans....
quand la saleté de moustique peut être éradiquée (par nettoyage, insecticide, ou, très simple, par quelques gouttes d' huile en surface de toute flaque ou pot d' eau), le paludisme disparaît totalement....
quand on ne peut pas (par exemple quand les habitants ont besoin de rizières pour faire pousser le riz qui les nourrit), alors le palu persiste....
As-tu compris?
* le cas de la tuberculose est plus complexe, mais ici aussi le traitement des formes bacillifères (depuis 1950) n' a été que le COMPLEMENT des mesures hygiéniques antérieures -et ultérieures-, complément qui a amélioré le bilan, sans pour autant éradiquer la maladie.....
rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.... (Pierre Dac...)
Bonjour,
Le paludisme ( https://www.pasteur.fr/fr/centre-med...dies/paludisme ) est causé par un parasite véhiculé par des insectes. Le parasite en question est un être vivant et donc, lui couper les vivres le fait disparaître car s’il ne se nourrit pas il ne peut pas subsister.les traitements préventifs (pour le paludisme par exemple) ils réduisent le nombre de malades, mais lorqsu'on veut de débarrasser du palu (dans les DOM, ou au Brésil..) il a fallu changer un 'petit détail' de l' environnement: repérer et tuer systématiquement le vecteur - l' anophèle- qui vit dans toutes les eaux stagnantes depuis la plus petite flaque d' eau temporaire..... et même dans le moindre petit pot de yaourt laissé à l' abandon, et à la pluie....donc avec 1 peu de flotte dedans....
quand la saleté de moustique peut être éradiquée (par nettoyage, insecticide, ou, très simple, par quelques gouttes d' huile en surface de toute flaque ou pot d' eau), le paludisme disparaît totalement....
quand on ne peut pas (par exemple quand les habitants ont besoin de rizières pour faire pousser le riz qui les nourrit), alors le palu persiste....
Même chose pour la peste ( https://www.pasteur.fr/fr/centre-med...maladies/peste ) dont l’agent pathogène est une bactérie ie un unicellulaire qui donc, en tant qu’être vivant, doit lui aussi se nourrir pour subsister car sans cela, il meurt.
Donc n'est-ce pas plutôt qu'une maladie virale ce n'est pas exactement la même chose qu’une maladie bactérienne même si le mécanisme darwinien par sélection naturelle en termes d’adaptations aux milieux etc., s’applique également aux virus et aux bactéries ? N'est-ce pas plutôt ce qu’il se passe avec la résistance de certaines bactéries aux antibiotiques (« les antibiotiques c’est pas automatique » ?
Pour détruire une bactérie il faut lui ôter ce qui lui permet de subsister en se nourrissant. Mais un virus n’est « que » de la pré-vie ou du prébiotique, un agencement de molécules organiques qui n’a pas la vie mais qui contient de l’information génétique ou biologique.
Et donc sans du tout devoir se nourrir mais du moment que les conditions sont réunies pour qu’il continue d’exister (température < 60°C etc.), un virus subsiste.
=> un virus se chasse-t-il, en quelque sorte, tout-à-fait de la même façon qu’une bactérie ou qu’un parasite ?
C’est plus difficile d’éradiquer un virus que d’éradiquer une bactérie ou un parasite. Mais si le nombre de virus diminue drastiquement (avec les vaccins etc.) alors direct le nombre de mutations possibles par seconde, va diminuer également.Le vrai problème c'est que les traitements contre les virus, ça fait longtemps qu'on en cherche et on a toujours énormément de mal à trouver un truc qui fonctionne.
Bien entendu avec un traitement différent par virus.
De plus de même si on a un traitement, rien n'empéchera le virus de muter pour y échapper.
Pour l'instant et quoi que puissent raconter certains (y compris des sommités), on n'a pas d'autres solutions que le vaccins ou à défaut des traitement symptomatique à l'efficacité limitée.
Le coronavirus ne mute sans doute pas davantage que tout autre (virus), simplement comme il y a un nombre très élevé de personnes infectées cela fait qu’au final, des mutations « favorables » (pour le virus, mais dont il vaudrait mieux pouvoir se passer), arrivent relativement fréquemment.
Les vaccins grippaux tous les ans doivent être réactualisés parce que les virus grippaux mutent mais comme relativement peu de personnes choppent la grippe tous les ans, peu de mutations « favorables » (pour les virus de la grippe) se produisent chaque année.
ce parasite se nourrit essentiellement d'hémoglobine qu'il vient boulotter dans nos hématies, il est donc difficile de lui couper les vivres sans succomber avant lui. Le reste de ton intervention est à l'avenant.
là aussi... FAUX....
par exemple, la pénicilline n' affame pas le microbe.... elle détruit la paroi bactérienne.... et alors la bactérie explose....
les quinolones bloquent la réplication de l' ADN bactérien....
etc
tout ça, c' est, entre autres, sur wikipedia.....
regarde ce qui est réellement, au lieu d' inventer....
La seule chose d' intéressant dans tes dires.. c' est qu' il est indispensable d' adapter les vaccins aux mutations de la souche pathogène...
Pour covid, on aimerait savoir combien de temps il faut pourLes vaccins grippaux tous les ans doivent être réactualisés parce que les virus grippaux mutent mais comme relativement peu de personnes choppent la grippe tous les ans, peu de mutations « favorables » (pour les virus de la grippe) se produisent chaque année.
-fabriquer une nouvelle souche qui immunise parfaitement contre le variant nouveau [par génie génétique ou autrement]
-ou fabriquer le nouvel ADN qui immunise parfaitement contre le variant nouveau ,( ADN qui sera amplifié en permanence pour constituer la base de fabrication de l' ARN vaccinal)
-puis les installer en lieu et place des anciens dans la chaîne de fabrication.... ou mieux dans une ligne parallèle, si on a choisi d' administrer un vaccin polyvalent.......
Après, faut-il se précipiter, si on a la preuve que le nouveau variant est en train de provoquer une hécatombe mondiale impossible à éviter,
ou bien prendre le temps d' évaluer les conséquences du nouveau variant et en déduire l' utilité ou la non-utilité d'immuniser spécifiquement contre le variant (après avoir fait tous les tests de sécurité médicale ET administrative du futur nouveau vaccin) ?
rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.... (Pierre Dac...)
