L'infini n'est pas mesurable, donc pas réfutable, difficile de lui trouver du sens physique, cela n'implique pas que l'univers soit fini, par contre si jamais il est fini, on pourra (peut-être...) le savoir, et même si on arrive pas à le savoir, cela n'impliquera pas que l'univers soit infini.
Sinon, de quoi parle t-on? De ce qui est observable.
En rapport à quoi? A un modèle (que l'on peut huer, mais relativement solide sur plusieurs pans).
Donc en rapport à ce modèle, ce qui est observable est le cône de lumière passé (et son intérieur), le sommet du cône étant le point de vue, et la taille n'est pas spatiale.
Cela n'empêche de regarder juste le côté spatial du truc, et là c'est arbitraire (choix du référentiel) , et c'est (sauf erreur) également le cas si l'on prend le référentiel comobile, la taille de la tranche spatiale observable dépendra d'un choix arbitraire.
Tout ça pour dire que faire une référence (uniquement) spatiale cosmologique (finie, infinie) est plus que bancale, pour pas dire...sans aucun sens, du coup, la taille de l'univers observable est une question qu'on peut mettre à la poubelle car plus valide, à reformuler complètement pour éventuellement en faire une discussion cadrée en rapport au modèle.
Je résume:
1: Infini, non réfutable.
-2: Parler de taille (uniquement) spatiale, (finie ou infinie) est invalide.
Petit laius en espérant être repris pour "améliorer" ma compréhension...rien de péremptoire, juste ce que me semble dire le modèle...
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