C'est comme poser comme question "Comment explique-t-on que 3=2 ?"Envoyé par qA1
Détail : La théorie de Newton, classique, lui a permis de montrer que la lumière était déviée. La différence de prédictions entre la gravitation de Newton et la RG n'est pas qualitative (déviation ou pas) mais quantitative (valeur de la déviation) ; il y a un facteur 2 les différentiant.
Dernière modification par Amanuensis ; 10/07/2011 à 11h25.
En fait pour Newton la gravitation c'est une force d'attraction tandis que pour Einstein c'est une courbure de l'espace engendrée par la/les masse(s) qui s'y trouvent. Même si cette courbure engendre des effets qui ressemblent à une attraction, en réalité les photons qui passent à côté d'une masse (soleil par exemple) ne sont pas attirés.
Le trajet des photons suit toujours le plus court chemin. Dans un espace euclidien qui est celui de la vie de tous les jours et qui est le seul que notre imagination se représente facilement ce plus court chemin est la ligne droite. Dans un espace courbe ce plus court chemin est une géodésique que nous percevons, vu de "l'extérieur" comme une courbe. D'une certaine manière on peut dire que cette géodésique est une droite qui a subi la courbure de l'espace dans lequel elle se trouve.
C'est exactement le même problème que rencontrent les bateaux ou les avions lors de longs trajets car la rotondité de la terre n'y est plus négligeable alors que les cartes sont des projections planes. Déterminer le plus court chemin ne consiste pas à tracer une ligne droite avec une règle, mais à suivre un trajet en apparence plus long pour le profane et courbé (d'où le nom de géodésique qui désigne initialement ce type de trajet, le préfixe géo signifiant terre).
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
voir --------------------------------------------------------------------------------
http://media4.obspm.fr/public/MPA/pa...ensing-ex.html et http://fr.wikipedia.org/wiki/Lentille_gravitationnelle
et pour avoir une image approximaive voir distorsion en barillet de la lumiére,bon lecture...
Le premier lien est mal entré.
voir aussi sur le net : relation entre indice de réfraction et champs gravitationnel [PDF] REMERCIEMENTS page 21 une belle illustration.
il se trouve ici distorsion de lumiére Calcul déterminant la distorsion de lumière des anneaux d'einstein ...
Là ça fait deux messages où il n'y a même pas de lien.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
aussi ici Tests expérimentaux de la relativité générale - Wikipédia
désolé,je suis pas fort en informatique,je fait coupiér, coller
Non, il ne faut pas faire un copier-collé. S'il y un lien sous-jacent à un mot ou une expression, en faisant un clic droit tu peux récupérer l'adresse du lien (regarde le petit menu qui s'affiche alors). Ensuite tu le colles dans le texte.
Fais quelques essais en utilisant la rubrique Tests du forum : http://forums.futura-sciences.com/forum-de-tests/
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
si j'ai compris un petit peu la RG c'est les rayons lumineux qui dessinent (suivent) la trame de l'espace-temps,pourquoi on l'applique pas à une atome(hydrogéne) en remplaçant les constantes gravitationnels pas les constantes éléctromagnétique?puisque les deux forces sont décritent par les mêmes structure mathématique(classique).
Trois raisons (au moins) :
1) Les modèles mathématiques classiques sont peut-être identiques, mais pas la physique parce qu'il n'y a pas de masse négative.
2) Le progrès de la physique a montré que le modèle classique de la gravitation était incorrect, et l'a remplacé par la théorie d'Einstein.
3) Le progrès de la physique a montré que le modèle classique de l'électro-magnétisme était incorrect, et l'a remplacé par l'électro-dynamique quantique.
On est arrivée avec l'EDQ à une description satisfaisante de l'atome d'hydrogène ; on ne peut pas y arriver avec une description "à la RG", en particulier parce que les effets quantiques sont nécessaires pour la description de l'atome.
Oui mais avec une interaction entre électrons faites par des photons virtuels, particules hautement théoriques que l'on ne pourra jamais voir, pure spéculation mathématique! Et je dirais même plus, résultat d'une masturbation intellectuelle pour arranger les bidons de façon justement bidon !
Juste en passant :
Personnellement, je ne trouve pas que les technologies basées sur ce genre de considérations soient "bidons" et ne marchent donc pas mais comme je peux me tromper, il est nécessaire de fonder cette affirmation péremptoire, en particulier pour savoir en quoi les physiciens font "du bidon" (connaitre à fond leurs théories me semble aussi un préalable indispensable).
Mathématiquement, cette théorie a la structure d'un groupe abélien avec un groupe de jauge U(1). Le champ de jauge qui intervient dans l'interaction entre deux charges représentées par des champs de spin 1/2 est le champ électromagnétique.
Physiquement, cela se traduirait en disant que les particules chargées interagissent par l'échange de photons, mais les théoriciens on rajoutés "virtuels" car sinon on devrait les voir et comme ce n'est pas possible...
C'est donc bien une théorie mathématique venant de la théorie des champs et pas d'une base physique.
On explique de la même façon l'effet Casimir qui est expliqué par les fameuses particules virtuelles des fluctuations du vide quantique.
Une particule virtuelle est une particule dont les effets ne sont pas repérables, ni directement, ni indirectement mais dont l'existence est liée à l'explication de certains mécanismes fonctionnels.
Elle est le résultat d'une démarche déductive imaginaire pour combler un manque théorique. Le superpartenaire en supersymétrie en est un exemple.
tss... les particules virtuelles c'est juste une façon de faire les calculs (calculs perturbatifs). Une formulation sans particules virtuelles existe il me semble (canonique??), mais elle n'a guère d'avantages du point de vue calculatoire. La formulation utilisée ne changeant pas les prédictions d'une théorie, on s'en fiche un peu que les particules virtuelles ne soient que de la spéculation mathématique.Oui mais avec une interaction entre électrons faites par des photons virtuels, particules hautement théoriques que l'on ne pourra jamais voir, pure spéculation mathématique! Et je dirais même plus, résultat d'une masturbation intellectuelle pour arranger les bidons de façon justement bidon !
m@ch3
Never feed the troll after midnight!
Bonjour Alan,
L'existence d'une vitesse limite n'a de signification qu'en considérant les autres conséquences :
- la physique doit s'écrire à 4 dimensions car ces dimensions se mélangent d'un observateur à l'autre.
- L'équivalence masse énergie entraine que que l'énergie totale est une mesure de la masse.
L'ensemble de ces 3 faits constitue un modèle cohérent.
Comprendre c'est être capable de faire.
Bonjours !
Selon Bohm, dans son univers holographique il y a des liens apparent allant plus vite que la lumière entre les particules subatomiques.
Selon Bohm ces particules subatomiques sont capablent de rester en contact avec d’autres peu importe la distance.
Si Bohm a raison, il n'y a donc pas de vitesse limite dans l'univers.
Je suis d'accord avec Bohm, je ne croi pas a une vitesse limite dans l'univers.
Le Troll . .
Voilà qui présente effectivement le problème sous un autre angle...
L'hypothèse (de Bohm) rejette le dualisme, la séparation entre la conscience et la matière : l'ordre implicite expliquerait la relation entre matière et conscience. Dans ce modèle, l'esprit et la matière sont perçus comme des projections dans notre ordre explicite de la réalité sous-jacente, l'ordre implicite.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Esprit_...que#David_Bohm
Salut,
La théorie de Bohm est en désaccord avec l'expérience lorsque la mécanique quantique relativiste est nécessaire.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
il suffit de quantifier la RG: la courbure de l'éspace-temps,la métrique de minkowski en particuliér
Encore mieux.il suffit de quantifier la RG: la courbure de l'éspace-temps,la métrique de minkowski en particuliér
L'etude de l'aspect fractal de l'integration multi-echelle de Charles Auffray et de Laurent Nottale peut-être.
http://www.youtube.com/watch?v=WELZ-...eature=related
une ligne droite sur mon pc devient pixiliser(quantifiér) si je m'approche trop de l'écran(aggrandir la résolution),donc à chaque résolution on fait apparaitre des 'variables cachés',mais la physique moderne fait l'integration des ces variables cachés à toutes les échelles,exemple,propabilé de présence,les physiciens on intégrés sur tous l'univers pour êtres sûr ,donc ils n'ont pas besoins de plus de résolution.. les particules virtuélles et les diagrames de Fynman...théorie de renormalisation ...on tous cas c'est une belle approche théorique.
je n'est pas pas l'arsenal de physique théorique(le droit) d'en juger le contenu (c'est un jugement phylo...)
c'est une belle démarche (que j'ai étudier) malgré tout c'est artefact, et on continu a décrire un monde fractal avec des outil continu...et je pense qu'il doit exister une maniéré plus efficace de décrire un monde fractal avec des outils mathématique radicalement différent.
Cette discussion étant manifestement un attrape-mouche pour les visions les plus farfelues (malgré un nettoyage énergique pratiqué hier) il est temps de la clore (à la vitesse de la lumière).
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
