salut,
le principe d'équivalence a plusieurs énoncés dont un simple qui consiste à dire que localement l'espace-temps est celui de Minkowski. Donc supposer qu'il existe un principe différent pour les anti-particules revient à rejeter en bloc l'interprétation géométrique de la RG
pour ça Skippy a raison... cf son histoire de pomme
tu n'as rien perdu
non. Dans ce cas, pas le choix : il faut résoudre le problème à 2 corps en RG. Ce qui est d'autant moins trivial qu'en fait c'est un problème à trois corps : les deux objets massifs + le champ gravitationnel qui est dynamique (émission d'ondes gravitationnelles, etc).Au passage, le principe d'équivalence, il est toujours valable lorsque la masse n'est plus négligeable devant celle qui crée le champ gravitationnel*?
d'ailleurs, même si la masse de l'objet reste négligeable, il est possible aussi que le mouvement ne soit plus géodésique si la "particule test" possède un moment cinétique. Dans ce cas il y a couplage entre cette rotation et la courbure. L'équation du mouvement est alors celle de Papapetrou qui redonne l'équation des géodésiques dans la limite où le moment cinétique tend vers 0
c'est parfaitement justeLa géodésique ne dépend pas de la vitesse, mais la géodésique suivie en dépend, puisque la trajectoire dépend des conditions initiales. Prends une pomme, elle ne suivra pas la même géodésique suivant que tu la lâches avec une vitesse nulle ou que tu la lances avec une vitesse initiale (autre que verticale (et sans pinailler avec les effets de rotation de la Terre…)).
(J'ai peur d'écrire des conneries monumentales…)
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