Et à part l'Allemagne, il est faux de dire que les autres pays "réduisent" leur parc.
les réacteurs tournent tj.
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Et à part l'Allemagne, il est faux de dire que les autres pays "réduisent" leur parc.
les réacteurs tournent tj.
Et bien d'autres, mais l'Allemagne en tête, oui, vous avez tout compris.
Mais le pire c'est "environnementalistes" en tête, qui est sidérant !
En résumé, ceux qui devraient faire en sorte que toute cette folie s'arrête continuent de tout faire pour que ça s'aggrave !
Comment voulez-vous qu'on s'en sorte ?
Probablement beaucoup de chose à faire du côté de l'enseignement, vu l'ignorance et les phobies de certains.
Après, on n'échappe pas aux politiques, mais "that's forbidden there", donc hein...on peut fermer, tout est dit.
Bonjour,
Dans un monde à 3% de croissance, il n'est même pas sûr que ces constructions nouvelles, augmentent la part du nucléaire dans la production d'énergie mondiale...
Cordialement
justement, au niveau de l'enseignement il ya tout a apprendre pour comprendre que le nucleaire est complètement dépasser. Malgrés les milliard d'investissement le nucleaire ca marche pas, y'aura toujours des problèmes. Le nucléaire pose tellement de problème de sécurité que l'équation est impossible a résoudre. Croire qu'en multipliant par 50 le nombre de centrale nucléaire on va réduire les émissions de CO2 est un leure. Y'aura forcement des pays qui n'y auront pas acces, avec forcement des problèmes de terrorisme et des inégalités qui génere des problème insoluble. On a bien compris qu'en France le Nucleaire fait vivre 200000 personnes. Mais il faut se faire a la raison que les énergies renouvelables font mieux et puisque elles coutent plus cher soit disant elle génèrent davantage d'emploies.
mais yaura toujours des gars comme N2777 pour s'acrocher a l'ancien monde.
brevet 2018 moteur générateur à azote liquide pour le stockage énergie.
On ne peut plus faire abstraction de l'écologie maintenant: pour le coup on l'a sous les yeux, les dégâts qu'on aurait pu éviter si ce souci manifesté par des scientifiques, intellectuels et artistes avait été pris au sérieux au bon moment
Désolé je me répète mais c'est la réalité
On peut essayer de ralentir ou essayer que ça ne devienne pas pire encore
en attendant de savoir si on peut envoyer du chlore dans la stratosphère ou si la reforestation (qui prendra du temps!), ou la culture de la spiruline par exemple sur grande, très grande échelle pourra faire quelque chose
“L'eau ferrugineuse, NON !”
Un sondage du monde assez inquiétant sur les opinions de nos concitoyens. ( concernant la contribution du nucléaire au RC )
Et ce sont les jeunes les moins bien informés, alors qu'ils se disent très préoccupés par le RC.
https://www.lemonde.fr/blog/huet/201...nde-tromperie/
tu as raison
brevet 2018 moteur générateur à azote liquide pour le stockage énergie.
Bonjour,
Mais justement, ce "souci manifesté par des scientifiques" se manifestait comment ?
Dans la presse de grande diffusion ? Ce souci était relayé par les journalistes ?
Les revues de vulgarisation scientifique - LR, PlS, S&A, S&V - en parlaient-elles ?
Je n'en garde pas le souvenir. Est-ce ma mémoire qui me trahit complètement ? Ou est-ce que les revues de vulgarisation elles-mêmes ne diffusaient pas ce "souci" ?
#### Hors charte
Des artistes ? manquerait plus que ça encore dans le lot des "cerveaux" de ce monde
Quant à "l'écologie", voire plus haut le comportement des "environnementalistes" face au RC (ansset l'a compris, pas vous ?)
Si vous comptez sur les "verts", préparez vos glacières !
On a vu sur l'autre fil que c'était une boucle fermée, et que le problème d'échelle rendait la chose (stockage provisoire) anecdotique. Pourquoi revenir encore là-dessus ?
Je ne suis malheureusement pas surpris : ça (l'enseignement, la baisse des niveaux) et les "clichés" télévisuels quotidiens dénués de toute crédibilité colportés par les journaleux et autres..Un sondage du monde assez inquiétant sur les opinions de nos concitoyens. ( concernant la contribution du nucléaire au RC )
Et ce sont les jeunes les moins bien informés, alors qu'ils se disent très préoccupés par le RC.
https://www.lemonde.fr/blog/huet/201...nde-tromperie/
Bah, que voulez-vous..quelqu'un de célèbre et de bien placé (sciences) l'a dit il y a déjà bien longtemps :
Nous aurons le destin que nous méritons..
Dernière modification par JPL ; 26/07/2019 à 22h45.
Tout-à-fait. Le problème du nucléaire c'est l'acceptabilité sociale, en particulier par les populations européennes qui ont tendance à gober la plupart des délires anti-nuc sans esprit critique (la plus belle étant "le nucléaire contribue au réchauffement", ce qui est quand même fort de café!). Le résultat net c'est une augmentation de la consommation de charbon en Europe.Voici un élément de réponse
Cela dit, je crois que tu sous-estimes l'importance des artistes. Si tu veux que l'acceptabilité sociale soit dans la population générale au niveau de la compréhension scientifique de ces trucs, parler à cette communauté influente est peut-être le bon point de départ.
en france les reacteurs tournent toujours mais vont s'arrêter un a un et il n'y aura pas de nouveaux, la decision d'en construire de nouveaux est reporté a la mise en route de l'EPR dont le démarrage est reporté de 2 ou 3 ans tout les 2 ou 3 ans. Pourquoi ? et bien parceque entre temps le couts des renouvelable sont en chute libre, de nouvelles tecnologie de stockage d'énergie apparaissent. La france ne peu donc prendre la decision de relancer un programme nucleaire malgrés tout vos effort de lobyng que je salue.
brevet 2018 moteur générateur à azote liquide pour le stockage énergie.
Quelles nouvelles technologies de stockage ?en france les reacteurs tournent toujours mais vont s'arrêter un a un et il n'y aura pas de nouveaux, la decision d'en construire de nouveaux est reporté a la mise en route de l'EPR dont le démarrage est reporté de 2 ou 3 ans tout les 2 ou 3 ans. Pourquoi ? et bien parceque entre temps le couts des renouvelable sont en chute libre, de nouvelles tecnologie de stockage d'énergie apparaissent. La france ne peu donc prendre la decision de relancer un programme nucleaire malgrés tout vos effort de lobyng que je salue.
Quant à la fermeture des réacteurs, il faudra encore attendre. La PPE (programmation pluriannuelle de l'énergie) du début d'année repousse déjà à 2035 (au lieu de 2025) la réduction du nucléaire à 50% dans le mix électrique et d'ici là de l'eau aura encore coulé sous les ponts.
Le gouvernement a demandé à EDF une liste de réacteurs pouvant être mis à l'arrêt (des 900 MW essentiellement) mais que « ces arrêts de réacteurs ne conduisent pas à l’arrêt complet d’aucun site afin de minimiser les impacts sociaux et économiques de ces fermetures ». En clair, on ne ferme pas de centrale !
Peut-être que deux réacteurs seront débranchés en 2025-2026, « sous les conditions cumulatives suivantes : si le critère de sécurité d’approvisionnement est respecté et si nos voisins européens accélèrent leur transition énergétique, réduisent leurs capacités de production à partir du charbon et développent massivement les énergies renouvelables, et que cela devait conduire à des prix bas de l’électricité sur les marchés européens, susceptibles de dégrader la rentabilité de la prolongation des réacteurs existants. Ces conditions supposent une coordination avec nos voisins sur l’évolution des systèmes électriques européens. L’analyse de ces conditions fera l’objet d’un rapport remis par la Commission de régulation de l’énergie au Gouvernement avant le 1er décembre 2022 et s’appuyant sur l’expertise de RTE.».
Ça fait quelques conditions et particulièrement floues qui reposent sur ce que vont faire "nos voisins" pour se laisser des marges de manœuvre.
Deux autres réacteurs pourraient être débranchés en 2027-2028.
Entre temps deux réacteurs seront mis en service (ceux de l'EPR).
La décision de construire d'autres EPR sera prise mi-2021. Même sans relance du programme nucléaire (Pour l'instant... Mais les tensions à venir sur l'énergie et les matières premières décideront.), on ne peut absolument pas parler d'abandon.
on peut compter parmi ceux-là le commandant Cousteau qui en explorant le fond des mers a réalisé qu'un problème écologique d'une certaine ampleur se préparait dans le fond des océansBonjour,
Mais justement, ce "souci manifesté par des scientifiques" se manifestait comment ?
Dans la presse de grande diffusion ? Ce souci était relayé par les journalistes ?
Les revues de vulgarisation scientifique - LR, PlS, S&A, S&V - en parlaient-elles ?
Je n'en garde pas le souvenir. Est-ce ma mémoire qui me trahit complètement ? Ou est-ce que les revues de vulgarisation elles-mêmes ne diffusaient pas ce "souci" ?
et aussi René Dumont dont la spécialité de départ était l'agronomie et premier candidat en France sous l'étiquette verte en 74 je crois
Eux deux ont été sollicités par divers gouvernements et ont passé du temps dans des ministères sur des études en collaborant avec des fonctionnaires
Et tous les deux surtout Cousteau étaient des "pointures" avec une audience certaine chez le grand public
il y a eu aussi Théodore André Monod, avec une certaine notoriété lui aussi et qui fut un authentique chercheur naturaliste spécialisé au départ dans l'étude des déserts
“L'eau ferrugineuse, NON !”
Je n'ai pas souvenir que ni Couteau, ni Rene Dumont n'aient clairement évoqué le RC.
le premier a alerté sur préservation des Océans ( pollution, sur-pêche,... ) et le second sur les risques de l'explosion démographique et de la sur-consommation d'énergie, dans une présentation assez malthusienne ( pour simplifier ).
De mémoire, la première alerte médiatique forte sur le sujet fut faite par Al Gore en 2006 ( avec un bouquin, une tournée mondiale et nobel l'année suivante ) et la thématique était directement en lien avec le RC anthropique.
C'était il y a 12 ans.
Aasset et shub on la mémoire courteVous semblez oublier que la question porte sur les centrales nucléaires. Si vous pensez que la question initiale a bien reçu une ou des réponses utiles il n’est pas nécessaire de continuer à participer en alimentant la dérive. Une fois de plus n’importe quelle discussion devient vite un prétexte pour que chaque y mette ses idées préférées, de préférence sans rapport avec la question initiale.
brevet 2018 moteur générateur à azote liquide pour le stockage énergie.
Je parlais de la France avec la PPE.
pourquoi continuer à assener ces contre-vérités.
2018: coût pour les consommateurs.
En France : 0,18 TTC/kWh
Et parmi les pays les plus chers d’Europe, on retrouve le Danemark (0,312 € TTC/kWh), l’Allemagne (0,3 € TTC/kWh) et la Belgique (0,294 € TTC/kWh).
Au Danemark, d'ailleurs, depuis 2017, il y a amorce de rétropédalage dû au surcoût engendré par la migration vers l'éolien.
Il existe des pays moins chers que la France, comme la Roumanie, mais qui reste plus chèrs si on fait une comparaison en terme de parité de pouvoir d'achat.
Bien sûr ces prix incluent les taxes, mais je doute que la France soit un modèle en matière de taxes minimales.
pour le moment, l'Allemagne, l'italie, la Lituanie, l'Autriche, la Belgique, la suède. tout ces pays d'Europe on décidés de ne plus construire de centrale nucléaire malgrés le réchauffement climatique.
La France quand a elle repousse sa décision, (on parle de la construction de nouvelle centrale et non de l'arrêt des centrales existante), à la mise en service de l'EPR dont le démarrage est repoussé a 2022.
On voit bien que globalement c'est pas le nucléaire qui va régler le problème du CO2 et que la solution est ailleurs.
brevet 2018 moteur générateur à azote liquide pour le stockage énergie.
Aparté juste pour répondre à anssett et après on repart sur les centrales:Je n'ai pas souvenir que ni Couteau, ni Rene Dumont n'aient clairement évoqué le RC.
le premier a alerté sur préservation des Océans ( pollution, sur-pêche,... ) et le second sur les risques de l'explosion démographique et de la sur-consommation d'énergie, dans une présentation assez malthusienne ( pour simplifier ).
De mémoire, la première alerte médiatique forte sur le sujet fut faite par Al Gore en 2006 ( avec un bouquin, une tournée mondiale et nobel l'année suivante ) et la thématique était directement en lien avec le RC anthropique.
C'était il y a 12 ans.
Je n'ai jamais dit que ni Cousteau ni rené Dumont ni Monod n'ont parlé du RC. Vrai que c'est Al Gore qui a lancé vraiment un cri d'alarme mais il était candidat démocrate à la présidence donc ça avait un certain poids et les démocrates aux USA avaient une audience qu'ils ont perdu depuis après Obama.
Juste que la question écologique existe depuis longtemps bien longtemps déjà et la question sur les centrales tourne autour: mais elle a été jusqu'ici agitée comme une menace et un danger potentiel, un spectre en relation avec l'armement nucléaire par les écologistes et pas présentée comme une solution de remplacement de dernière minute parce que les centrales au charbon ce serait pire .
Et c'est pire, merci la Chine !! La Pologne, les USA etc.
Mais comme ni Cousteau ni rené Dumont ne sont des madame Irma, ils n'ont pas prévu que ce serait ça, le cri d'alarme vraiment tonitruant d'un changement de phase climatique et écologique renversant le RC, ni qu'on battrait cette année le record de chaleur à Paris (42,6°C) détenu dans l'année 47 pour le dernier. Depuis 5 ans environ, on bat chaque année les records de chaleur des années précédentes. Et quasiment partout
Bon revenons aux centrales nucléaires
Vous disiez ?
Dernière modification par shub22 ; 27/07/2019 à 11h04.
“L'eau ferrugineuse, NON !”
J'ai déjà évoqué le cas du Danemark et de sa mauvaise gestion de l'éolien qui condamne les danois à brader leur kWh, dont ils ne savent pas quoi faire, à leurs voisins. Les norvégiens sont très contents car ils imposent leur prix d'achat (très bas) et les danois financent (d'où leur décision d'arrêter de subventionner l'éolien).
Les allemands ferment aussi les robinets des subventions de l'éolien terrestre comme cela était prévu (au bout de 20 ans). Le renouvellement d'une partie de leur parc commence à poser problème (sans subvention, il y a moins de monde à se porter candidat...) : https://www.lopinion.fr/edition/inte...u-d-air-180485
@Eric Dupont :
le cas de l'Allemagne a déjà été évoqué.
la Suède est déjà fortement nucléarisé.
l'Italie a fait un référendum un an après Tchernobyl ( 62 % contre le nucléaire ) ..... arrêt de la filière.
Autriche : situation presque comparable. Il n'y a jamais eu de filière nucléaire ( même si elle était sur les rails ) , mais il y a eu un référendum similaire ( deux ans après Tchernobyl) et arrêt des projets en cours.
Le cas de la Belgique est multifactoriel. ( poids variable des "écolos anti-nucléaire" selon les élections, incident sur une centrale, pouvoir fédéral/régional, etc... )
Là, tu fais les fonds de tiroirs !!
Ce petit pays, était avec la France, producteur d'électricité nucléaire à plus de 70%. Il est tombé à 0% sur 5 ans entre 2004 et 2009. Normal, il n'y avait qu'une centrale et comme elle était du type Tchernobyl, les européens ont exigé sa fermeture pour des raisons de sécurité (on comprend bien pourquoi) et ça conditionnait l'entrée du pays dans l'espace européen.
Les Lituaniens se sont ensuite prononcés contre la reconstruction d'une centrale en 2012. Ils dépendent donc de l'Europe pour leur approvisionnement.
On parle de l'arrêt de certains réacteurs. La construction d'autres centrales ne dépend pas de la mise en service de l'EPR puisque la PPE a eu lieu bien avant la décision de reporter cette mise en service.La France quand a elle repousse sa décision, (on parle de la construction de nouvelle centrale et non de l'arrêt des centrales existante), à la mise en service de l'EPR dont le démarrage est repoussé a 2022.
On voit bien que globalement c'est pas le nucléaire qui va régler le problème du CO2 et que la solution est ailleurs.
Les ENR, seules, ne peuvent en rien régler le problème du CO2 non plus. Et se passer du nucléaire (10,4 % de l'électricité dans le monde) ne fera qu'augmenter les émissions.
pour la france , construire une centrale nucléaire est une chose, vendre l'énergie de la centrale au prix quel coute en est une autre. Avec la libéralisation des marchés ce n'est plus possible.Les centrales nucléaires on besoins de produire en continue pour être rentable.Et si elle réduisent leurs productions , leurs cout augmentent alors qu'il est déjà tres élevés par rapport a la concurrence des renouvelable. Construire de nouvelles centrales est un paris très risqué financièrement qui ne sera pas pris avant les calandres grecque.
de la même façon que les danois vendent leurs énergie éolien pour rien quand il ya trop de vent, les centrales nucléaire devront vendre leurs énergie a un cout bien inférieur de ce qu'elle coute quand les renouvelable produiront. De ce fait , pour equilibrer leur buget, les centrales nucleaires devront vendre plus cher l'énergie quand il n'y aura pas de vent et de soleil, Mais comme l'energie eolien ou photovoltaique ne vont plus rien couter, 2 ou 3 centimes le kwh, n'importe quel solution de stockage sera compétitive face au nucléaire.
brevet 2018 moteur générateur à azote liquide pour le stockage énergie.
Bonjour,
D'après ce que je crois avoir compris, comme l'électricité éolienne en France est assez minoritaire (5 %), il n'y aurait pas besoin de la stocker : elle se diluerait d'elle-même dans l'ensemble ; c'est-à-dire que, que les éoliennes produisent ou non, ne changerait pas grand-chose à la distribution globale.
En revanche, en Allemagne ou au Danemark, où l'électricité éolienne atteint 25 % et plus, ce serait là que des problèmes se présenteraient selon que les éoliennes produiraient ou non, ce qui obligerait à avoir recours à des solutions de stockage ou de substitution ou d'échange avec les pays voisins. Ce qui ferait grimper du même coup les prix.
A partir de quel taux d'éolien/solaire dans le mix global d'un pays peut-on estimer que commenceraient ces questions de lissage de la production ?
Dernière modification par Mickey-l.ange ; 27/07/2019 à 12h10.
Le prix du kWh est connu.
Construire ou ne pas construire dépend d'autres paramètres (géostratégiques entre autres) que le coût. Les chocs pétroliers de 1973 et 1978 et la fermeture des mines de charbon ont joué un rôle non négligeable dans le choix du nucléaire.Avec la libéralisation des marchés ce n'est plus possible.Les centrales nucléaires on besoins de produire en continue pour être rentable.Et si elle réduisent leurs productions , leurs cout augmentent alors qu'il est déjà tres élevés par rapport a la concurrence des renouvelable. Construire de nouvelles centrales est un paris très risqué financièrement qui ne sera pas pris avant les calandres grecque.
Quant à la concurrence des ENR... arrêtons les sub et on verra ce qu'il se passera (voir Allemagne dans l'article que je cite plus haut).
Pour ce qui est des projets d'ouvertures ou de fermetures, la PPE décidera en 2021.
Faut-il encore qu'elles produisent au bon moment.de la même façon que les danois vendent leurs énergie éolien pour rien quand il ya trop de vent, les centrales nucléaire devront vendre leurs énergie a un cout bien inférieur de ce qu'elle coute quand les renouvelable produiront.
Donc les 2/3 du temps, c'est acceptable. Ce que font les norvégiens avec leur hydroélectrique quand ils vendent leurs kWh au prix fort aux danois (qui doivent adorer l'éolien à ce moment).De ce fait , pour equilibrer leur buget, les centrales nucleaires devront vendre plus cher l'énergie quand il n'y aura pas de vent et de soleil,
On a déjà répondu à ce leitmotiv. C'est du n'importe quoi. Enlève les subs, ajoute le coût du stockage (pharaonique) et tu seras content de payer le kWh nucléaire.Mais comme l'energie eolien ou photovoltaique ne vont plus rien couter, 2 ou 3 centimes le kwh, n'importe quel solution de stockage sera compétitive face au nucléaire.
Il me semble que c'est autour de 10-15 % mais ça reste à confirmer.
De toutes façons les électrons "éoliens" non stockés posent un sacré problème de réseau interconnecté car il faut les absorber quelque part. Et là, on voit les stratégies mises en place par certains pays d'Europe face aux électrons "germains" et qui se prémunissent : c’est le cas de la Pologne et de la République Tchèque, qui ont installé des transformateurs-déphaseurs pour éviter les surcharges, tout comme la Belgique submergée à sa frontière néerlandaise par l’électricité produite en Allemagne du nord pour revenir en … Allemagne du sud (faute de capacités de transit intérieures), via la France et la Suisse.
Cela nécessite aussi de baisser la production des centrales classiques et du nucléaire en particulier mais en maintenant un niveau de base pour éviter l'accumulation de produits de fissions néfastes dans les cœurs des réacteurs. Tout cela contribue à baisser le prix du kWh au point qu’il est plus rentable pour certaines centrales conventionnelles de payer des consommateurs pour qu’ils consomment leur production que de supporter les coûts d’arrêt/redémarrage de leur centrale.
Cette discussion sur les prix de l'électricité part d'une erreur majeure: les prix dont il est question sont les prix "spot" du marché, qui ne constituent qu'une fraction marginale du marché de l'électricité; prix qui, de surcroît, n'arrivent qu'une fois la subvention versée et l'obligation d'achat appliquée pour les ENR.
L'essentiel du marché de l'électricité est réglé par des contrats fonctionnant sur la durée, garantissant la fourniture d'électricité à chaque instant; ce n'est que pendant les périodes de"crise" (surproduction ou sous-production) que le marché spot a un peu d'importance, déstabilisant en même temps les centrales à production garantie du fait de l'achat prioritaire obligatoire des ENR. Les prix calculés des kWh issus des ENR ne sont donc pas du tout représentatifs de leur coût de revient, et surtout ne seraient pas applicables en cas de part importante d'ENR dans le mix; c'est d'ailleurs ce que découvre le Danemark, qui en fait ne peut consommer qu'un tiers de sa production éolienne, dont les deux tiers sont bradés à l'étranger à prix cassés, et reste malgré tout un gros émetteur de CO2.
Il est primordial de comprendre que la gestion de l'électricité est une gestion de flux (le flux d'électricité doit être à chaque instant égal à la demande, quelle que soit la quantité demandée) et non une gestion de stock (comme le pétrole ou le gaz, où seule importe la quantité consommée, sur un an par exemple); la formation des prix y est donc fondamentalement différente. Cela n'apparaît pas très clairement car le poids relatif des ENR reste modeste (même au Danemark, qui est un très petit pays sur le marché européen), mais les dégâts sur l'industrie d'énergie sont colossaux en Europe (seule EDF réussit à tirer son épingle du jeu, toutes les autres compagnies sont en graves difficultés ou en faillite.
Un article sur ce point économique est paru dans "la Recherche" je crois; je ne l'ai pas sous la main, mais je vais chercher...
Reste la question du stockage, qui n'a pas trouvé le moindre début de solution (sauf en Norvège) et fait partie des radotages utopiques ressassés par certains; mais cela ne règlerait rien: si on stocke le surplus, il faut investir 3 ou 4 fois plus dans la puissance installée si c'est de l'éolien, 6 ou 7 fois plus si c'est du photovoltaïque; de quoi ruiner n'importe quelle économie. La seule solution pour accepter une part importante d'ENR, c'est d'avoir une capacité de production permettant un feed-back efficace en cas d'absence de production ENR; c'est le rôle que joue le charbon en Allemagne, le gaz en Espagne, l'hydroélectrique pour le tandem Danemark-Norvège, et le nucléaire français pour l'Europe de l'ouest.
Allez, à plus...