Dans ce contexte, ça veut dire que ce n'est pas suffisant, non-réductible à "ta" théorie !
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Dans ce contexte, ça veut dire que ce n'est pas suffisant, non-réductible à "ta" théorie !
aaaah ok merci.
Mais c'est pas de ma faute, je suis pas neurobiologiste...
Oui ok, pourquoi pas (je ne me souviens même plus de mes arguments et si j'étais d'accord ou pas et tu as oublié après Ta-daaa ! ).
Mais il me manque la définition de la liberté humaine. Ce n'est pas pour pinailler, je m'explique: est-ce qu'un humain qui se sent libre est libre ?
Pourquoi ce sentiment de liberté qui provient d'une "prison physico-chimique" (ça ne demande pas de réponse, c'est pour éclairer la définition à venir).
Je ne fais pas intervenir de processus quantiques qui pourraient, si je connaissais le sujet et si celui-ci voulait me faire plaisir, montrer que... Bref, pour trancher, j'attends quand même le fin mot de la neuro et de la physique.
"Музыки хватает на всю жизнь, но целой жизни не хватает для музыки"
Rachmaninoff
Tu veux bien m'expliquer pourquoi tu attends le fin mot de la physique pour une question neuro??
"Музыки хватает на всю жизнь, но целой жизни не хватает для музыки"
Rachmaninoff
Parce que quand on saura tout sur tout (tout, hein? bon), le neurologue aura vérifié auprès du physicien, soit qu'il n'existe que les phénomènes physico-chimiques connus actuellement qui expliquent complètement le fonctionnement du cerveau par des mécanismes et des modèles en cours de développement, soit qu'il existe des "états ou manifestations physiques particulier(e)s" encore actuellement à l'état de recherche ou non connus (particules, états quantiques ou je ne sais quoi puisque seuls, physicien le sait (le saura, jusqu’à ce qu'il nous le dise : )) nécessaires pour avoir le fonctionnement du-dit cerveau.
libre que veux tu dire par là ?Oui ok, pourquoi pas (je ne me souviens même plus de mes arguments et si j'étais d'accord ou pas et tu as oublié après Ta-daaa ! ).
Mais il me manque la définition de la liberté humaine. Ce n'est pas pour pinailler, je m'explique: est-ce qu'un humain qui se sent libre est libre ?
Pourquoi ce sentiment de liberté qui provient d'une "prison physico-chimique" (ça ne demande pas de réponse, c'est pour éclairer la définition à venir).
Je ne fais pas intervenir de processus quantiques qui pourraient, si je connaissais le sujet et si celui-ci voulait me faire plaisir, montrer que... Bref, pour trancher, j'attends quand même le fin mot de la neuro et de la physique.
libre vis à vis de son conditionnement actuel ?
Bjour Myoper,
Donc, tu n'étais pas d'accord avec moi vu qu'il ns manquait de savoir si ttes les lois régissant notre physico-chimie étaient ttes déterministes ou pas.
Donc, j'ai une question importante : existe-t-il des cellules indépendantes dans notre corps ? ( j'ai entendu dire que les globules blancs seraient autonomes et pourraient apprendre des nvelles choses )
C'est très étrange, je me pose une question: ton cerveau chimico-quid il fait comment pour répondre à des questions complexes ou des réponses physiques complexes ?Bjour Myoper,
Donc, tu n'étais pas d'accord avec moi vu qu'il ns manquait de savoir si ttes les lois régissant notre physico-chimie étaient ttes déterministes ou pas.
Donc, j'ai une question importante : existe-t-il des cellules indépendantes dans notre corps ? ( j'ai entendu dire que les globules blancs seraient autonomes et pourraient apprendre des nvelles choses )
Je ne peux absolument pas partager cette vision parfaitement mécaniste ni d'ailleurs une autre: je n'ai pas de réponse. Si nous ne sommes que chimico-mécanique alors il faut expliquer comment il est possible de développer une fonction autre que mécaniste (le langage, la cuisson des aliments, ou même la procrastination?). Comment expliquer avec une vision purement mécaniste notre faculté d'état miroir non seulement avec les nôtres mais aussi avec des êtres différents ou des animaux? Votre explication est donc bien pauvre, cher NeoC et bien mal étayée me semble-t-il.
Et ne venez pas avec la MQ dans notre cerveau parce que c'est pas un argument valable scientifiquement (expérimenté, prouvé, reproduit, quantifié)...Il ne faut pas "flouter" une pensée (je veux dire prédire une chose que l'on sait pertinemment qu'on a pas expérimenté, et faire semblant que c'est une vrai théorie).
Que faites vous de la construction du langage ? Que faites-vous de la notion (définition médicale) de conscience, que faites vous de la notion d'outils et de développement ? Que faites-vous de la structure ?
Je pose la précisément cette question.libre que veux tu dire par là ?Mais il me manque la définition de la liberté humaine. Ce n'est pas pour pinailler, je m'explique: est-ce qu'un humain qui se sent libre est libre ?
Pourquoi ce sentiment de liberté qui provient d'une "prison physico-chimique" (ça ne demande pas de réponse, c'est pour éclairer la définition à venir).
libre vis à vis de son conditionnement actuel ?
C'est ça: il restait à prouver que dans chaque condition, une seule option était possible (c.a.d. que l'univers aurait été exactement forcément tel que nous le connaissons à l'atome près - tout est écrit et tout sera prévisible quand, ou si nous connaissions toutes les lois de l'univers), qu'il n'existe pas de phénomènes émergents permettant plusieurs possibilités de réponses (degrés de libertés) - cf message de runjulia - et qu'il existe un principe de causalité absolu (inviolable).
Mais mon principal problème, en l'état des connaissances actuelles, est que la liberté n'est pas définie ici ("l'absence de liberté" des réactions physico-chimiques pourraient entrainer, lors d'une de ses réactions, un concept de liberté humain à préciser).
"Par définition", un organisme est composé d 'éléments (de cellules, entre autres) interdépendants (de toutes façons, tel que tu décris ici le monde, rien ne peux être indépendant de rien) mais le système immunitaire et les globules blancs, entre autres encore, "apprend" tout le long de la vie et se modifie (définir apprendre).
oui mais bon pour parler de liberté humaine déjà il faudrait évoluer dans un endroit où on ne subit aucune pression sous quelque forme que ce soit.
De toute façon cela revient toujours à se poser la question , c'est quoi un être humain ?
un automate qui réagit toujours de la même façon vis à vis des informations qu'il reçoit ( pour les adeptes du full déterminisme)
ou autre chose mais ceux ce quelque chose serait en plus de tout le reste ?
c'est un peu dur de définir la liberté alors que nous tous avons été plus ou moins imprégné par un endoctrinement ...
on parle pas de définition philosophique mais de définition physique => pas de raison d'évoquer l'endoctrinement