bonjourEst-ce que Heisenberg n'avait pas lié la mesure la mesure de la vitesse de l'électron ou sa position exacte, en fonction de la décision de l'observateur (en sous-entendu, bien sûr) de mesurer ceci ou cela.. ? Ce point mériterait d'être débattu.
Parce que je ne vois pas de référence à l'observateur en cette fin de votre (magnifique) exposé, Lortagem.
Le temps et la mesure du temps sont en effet deux cohses très différentes. En effet une horloge isolée cela ne sert à rien ni à personne et donc il faut lui donner des instructions pour la faire servir à quelque chose, par l'intermédiaire d'un opérateur/observateur pour la faire servir à quelque chose. Le temps est un nombre de secondes, donc qu'est-ce que la seconde, la seconde est :
La question revient au fond de savoir s'il faut connaître la nature du temps, pour mesurer le temps ? Et si la question de savoir ce qu'est le temps est-ce une question de physiciens puisque, de fait, pour faire de la Physique il est inutile de savoir ce qu'est le temps en effet si la mesure du temps est objet des sciences physiques, le temps lui-même concerne en fait très peut les sciences physiques. Il est donc en fait très peu utile de savoir ce qu'est le temps pour étudier le mouvement dans la Nature, ce qu'essentiellement, font les sciences physiques.définition 1 : La seconde est la durée de 9 192 631 770 période de la radiation correspondant à la transition entre les deux niveaux hyperfins de l’état fondamental de l’atome de césium 133
D'autre part il semble que la question de l'origine d'une chose est à distinguer de celle de sa nature. Quand les glaciologues font pêter des bulles d'air hors de carottes glacières, qui datent par hypothèse d'un million d'années ou autre, l'origine de ces bulles d'air est l'athmosphère qui régnait sur la terre il y a de cela un million d'années ou autre, mais pour connaitre la nature de ces bulles d'air, il faut une fois extraites, en étudier la composition chimique : https://fr.wikipedia.org/wiki/Carotte_de_glace2- Vu justement que le principe d'indétermination nous apprend que, fondamentalement, une particule ne peut avoir simultanément de position exacte et de vitesse nulle (nous serions alors capable de la localiser parfaitement), n'est-ce pas cette règle fondamentale (qui impose d'avoir soit une vitesse soit une position indéterminée) qui est à l'origine du temps?
Donc l'origine des bulles d'air est autre chose que la nature de ces bulles. Même chose il est tentant de dire étudier la nature du mouvement permet de déterminer la nature du temps mais, si le mouvement est à l'origine du temps, la question de la nature du temps doit être distinguée de celle de la nature du mouvement qui est, en regard du temps lui-même, seulement à l'origine du temps. Donc si le mouvement n'existe pas, le temps n'existe pas non plus, donc le mouvement est seulement à l'origine du temps, qui elle-même est à distinguer de la nature du temps.
Moralité : étudier à fond le mouvement, à l'origine du temps, jamais ne donnera la moindre indication probante quant à la nature du temps
Bonjour,
Les questions abordées dans ce fil concernent plus l'interprétation des notions de temps, distance, vitesse dans le cadre de théories acceptées ou en cours d'élaboration et sortent du cadre habituel de la physique. Dans le sens où l'absence de réponse n'enlève rien à la validité de cette dernière.
Par conséquent, elle va être déplacée dans la rubrique "Discussions scientifiques" qui est plus en adéquation.
albanxiii, pour la modération.
Not only is it not right, it's not even wrong!
Ou, mais plus fort encore !
La fréquence est l'inverse d'un temps, donc f=v/d
Ce qui veut dire que si d=0 c'est à dire pas de mouvement, alors la fréquence est infinie...
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Bonjour à tous et merci à Deedee pour son aide.
J'ai tenté de réfléchir un peu sur l'analogie entre le temps et la température.
Dans l'idée, le concept de température d'un gaz n'émergeait que comme étant la moyenne de l'éngergie cinétique des particules le composant.
On imagine un gaz d'hélium dans un balloon sphérique où chaque atome d'hélium a la même énergie cinétique, cela veut dire qu'à l'équilibre thermique les atomes d'hélium rebondissent en un choc élastique.
Si un atome d'hélium est fixe dans le ballon, cela veut dire qu'il voit le ballon émettre un rayonnement thermique homogène et ce indépendemment de sa position dans le ballon.
Cas 1 ) l'atome d'hélium est au centre du ballon avec une vitesse instantanée V. Les calculs montrent que la moyenne de l'effet Doppler de chaque élément du ballon conduit l'atome d'hélium à voir le rayonnement thermique du ballon blueschifté en moyenne d'un facteur de Lorentz; ce qui est cohérent avec la dilatation du temps.
cas 2) l'atome d'hélium est à une position quelconque dans le ballon avec une vitesse instantanée v. Les calculs montrent que la moyenne de l'effet Doppler du rayonnement thermique de chaque élément du ballon n'est plus égal au facteur de Lorentz. Il y a donc décorellation entre l'écoulement du temps propre du noyau d'hélium et le rayonnement perçu.
Je ne sais pas si cet exercice permet de faire avancer la question parce que l'expansion de l'universnous remène au cas 1
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
Salut,
Je pense qu'on est toujours HS. Mais lortagem semble être entré en hibernation , donc.....
Sinon je trouve que l'analogie est très bien, mais je ne suis pas sûr que le cas 2 soit parlant dans la mesure ou l'hypothèse du temps thermique est un vrai truc de cinglé (au niveau théorique) fort éloigné des aspects "température et agitation thermique" (le mot thermique doit être vu comme formel ici).
Bon, j'ai voulu voir dans wikipedia pour une explication plus précise mais :
https://en.wikipedia.org/wiki/Thermal_time_hypothesis
..... on peut pas dire que cela fasse avancer le shimililbibli
Quelqu'un a une bonne référence ?
(dans le livre de Rovelli sur la gravité à boucles, c'est un peu trop survolé je trouve et la référence wikipedia n'est pas accessible gratuitement)
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Quand je me regarde dans la glace de tous le smatins, je vois des rides qui pointent des traits du visage deviennent moins jeunes, je fai sl’expérience du temps, le temps dont nul ne peut nier l’existence s’il se regarde dans une glace tous les matins et se voit vieillir et sait qu’il va mourir en effet la conscience du temps c’est la conscience de lamort. Donc de fait le temps existe, tous nous le rencontront ou l’avons rencontré si nous sommes morts, et même quand je nais et vis je suis mort en effet naitre et vivre c’est mourir Le problème est que ce temps réel, objectif, qui existe comme je viens à l’instant de le démontrer et dont nul ne saurait nier l’existence sans mentir ou se mentir à soi-même, n’est pas lui-même un objet de science mais c’est un objet de spéculation ça oui, suffit de poytasser les tonnes de livres, philosophiques charlataniques ou autres, qui ont été écrits sur cette histoire de temps pour se convaincre de cela
Les science s physique qui sont des sciences de l’observation et de la mesure étudient non le temps en tant que tel, que nul ne peut observer bien que sachant qu'il existe, mais qu’il est possible de mesurer et c’est là tout le paradoxe, mais le mouvement, ne peuvent faire du temps en tant que tel un objet d’étude. Donc, sans savoir ce qu’il est tout en sachant qu’il existe, donc sans pouvoir l’observer mais en sachant le mesurer et c’est cela le paradoxe, elles ne peuvent qu’étudier non le temps lui-même dont je viens de démontrer qu’il existe, mais sa mesure
Etant entendu par ailleurs qu’en général les gens confondent « observer » et « mesurer » sauf que, formellement, pour mesurer un objet il fautr d’abord savoir qu’il existe donc l’observer. Exemple après qu’André Brahic https://fr.wikipedia.org/wiki/André_Brahic a découvert, observé les anneaux de Saturne, il a été possible de les mesurer, d’en étudier la composition physico-chimique. Pour mesurer, connaitre la composition chimico-physique des comètes il faut d’abord savoir qu’elles existent en les observant, ensuite des sondes va dessus direct pour savoir de quoi elles sont cosntituées. Donc en général avant de mesurer un objet il faiut savoir qu’il existe en l’observant, sauf que pour le temps il n’en va pas de même. En effet le temps en tant que tel n’est pas observable donc cela seul qui est obsevable/mesurable dans le temps c’est sa mesure.
En effet tout le monde sait direct que le temps existe, non pas en l’observant directement mais par ses effets donc comme une cause est connue par ses effets, et les sciences physiques n’échappent pas à cette règle.
Non ce n’est pas un cas général. Prenons le cas du boson de Brout-Englert-Higgs. Il avait de bonnes raisons de penser qu’il devait exister mais c’était uniquement une affirmation théorique. Finalement il a été révélé uniquement par une bosse sur une courbe, donc par une mesure. Avant cela on ne savait pas où cette bosse pouvait être placée. Dans ce cas on n’a pas vu une particule dont on aurait mesuré les caractéristiques ensuite. Les deux choses que tu affirmes sont confondues en une seule observation-mesure.
Idem dans le cas de la planète Neptune. Certaines anomalies de trajectoire d’Uranus pouvaient éventuellement s’expliquer par la présence d’une planète inconnue située plus loin qu’Uranus. Le Verrier a calculé masse, orbite et position approximatives de cette planète hypothétique en se fondant sur ces anomalies mesurées ; elle a été observée ensuite dans une région proche de celle qui avait été prédire (en fait l’histoire est plus compliquée mais ne change rien à l’exemple).
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Salut,
Je qualifierais plutôt la mesure de "généralisation qualitative tant que quantitative de l'observation".
Va falloir que j'ajoute ça au glossaire
Et donc je ne suis pas d'accord sur "observer" avant de "mesurer" car mesurer c'est observer
D'ailleurs il n'est pas rare qu'on emploie le terme "observer" alors qu'on parle de mesures qui ne pourraient certainement pas se faire avec les yeux et parfois on emploie même "observateur" pour un truc qui n'a rien d'humain et parfois même (dans la théorie) rien de matériel !!!! J'essaie souvent de faire attention sur ce point (mais je dérape, comme tout le monde) car là aygline a raison, j'ai déjà vu des confusions (mais, bon, assez rares tout de même).
Dernière modification par Deedee81 ; 22/03/2019 à 07h58.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
http://www.theorie.physik.uni-goetti...dipl/Paetz.pdf
http://www.alainconnes.org/docs/carlotime.pdf
Deux pour le prix d'une .
bonjour,Idem dans le cas de la planète Neptune. Certaines anomalies de trajectoire d’Uranus pouvaient éventuellement s’expliquer par la présence d’une planète inconnue située plus loin qu’Uranus. Le Verrier a calculé masse, orbite et position approximatives de cette planète hypothétique en se fondant sur ces anomalies mesurées ; elle a été observée ensuite dans une région proche de celle qui avait été prédire (en fait l’histoire est plus compliquée mais ne change rien à l’exemple).
Comme vous dites ce sont des anomalies d'Uranus qui ont au préalable mises l apuce à l'oreille des astronomes, non la planète Neptune qui n'avait pas encore été observée. Donc ces anomalies ont permis de lever une partie du voile qui cachait Neptune, ensuite une fois observée, découverte, Neptune a pu être mesurée donc la encore observation avant mesure. Ensuite quant aux particules quantiques ça a l'air tellement compliqué que là franchement ... je ne saurais dire s'il faut d'abord les mesurer avant de les observer ou le contraire
Un exemple : personne n'a jamais vu un électron. On n'en voit/mesure que les effets. Mais aucun scientifique au monde ne doute de l'existence des électrons.
Autre exemple : les atomes. Il a fallu attendre (récemment) le microscope à effet tunnel pour visualiser (*) (donc observer) les atomes.
Il n'empêche que l'existence des atomes est acceptée depuis longtemps (ça a commencé avec Dalton, mais c'est Einstein qui a apporté la dernière pierre ayant fait accepter les atomes en tant qu'entités réelles, avec son article de doctorat sur le mouvement Brownien, en 1905. Mais beaucoup avait été apporté par les chimistes puis Maxwell et Boltzmann avec la physique statistique).
(*) Mais même ça : observer les atomes, observer les bactéries, observer les galaxies lointaines.....
C'est toujours indirect, à travers des instruments de mesure (microscope, télescope)....
Et tout instrument fait ça même si on a parfois une image. Sinon on a des graphiques. Des nombres. Une aiguille sur un cadran.
Si on prend "observer" au sens strict, sans instrument de mesure et le phénomène en soi (et non ses conséquences), ça fait déjà quelques siècles que les scientifiques n'observent plus grand chose !!!!
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
oui mais non mais vous comprenez, faut quand même pas non plu smanier le paradoxe Quand j'observe un objet/phénomène n'importe lequel par exemple une planète, Mars, Venus, la terre, el Soleil ou autre, j'ai le phénomène sous les yeux, c'est un ob-jet de science. Donc j'observe un ob-jet de science pas de la même façon qu'un ob-jet de spéculation comme le temps. Je n'observe pas le temps (réel, objectif) qui n'est pas lui-même un objet de science et qui est un objet non de science mais de spéculation de la même façon, comme j'observe une planète ou autre !
moralité : les sciences physiques qui sont des sciences de l'observation et de la mesure, n'ont pas le temps en tant que tel, dont chacun sait parfaitement qu'il existe, comme objet d'étude
Bonjour,
Merci à Didier pour ces références.
question 1 : Pourquoi parler d'un temps thermique et non pas d'espace-temps thermique?
question 2 : Selon Alexis de St Ours il faudrait non plus nous voir comme des tas de particules interagissant avec des champs quantique dans l'espace-temps mais comme des tas de particules interagissant avec des champs. Pourquoi ne pourrions nous pas nous voir comme des champs quantique structurés dans l'espace-temps (exit le concept de particules)?
Question 3 : en RR, le champ de pesanteur d'un référentiel accéléré émerge clairement du fait que l'accélération ne peut être la même à l'arrière et à l'avant du référentiel accéléré ( paradoxe de la ficelle de Bell); mais , cela pourrait venir du fait qu'on parte de la cinématique relativiste pour aboutir à la conclusion que dans un référentil accéléré, s'établit un champ de pesanteur. en RG, il me semble qu'on parte de l'inverse c'est-à-dire qu'on établit la cinématique des particules d'un champ de gravitation en f° du champ de gravitation (cela peut se justifier par l'effet marée qui est absent de la RR). Les champs électromagnétique et le champ de gravitations ne peuvent ils pas émerger de l'espace-temps ?
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
Les sciences physiques c'est aussi une question de clarté et je n'arrive pas à comprendre ton point de vue. Ce n'est pas clair. Essayons de préciser :
Personne n'a jamais eut Neptune sous les yeux. Trop loin.
Donc, ne raconte pas n'importe quoi. Personne n'a jamais eut Neptune sous les yeux !!!!
Ce que tu vois est une image produite par le télescope.
Il faut donc préciser ce qui est "observer" :
1) voir directement avec les yeux est-il observer ?
2) voir une image fournie par un écran, un objectif,.... etc... est il observer ?
3) voir un graphique numérique (par exemple la trajectoire de Neptune) fournie par un instrument, est-il observer ?
4) voir une aiguille sur un cadran est-il observer ?
5) Observer selon 1 à 4, les conséquences du phénomène (par exemple la perturbation d'Uranus) est-il observer (le phénomène) ?
Si on limite "observer" au (1), alors comme je l'ai dit les scientifiques n'observent plus depuis longtemps. Et là il faut éviter les confusions de langage (rares mais je l'ai déjà vu)
Si on limite à 1, 2 et éventuellement 5, alors c'est franchement arbitraire (pourquoi une image sur un écran serait-il plus "observer" qu'une suite équivalente de chiffres ???)
Si on accepte 1 à 5, alors observer et mesurer c'est la même chose et toute distinction scientifique en "observé", "non observé" est idiot.
Je n'arrive pas à voir où tu te situes ???? Aygline, selon-toi, c'est 1, 2, 3, etc... ????
Et pour toi, l'électron n'est pas réel (il n'est pas "observable" selon 1 et 2) ???
Si tu pouvais répondre histoire de se comprendre !!!!
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Un peu de lecture au sujet de la différence entre mesure et observation.
https://www.cairn.info/revue-cahiers...4-page-23.htm#
EDIT croisement
Tu as raison. On devrait dire espace-temps. Enfin, selon moi !!!
Dans ce domaine (gravité quantique) l'espace-temps est un champ comme un autre.question 2 : Selon Alexis de St Ours il faudrait non plus nous voir comme des tas de particules interagissant avec des champs quantique dans l'espace-temps mais comme des tas de particules interagissant avec des champs. Pourquoi ne pourrions nous pas nous voir comme des champs quantique structurés dans l'espace-temps (exit le concept de particules)?µ
Sinon je n'ai pas compris ton "structuré" ?
Selon le point de vue de Rovelli (mais je suis d'accord avec lui), l'espace-temps et la gravitation, c'est synonyme !!!!Question 3 : en RR, le champ de pesanteur d'un référentiel accéléré émerge clairement du fait que l'accélération ne peut être la même à l'arrière et à l'avant du référentiel accéléré ( paradoxe de la ficelle de Bell); mais , cela pourrait venir du fait qu'on parte de la cinématique relativiste pour aboutir à la conclusion que dans un référentil accéléré, s'établit un champ de pesanteur. en RG, il me semble qu'on parte de l'inverse c'est-à-dire qu'on établit la cinématique des particules d'un champ de gravitation en f° du champ de gravitation (cela peut se justifier par l'effet marée qui est absent de la RR). Les champs électromagnétique et le champ de gravitations ne peuvent ils pas émerger de l'espace-temps ?
(par exemple, dans son livre Loop Quantum Gravity, il commence au début à parler de la formulation de la RG avec un champ de tétrade pour décrire l'espace-temps.
C'est nécessaire à cause des fermions dans une approche quantique !!!!
Et il identifie ce champ au champ gravitationnel)
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Un électron libre est une particule disposant d'une masse et d'une charge.
Ne peut-on envisager qu'un électron soit en fait que l'interaction entre le champs spatio-temporel (champ de gravitation) , champs de Higgs ( masse) et le champs électro-magnétique (charge)? Pour ce qui est des autres propriétés ( spin, nombre leptonique) je ne m'y connais pas assez en MQ.
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
Franchement, je n'en sais rien. Je sais qu'on peut facilement faire (presque) l'inverse :Un électron libre est une particule disposant d'une masse et d'une charge.
Ne peut-on envisager qu'un électron soit en fait que l'interaction entre le champs spatio-temporel (champ de gravitation) , champs de Higgs ( masse) et le champs électro-magnétique (charge)? Pour ce qui est des autres propriétés ( spin, nombre leptonique) je ne m'y connais pas assez en MQ.
champs chargés (symétrie interne, de phase, U(1)) + localité (symétrie locale) => champ EM
Donc, il y a peut-être moyen d'inverser. Peut-être en ajoutant d'autres ingrédients comme le Higgs. A réfléchir. Ou peut-être que ce n'est pas possible analytiquement. Faut essayer (bon courage !!!!)
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Parce que (pour Rovelli) pas besoin de l'espace-temps (la base est que celui-ci est relationel), ensuite il se place en TQC, et on sait que les machins fondamentaux non pas besoin d'espace-temps (par exemple ces machins sont des points de l'espace des twisteurs (Penrose, et l'outil peut être utilisé même si il n'y a rien eu d'objectif sur cette théorie)pas ceux de l'espace-temps), en très basique, les champs ne sont pas l'espace-temps (même si il y a un espace-temps en Quantique traitement en espace-temps courbe, c'est que pour l'approche semi-classique) et la physique entre machins ne sont que relationnel, avec cette base, Rovelli l'applique au machin "temps".
"Explication, plutot ma "compréhension" a prendre avec de grosses pincettes, ça peut (à raison) faire hurler
https://www.agoravox.fr/actualites/t...ers-une-204284
J'ai acheté ce livre mais je n'ai pas encore eu le temps de le lire.
qu'en penses-tu?
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
Non, ça va Mais ça n'explique pas pourquoi il l'applique au machin temps et pas au bazar espace
Peut-être à cause de la flèche du temps ? Je ne sais pas s'il y a un lien
(là c'est moi qui pose la question)
Après réflexion.... (mais je laisse la question au cas où quelqu'un aurait une autre explication).
Peut-être (là souvenir de ce que j'ai lu dans son bouquin) parce que la difficulté quand il passe à une formulation "espace-temps purement dynamique" dans le formalisme hamiltonien est justement de "faire disparaitre le temps" qui est dans la formulation classique un paramètre et non une variable dynamique
(en RG c'est pas trop difficile et ça donne H=0 au lieu de l'équation de Hamilton classique, on appelle H d'ailleurs un "hamiltonien de contrainte". Mais ici c'est en toute généralité pour y inclure la théorie quantique des champs. Rappelons d'ailleurs que l'hamiltonien RG ADM, H=0, conduit à la bonne vieille équation de Wheeler-DeWitt "sans temps").
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Que vous observiez des conséquences de "faits" (phénomènes serait plus juste de dire) ou des faits qui par ailleurs sont eux-mêmes des conséquences d'autres faits etc, dans tous les cas vous observez des phénomènes. mais effectivement la différence conceptuelle entre "observer" et "mesurer" est très faible, donc "observer" : http://www.cnrtl.fr/definition/observer
Il faut donc préciser ce qui est "observer" :
1) voir directement avec les yeux est-il observer ?
2) voir une image fournie par un écran, un objectif,.... etc... est il observer ?
3) voir un graphique numérique (par exemple la trajectoire de Neptune) fournie par un instrument, est-il observer ?
4) voir une aiguille sur un cadran est-il observer ?
5) Observer selon 1 à 4, les conséquences du phénomène (par exemple la perturbation d'Uranus) est-il observer (le phénomène) ?
...
Et pour toi, l'électron n'est pas réel (il n'est pas "observable" selon 1 et 2) ???
Si tu pouvais répondre histoire de se comprendre !!!!
Donc le temps réel, objectif, n'est pas lui-même un phénomène, il n'apparaît pas EN TANT QUE TEL, donc le temps en tant que tel, dont chacun sait parfaitement qu'il existe, n'est pas lui-même un ob-jet {du latin ob-jacere} de science, ce n'est pas un phénomène, donc ce n'est pas lui-même un objet de science, c'est un objet de spéculation
Ensuite pour les électrons perso je suis mal avec ça, en effet ces êtres étranges vieillissent très lentement donc de mémoire de big-bang nul n'a jamais vu un électron mourir donc, faire rappliquer les électrons pour une question qui parle de la nature du temps cela ne me paraît pas être en soi très heureux mais bon
cela étant dit j'ai bien conscience en disant cela que je déborde un peu les cadres de la chartre, en effet je "patine" ce faisant plutôt dans de la philo que dans de la science, donc je vous souhaite bonne continuation là-dessus
C'est pas faux en ce qui concerne la durée de vie de l'électron.Ensuite pour les électrons perso je suis mal avec ça, en effet ces êtres étranges vieillissent très lentement donc de mémoire de big-bang nul n'a jamais vu un électron mourir donc, faire rappliquer les électrons pour une question qui parle de la nature du temps cela ne me paraît pas être en soi très heureux mais bon
Envoyé par PourLaScienceSi pour James Bond les diamants sont éternels, pour les physiciens, ce sont plutôt les électrons ! Pour être plus précis, ces particules ont une durée de vie des milliards de milliards de fois plus grande que l’âge de l’Univers. C'est ce que vient de confirmer une équipe internationale de physiciens travaillant sur le détecteur Borexino, en Italie.
https://www.pourlascience.fr/sd/phys...rnel-12220.php
Par contre du point de vue du raisonnement, je dirais au contraire qu'un objet éternel serait plus approprié pour entrer en jeu dans la question du temps qu'un objet temporaire, puisque ce qui persiste au cours du temps, c'est bien le temps.
Je serais donc plus enclin à préférer ce point de vue.
Envoyé par Zefram CochraneUn électron libre est une particule disposant d'une masse et d'une charge.
Ne peut-on envisager qu'un électron soit en fait que l'interaction entre le champs spatio-temporel (champ de gravitation) , champs de Higgs ( masse) et le champs électro-magnétique (charge)?