Ils ne se basent pas que sur ce paramètre. (coût humain, difficulté de la transition économique, ect).
Ce qui couterait le moins cher économiquement serait de ne rien faire, et quand je dis moins cher c'est en excluant toutes les aides aux pays donc aux citoyens, en allant jusqu'à l’exclusion de l’accueil des réfugiés, bref du chacun pour soi, tant que le marché continue globalement son train-train, ce qu'il ne pourra pas faire mais si les désagréments importants sont ailleurs que chez nous...
Les activistes demandent un arrêt immédiat des prospections et tout nouveaux chantiers en cours ou en devenir, l'économie et le fonctionnement de nos sociétés ne le permettent pas, on ne sait pas encore remplacer le pétrole dans beaucoup de domaine, donc en attendant que le "génie humain" trouve des solutions qui sont à ce jour de l'ordre des hypothèses ou futures découvertes technologiques, il faut bien gérer une transition sur le moyen ou long terme pour éviter que tout se casse la tronche et ça passe par la prospection, parce que en attendant...ce serait dommage de ne pas assurer nos arrières.Et elle est d'autant plus légitime que c'est de fait la raison pour laquelle ce sont des "activistes" et que leur revendication n'est pas acceptée actuellement par les gouvernements. Il y a bien une raison, non ?
En bref, le coût n'est pas que économique, donc difficile de comparer qu'avec le prisme économique pour les politiques.
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