bonsoir,
merci à tous pour vos réponses sans que je m'exprime , sachant ( et j'ai eu raison ) que vous aviez plus à m'apporter en vous écoutant.
il me semble qu'un des iatus vient de la difficulté à intégrer ( en physique ) l'infini dans ses modèles et théories.
on a beau être passé à la "réfutabilité", qui allège la charge de la preuve.
il reste que cette notion est par définition non observable et donc non mesurable.
je me trompe peut être ( certainement dans mon approximation ), mais toute théorie qui ferait appel à l'infini serait par essence non réfutable.
ce qui est génant d'un point de vue epistémologique.
merci à tous anyway.
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