Je crois pas que tu l'ai prouvé,seulement qu'il n'y avait pas de singularité,comme dans la métrique de Kruskal, pour R=2GM/c2.Envoyé par henryco
Ce n'est pas du tout la même chose.
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Je crois pas que tu l'ai prouvé,seulement qu'il n'y avait pas de singularité,comme dans la métrique de Kruskal, pour R=2GM/c2.Envoyé par henrycoLe point important est qu'elle supprime l'horizon qui est véritablement observable, donc pas de trou noir
Ce n'est pas du tout la même chose.
“I'm smart enough to know that I'm dumb.” Richard Feynman
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Si tu es enfermé dans ta cuisine, et que tes enfants jouent dans leur chambre...tu n'entends que des bruits étouffés (gravité) mais tu ne vois rien de ce qui se passe dans la chambre...diras tu que ce qui s'y déroule est affaire de métaphysique? Non car tu sais que si tu voulais tu pourrais aller jeter un coup d'oeil dans la chambre en question...idem ici, je décris un mécanisme qui permet en principe de passer de l'autre coté en empruntant la discontinuité(avec inversion de la masse au passage)...sauf que pour le moment en pratique on sait pas faire...la métaphysique d'aujourdhui est la physique de demain !Envoyé par bardamuJe crois que c'est bien ce que je dis : en aucune façon tu ne peux mettre en évidence que l'univers obscur est, par exemple, régi par des lois de l'électromagnétisme identiques aux nôtres. L'observable ne concerne que la gravitation, le reste est par principe inexpérimentable.
Il m'arrive aussi d'embêter les physiciens de Futura, avec les secteurs cachés ou tout ce qui est inobservable (théories pré-CMB, dimensions compactées...) qui sont des faiblesses bien qu'on tente de les réduire en trouvant le maximum d'indications même indirectes.
Dans ton modèle, c'est tout simplement l'équivalent de toutes nos interactions hors-gravité qui est caché et qui l'est par principe, sans espoir d'une quelconque réduction.
En gros, soit tu postules que les lois non-gravitationnelles sont sans conséquences pour nous (pas de disparition de gravité par rencontre matière/anti-matière par exemple) et dans ce cas parler d'un 2e univers est superflu, soit tu considères qu'elles ont des conséquences, et dans ce cas on doit admettre que des phénomènes sur lesquels on ne pourra dire que "Ah, y'a dû y avoir un truc de l'autre côté" sont susceptibles de se produire dans tout ce qui touche à la gravité.
Ceci dit, il s'agit juste de s'interroger sur les conséquences épistémologiques, à chacun de voir si ça change quelque chose au travail des physiciens, bien qu'on puisse s'attendre à une vague de joyeusetés para-psy-truc-E.T.-magique-djinns-anges-démons à base d'univers obscur et de micro-perturbations anti-gravitationnelles.
Tu as peut être raison. Je préfère espérer que cette réanalyse des données non seulement confirmera l'effet mais aussi identifiera un saut discontinu dans la vitesse des horloges à une certaine distance (signature de la discontinuité)...que cela pourra être fait pour les deux sondes envoyées à plusieurs années d'intervalle pour mettre en évidence que le saut s'est produit à deux lieux différents...et de là je pourrai tester que la vitesse deEnvoyé par bardamuAïe, aïe, faut pas parler comme ça ici, c'est mauvais pour la réputation d'impliquer la CIA, ça pourrait apparaître comme une protection complotiste dans l'éventualité où il n'y aurait pas d'anomalie Pioneer.
Pas bon, pas bon...
propagation de la discontinuité est la bonne entre ces deux lieux et prédire à quel moment on va se la prendre
dans la gueule ...cte délire!!
Envoyé par bardamuCe qui m'étonne c'est que tu aies cette idée alors que tu sembles par ailleurs chercher des indices à l'ordre PN. Je ne vois pas trop comment tu passes de l'un à l'autre, mais bon...
Soit, je dois modérer mes ardeurs. je suis d'un naturel trop anthousiaste.Envoyé par bardamuMais tu devrais peut-être le dire plus clairement sur ton site, en lieu et place de :
"la plupart des grandes énigmes bien connues de la gravité et de la cosmologie y trouvant une solution naturelle: Calcul des masses des particules élémentaires"
Ca fait partie du travail de la modération de re-contextualiser les annonces fracassantes.
Entièrement d'accord ! On y passerait ses journées !Envoyé par chercheurJe trouve qu'il y a des débats passionnants sur ce forum.
En tout cas avec les données de Riess les gens ne se sont pas privés d'annoncer que le Jerk était confimé de facon indépendante...Envoyé par deep_turtleMais à ma connaissance, personne ne dit vraiment ce type de fit ne marcherait pas. Les gens qui font des SN combinent les contraintes venant des courbes de lumière avec celles venant d'ailleurs, en s'arrangeant pour que les contraintes soient le plus complémentaires possibles (Riess ne l'a pas vraiment fait, c'est un autre problème). Pour SNLS, c'était le pic acoustique des baryons (BAO). Sur les SN seules, on fitte un éléphant et je crois volontiers que le tien passe ce test. Maintenant, je serais curieux de savoir ce que ça donne avec la contrainte BAO en plus !
Cette contrainte des BAO est modèle dépendante. Dans mon cadre par exemple elle n'a pas lieu d'intervenir: l'expansion doit être à accélération rigoureusement constante quels que soient tous les autres observables de la cosmologie: ca passe ou ca casse! il n'y a pas d'autres parmètres que ce alpha que je fitte et la normalisation.
ceci dit, indépendament, la formation des grandes structures et les BAO doivent fonctionner dans un univers à accélération constante.
Ce dont il est facile de se convaincre facilement (cf le papier) c'est que les structures croissent dans le domaine linéaire mais ensuite on aborde le domaine non linéaire et là ca devient tout un programme hors de mes moyens pour le moment. Je dois donc m'en tenir à mes priorités: test de la gravité locale avant d'appliquer cela à la cosmologie sauf si ... je me trouve une bande de collaborateurs armés pour attaquer ces questions (avec les simuls détaillées...etc...)
F
Je vais aller regarder de plus près tes références plus récentes...mais l'ingrédient principalement nouveau du traitement de la NS dans mon cadre c'est que à l'époque de la NS, le taux d'expansion est complètement négligeable (c'est calculé dans mon papier ) par rapport aux temps caractéristiques de tous les équilibres en jeux. Par conséquent tous les processus sont toujours à l'équilibre: jamais de phénomènes de gel par l'expansion...Envoyé par mtheoryCe que tu as fait pour la nucléosynthèse est quand même trop léger http://www.darksideofgravity.com/reviewtot.pdf
évidemment tu peux pas tout faire mais avant de dire que ça colle pour la NS je pense qu'il faudrait établir les lois de variation de l'entropie et de la température dans ton modèle cosmologique,déjà.
et certains processus qui n'ont pas le temps d'intervenir dans le cadre du MS jouent ici un rôle dominant...mais le taux d'expansion n'intervenant pas explicitement dans les calculs, ce qui est certain c'est qu'il y a beaucoup moins de compléxité que dans le traitement de la NS dans le MS et je m'étais convaincu à partir du Weinberg que ca devait fonctionner sans soucis en tout cas pour les fractions d'hydrogène et d'Helium. Je vais reregarder cela à la lumière de ces travaux plus récents.
merci
F
Je suis daccord que cette singularité en RG n'est qu'une singularité de coordonnées sans conséquences facheuses...elle disparait comme tu dis dans un syst de cooEnvoyé par mtheoryJe crois pas que tu l'ai prouvé,seulement qu'il n'y avait pas de singularité,comme dans la métrique de Kruskal, pour R=2GM/c2.
Ce n'est pas du tout la même chose.
convenablement choisi. MAis ce que je me contente de faire remarquer dans le papier c'est que c'est dans le syst de coo isotrope (ou en RG cette singularité de coo est bien présente: g_00 s'annule si je me souviens bien) que dans ce modèle, la fameuse singularité de coo disparait: c'est nouveau et peut être interessant.
Bien sûr mais ça ne suffit pas pour prouver qu'il n'y a plus d'horizon,or c'est ça qui définit un trou noir et rien d'autre.Envoyé par henrycoJe suis daccord que cette singularité en RG n'est qu'une singularité de coordonnées sans conséquences facheuses...elle disparait comme tu dis dans un syst de coo
convenablement choisi. MAis ce que je me contente de faire remarquer dans le papier c'est que c'est dans le syst de coo isotrope (ou en RG cette singularité de coo est bien présente: g_00 s'annule si je me souviens bien) que dans ce modèle, la fameuse singularité de coo disparait: c'est nouveau et peut être interessant.
Donc tu ne peux pas dire en l'état que ta théorie élimine la notion de trou noir,il faut que tu démontre que tu n'as plus d'horizon des événements.
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La question n'est pas qu'il soit possible d'avoir des fluctuations de Jeans suffisamment amplifiées pour former des grandes structures dans un modèle constament accéléré mais quelle est l'origine de ces fluctuations d'une part et si les amplitudes prédites sont de l'ordre de grandeur adéquat.Envoyé par henrycoceci dit, indépendament, la formation des grandes structures et les BAO doivent fonctionner dans un univers à accélération constante.
Ce dont il est facile de se convaincre facilement (cf le papier) c'est que les structures croissent dans le domaine linéaire mais ensuite on aborde le domaine non linéaire et là ca devient tout un programme hors de mes moyens pour le moment. Je dois donc m'en tenir à mes priorités: test de la gravité locale avant d'appliquer cela à la cosmologie sauf si ... je me trouve une bande de collaborateurs armés pour attaquer ces questions (avec les simuls détaillées...etc...)
F
Il y a eu plusieurs modéles cosmologiques,surtout d'inflation,qui se sont casser la figure parce qu'ils prédisaient une amplitude trop faible ou trop forte pour les fluctuations de densités.
De plus les amplitudes et le spectre prédis doivent être en accord aussi bien avec la structure des amas qu'avec le CMB.C'est très difficile car selon les échelles amas globulaires,galaxies,amas de galaxies etc...il y a des tas de contraintes.
A l'heure actuel,mais je ne suis pas un spécialiste,seul l'inflation donne des choses correctes (+ matière noire ) il me semble.
Dernière modification par mtheory ; 07/08/2006 à 14h29.
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Envoyé par henrycoidem ici, je décris un mécanisme qui permet en principe de passer de l'autre coté en empruntant la discontinuité(avec inversion de la masse au passage)...sauf que pour le moment en pratique on sait pas faire...la métaphysique d'aujourdhui est la physique de demain !
Tu écris : "Indeed, matter living there can only interact through gravitation with matter in our pseudometric.
Si on peut y passer, pourquoi dis-tu qu'il n'y a de lien que gravitationnel ? On va perdre toutes les variables non-gravitationnelles et les retrouver par miracle de l'autre côté ?
Non ca c'est une autre question que celle que je soulevais, une question à laquelle faute de moyens je ne peux pas répondre pour le moment...(analyse très lourde!)Envoyé par mtheoryLa question n'est pas qu'il soit possible d'avoir des fluctuations de Jeans suffisamment amplifiées...
La question à laquelle par contre je répondais était si oui ou non, je peux avoir croissance des fluctuations du CMB (dont l'amplitude est connue: de l'ordre de 10^-5) dans mon modèle accéleré dans le domaine linéaire et la réponse est oui (elle est même exponentielle) contrairement à ce que pourrait laisser croire le raisonnement habituel dans le cadre de la cosmo standard.
F
Là tu me fais douter...Envoyé par mtheoryBien sûr mais ça ne suffit pas pour prouver qu'il n'y a plus d'horizon,or c'est ça qui définit un trou noir et rien d'autre.
Donc tu ne peux pas dire en l'état que ta théorie élimine la notion de trou noir,il faut que tu démontre que tu n'as plus d'horizon des événements.
N'est il pas évident qu'en l'absence de singularité dans le système de coordonnées isotropes, je n'ai pas non plus d'horizon des événements? En y intégrant le temps de propagation d'un rayon lumineux entre deux rayons finis non nuls le résultat étant trivialement fini, cela suffit pour conclure ...non?
Le modèle tel qu'il se présente aujourdhui effectivement ne permet pas d'interaction autre que la gravité entre les deux secteurs...mais je ne doute pas une seconde que de nouveaux mécanismes à élucider permettront le passage, qui soit dit en passant risque bien de ne pas être une interaction au sens traditionnel du terme.Envoyé par bardamu
Tu écris : "Indeed, matter living there can only interact through gravitation with matter in our pseudometric.
Si on peut y passer, pourquoi dis-tu qu'il n'y a de lien que gravitationnel ? On va perdre toutes les variables non-gravitationnelles et les retrouver par miracle de l'autre côté ?
Pour le moment le passage, d'un univers à l'autre tel que je le concois est lié à une rotation de phase spontanée de la gravité au niveau de la discontinuité qui permet de sauter d'une gravité à l'autre (c'est un peu comme si les rails des deux métriques qui jusque là étaient paralleles se croisaient en un lieu précis, permettant l'aiguillage d'un univers à l'autre)...mais c'est encore prématuré: encore une fois, la métaphysique d'aujourdhui est la physique de demain.
F
peut être,peut être pas...I don't know.Envoyé par henrycoLà tu me fais douter...
N'est il pas évident qu'en l'absence de singularité dans le système de coordonnées isotropes, je n'ai pas non plus d'horizon des événements? En y intégrant le temps de propagation d'un rayon lumineux entre deux rayons finis non nuls le résultat étant trivialement fini, cela suffit pour conclure ...non?
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Ok mais tu prétends te passer de l'inflation,or celle-ci est quasiment le seul moyen connu de produire le bon spectre avec la bonne amplitude surtout.Envoyé par henrycoNon ca c'est une autre question que celle que je soulevais, une question à laquelle faute de moyens je ne peux pas répondre pour le moment...(analyse très lourde!)
La question à laquelle par contre je répondais était si oui ou non, je peux avoir croissance des fluctuations du CMB (dont l'amplitude est connue: de l'ordre de 10^-5) dans mon modèle accéleré dans le domaine linéaire et la réponse est oui (elle est même exponentielle) contrairement à ce que pourrait laisser croire le raisonnement habituel dans le cadre de la cosmo standard.
F
C'est ce que je crois savoir mais je suis pas sûr....
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Je viens de mettre à jour sur mon site comme tu me le suggerais cette histoire de métriques conjuguées:
http://www.darksideofgravity.com/leccoeur.htm
J'ai vu,mais comme je te l'ai dit au tel,je ne suis toujours pas convaincu mais je vais prendre un peu de temps pour réfléchir un peu plus.Envoyé par henrycoJe viens de mettre à jour sur mon site comme tu me le suggerais cette histoire de métriques conjuguées:
http://www.darksideofgravity.com/leccoeur.htm
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Eh bien, j'en resterai à l'idée que la métaphysique d'aujourd'hui est de la métaphysique, en attendant que tu trouves une idée précise et des phénomènes probant qui en feront de la physique.Envoyé par henryco(...) mais c'est encore prématuré: encore une fois, la métaphysique d'aujourdhui est la physique de demain.
F
Et les épicycles étaient basés sur la métaphysique d'hier : ah la beauté du cercle ! tellement symétrique ...
Certes, mais pour la cosmologie, c'est devenu depuis quelques années de la métaphysique expérimentale, ça lui redonne tout de même un vrai statut scientifique.Envoyé par bardamuEh bien, j'en resterai à l'idée que la métaphysique d'aujourd'hui est de la métaphysique ...
Salut henryco,
Dans un fil précédent, tu disais :
Je voudrais être certain de bien comprendre. Si ne représente pas une métrique, il faut donc en conclure que le ralentissement observé des horloges dans un champ gravitationnel est un phénomène mécanique. Est-ce bien ça?Si n'est pas une métrique cela signifie qu'il n'affecte pas l'espace-temps lui-même mais plutot les temps et les distances caractéristiques des phénomènes couplés à . Mais observationellement tu n'as aucun moyen de faire la différence.
Au fait au passage c'est amusant mais même l'annihilation que tu mentionnais est en principe observable depuis le notre si elle se déroule dans l'autre univers, car le photon ne source pas la gravité dans mon cadre alors que les particules et antiparticules qui ont une masse oui...Envoyé par bardamuEh bien, j'en resterai à l'idée que la métaphysique d'aujourd'hui est de la métaphysique, en attendant que tu trouves une idée précise et des phénomènes probant qui en feront de la physique.
Et les épicycles étaient basés sur la métaphysique d'hier : ah la beauté du cercle ! tellement symétrique ...
mtheory, si tu as eu le temps de lire le papier d'Ehlers tu as du voir qu'il s'agit bien de la masse active (tout ce qui peut dans T_00 sourcer la gravité) dont il est question et qu'au jour d'aujourdhui il n'existe pas de preuve expérimentale de l'influence de la pression dans ce terme à cause de la compensation en RG entre la pression et l'énergie gravitationelle qui maintient cette pression...l'auteur conclue que seule une situation hors équilibre (expasion de l'univers, Supernovae) pourrait le mettre en évidence mais que pour le moment il s'agit d'une question ouverte en gravitation.
F
Salut,non pas eu le temps,en fait j'ai passé du temps essentiellement à la recherche des poussières interstellaires de la mission stardust
http://stardustathome.ssl.berkeley.edu/
Pour ceux que ça intéresse le papiers d'Ehlers c'est:
http://arxiv.org/abs/gr-qc/0510041
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Mécanique ... je n'irai pas jusque là ! le ralentissement des horloges est du au fait que les temps et fréquences et longueurs caractéristiques des processus physiques élémentaires (comme les processus atomiques, mais aussi les photons), qui déterminent bien sur les temps marqués par toute horloge constituée d'atomes, sont affectés par leur interaction avec le champ gravitationnel g_munu...comme par exemple (ce n'est qu'une analogie grossière) la période de rotation de la terre autour du soleil pourrait être affectée par une interaction supplémentaire inconnue entre la terre et le soleil.Envoyé par PopolAuQuébecSalut henryco,
Dans un fil précédent, tu disais :
Je voudrais être certain de bien comprendre. Si ne représente pas une métrique, il faut donc en conclure que le ralentissement observé des horloges dans un champ gravitationnel est un phénomène mécanique. Est-ce bien ça?
Comme g_munu a les propriétés mathématiques d'une
métrique, on pourrait croire qu'il est impossible de distinguer la phénoménologie qui découle de cette interprétation des choses de celle qui découle d'une interprétation en terme de dilatation du temps lui même à la RG. Mais en fait ce n'est pas le cas car cette nouvelle interprétation requiert une modification des lois de la physique si on tient à garder le maximum de symétrie dans les équations. Ceci dit les gens aujourdhui aiment bien briser les symétries...pas moi tant que je n'ai pas de bonnes raisons expérimentales de le faire et si la symétrie en question me génère jusqu'à preuve du contraire une théorie meilleure à de multiples points de vue que la RG...
F
La plupart des propriétés cosmologiques du CMB (les propriétés de la physique qui s'y déroule: ondes acoustiques etc...sont les mêmes dans mon cadre et ce sont elles qui déterminent essentiellement la hauteur des pics), comme j'avais pu le constater en lisant la bible (la thèse de Wu) et en discutant avec Lesgourgues, ces propriétés sont aussi celles qui découlent d'un système primordial d'ondes stationnaires...que mon modèle prédit puisque l'univers y est issu d'un volume fini bordé par une discontinuité qui piège les ondes grav (comme un miroir gravitationnel sphérique). D'autre part, j'ai aussi la platitude...et enfin en l'absence d'horizon, la position des pics acoustiques ne donne aucune autre information cosmologique que cette platitude...puisqu'il n'y a plus ce phénomène de rentrée dans l'horizon si essentiel dans la comprehension standard des pics acoustiques.Envoyé par mtheoryOk mais tu prétends te passer de l'inflation,or celle-ci est quasiment le seul moyen connu de produire le bon spectre avec la bonne amplitude surtout.
C'est ce que je crois savoir mais je suis pas sûr....
C'est pourquoi, bien qu'une simulation détaillée soit nécessaire pour conclure, le contexte est suffisament prometteur pour que je demeure confiant!
Fascinente question ..car en première approximation je pourrais donner la même réponse qu'en RG...mais il y a d'autres combinaisons possibles pour construire des actions avec g, gtilde mais aussi F_munu et son dual qui pourrait dans mon cadre enfin trouver sa place (le dual de F_munu qui fait jouer un role permutté aux champs electriques et magnétiques et soulève la question de l'existence de monopoles magnétiques semble pour le moment, faute de mise en évidence expérimentale de ce fameux monopole, exclu de la physique du MS)Envoyé par PopolAuQuébecSalut henryco,
Juste une petite question. Dans ta théorie, le potentiel coulombien entre deux charges est-il affecté par un potentiel gravitationnel (=GM/Rc2) ?
C'est par simple curiosité
faux. Le tenseur dual n'est pas "exclu" de la physique actuelle. Il y a juste asymétrie (en présence de charges) entre son rôle et celui du tenseur F.Envoyé par henrycole dual de F_munu qui fait jouer un role permutté aux champs electriques et magnétiques et soulève la question de l'existence de monopoles magnétiques semble pour le moment, faute de mise en évidence expérimentale de ce fameux monopole, exclu de la physique du MS
Oui, mais on ne sait pas que ce sont des particules et des anti-particules puisqu'on ne voit que leur effet gravitationnel.Envoyé par henrycoAu fait au passage c'est amusant mais même l'annihilation que tu mentionnais est en principe observable depuis le notre si elle se déroule dans l'autre univers, car le photon ne source pas la gravité dans mon cadre alors que les particules et antiparticules qui ont une masse oui...
F
2 masses se rencontrent et disparaissent, et puis parfois de la masse apparait (je crois que c'est prévu (observé ?) pour des photons à haute-énergie), et là, on ne peut qu'extrapoler. Et je me demande ce que ça donne pour la brisure de symétrie matière/anti-matière, comment il se fait que celle-ci donne un résultat cohérent d'un côté et de l'autre si il n'y a de relation que gravitationnelle. Il faudrait alors démontrer que c'est la gravitation qui dirige cette symétrie d'une manière ou d'une autre.
Pour tout dire, mon impression, que tu pourras sans doute confirmer/infirmer, est que si on enlève l'hypothèse de 2 univers au sens complet pour en rester à une description de la gravitation avec 2 composantes symétriques, cela ne change rien au modèle et ça évite des problèmes conceptuels.
Principe de Descartes : diviser les problèmes.
Rasoir d'Occam : combien d'hypothèses sont superflues ou redondantes, ne changeant rien au formalisme sur lequel tu travailles ?
Une idée en passant, peut-être à côté de la plaque : est-ce que concevoir que le comportement de la gravité s'inverse en fonction de la densité de matière n'est pas équivalent à ce que tu proposes ? Telle densité donne une attraction, et en dessous d'un seuil, on a une répulsion, le "vide" repousse, avec une discontinuité comme dans ton modèle au niveau de ce seuil de densité. Du coup, on a l'énergie noire entre les galaxies, l'effet "matière noire" sur les galaxies (compression par le "vide" qui les entoure) et voilà.
Désolé si c'est de la physique de cuisine, c'est souvent le cas avec les idées simples...
Donc si on concentre tout plein de photons plein d'energie, on ne constate aucun effet gravitationnel ?car le photon ne source pas la gravité dans mon cadre
J'ai le vague souvenir d'une experience comme ça, mais j'en mettrais pas ma main à couper !
En d'autres termes, c'est par son couplage avec les autres champs de la physique que le champ gravitationnel ralentit les horloges (plus généralement les processus). Est-ce que, dans le cas des champs gravitationnels faibles, tu as déterminé la forme mathématique de ce couplage pour l'interaction électromagnétique ?Envoyé par henrycoMécanique ... je n'irai pas jusque là ! le ralentissement des horloges est du au fait que les temps et fréquences et longueurs caractéristiques des processus physiques élémentaires (comme les processus atomiques, mais aussi les photons), qui déterminent bien sur les temps marqués par toute horloge constituée d'atomes, sont affectés par leur interaction avec le champ gravitationnel g_munu...comme par exemple (ce n'est qu'une analogie grossière) la période de rotation de la terre autour du soleil pourrait être affectée par une interaction supplémentaire inconnue entre la terre et le soleil.
Bonjour
j'ai parcouru les fils sur la nouvelle théorie d'henryco et je suis un peu perplexe, surtout sur le principe de base qui parait etre d'abandonner l'interpretation du tenseur comme un tenseur métrique. Il me semble que la réflexion principale d'Einstein etait basé sur la constatation que ce qu'on appelle espace et temps est en fait mesuré en pratique par la propagation des rayons lumineux, et que donc si la propagation de la lumière est influencée par le champ gravitationnel (ce qui est nécessaire pour satisfaire le principe d'équivalence, et se traduit par le fait qu'elle se fait sur des variétés de type lumière ds = 0), il DOIT représenter la métrique telle qu'on la construit avec nos instruments de mesure.
Un exemple : si on part d'un espace hyperbolique (pour éviter les problèmes topologiques, il est toplogiquement homéomorphe à un espace plat) de courbure négative constante, on peut toujours définir un système de coordonnées X,Y,Z,t et le munir d'une métrique lorentzienne : le seul problème est que cette métrique n'a aucune signification physique et que par exemple un rayon lumineux ne suivra pas dS = 0 , ou qu'un mètre étalon changera de longueur suivant la position qu'il occupe dans l'espace, et ce de façon totalement arbitraire et dépendant du choix de l'origine des coordonnées.
Il me semble donc que l'abandon du tenseur comme tenseur métrique revient a violer le principe d'équivalence, et à définir la métrique par autre chose que des étalons spatio-temporels physiques, ce qui n'est pas tres commode et en pratique totalement inapplicable....