le but de l'essai était de savoir si avec un vent de face l'hélice motrice ferait avancer le mobileDe derrière normalement.
Mais sachez que si le vent était un peut plus "fort" (plus rapide), et contrairement à ce que suppose polo974, lorsque la maquette commencera à se déplacer, la vitesse de la maquette ne vous donnera pas la vitesse du vent. Ni au moment où elle commencera à accélérer (ça au moins c'est facile à comprendre), ni au moment où sa vitesse se stabilisera (pour autant que ce miracle se produise dans un environnement naturel, là où le vent est changeant).
Notez également que si vous pouviez mesurer la vitesse du vent à quelques nanomètres du sol, elle vaudrait 0.
Facile alors de dépasser cette vitesse.
Maaaagnifiiiiique ! tout ça n'a aucune importance..
Dernière modification par ArchoZaure ; 19/08/2023 à 10h45.
Oui voir la ventomobile https://www.uni-stuttgart.de/univers...-im-Gegenwind/
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Archosaure,
Êtes-vous d'accord avec le point 2. Sans préjuger de la suite.
Si oui, dites-le (je vous rappelle qu'au début du fil, vous en aviez convenu).
Si non, démontrez la différence. Pas juste une affirmation. Juste le point 2.
Par ailleurs, ne mettez pas dans ma bouche des idées que je n'ai pas exprimé.
Jusqu'ici tout va bien...
Je n’arrête pas de vous dire que le point 2 est correct.
MAIS ce principe ne peut pas s'appliquer ici sans précautions.
Et je vous ai DÉJÀ expliqué la différence.
C'est à cause des frottements.
D'autre part, si vous faites l'expérience avec le tapis, si vous voyez le char filer à l'encontre du tapis ça ne veut pas dire que la poussée de l'hélice (avec un rendement inférieur à 1) compense sa propre résistance appliquée aux roues, roues qui lui permet de produire la poussée qui compense sa propre résistance appliquée aux roues, roues qui lui permet de produire la poussée qui compense sa propre résistance appliquée au roues, roues qui lui permet de produire la poussée qui compense sa propre résistance appliquée au roues,... je vais m’arrêter là.
On n'est pas chez les Shadocks ici.
Çà veut simplement dire que les roues se sont décollées du tapis, et ce, comme je vous l'ai AUSSI DÉJÀ expliqué ça nécessite de maintenir le char en place (en appuyant dessus aussi si les roues patinent)
vous avez déjà vu quelqu'un vérifier ce point ? Non ? Ben faudrait peut-être commencer à le faire.
Sans maintenir le char en place, le char recule. Et comme il recule... ben il peut pas assurer la rotation de l'hélice, puisque j'espère que vous allez l'admettre : l'hélice présente une résistance qui se transmet aux roues.
Dernière modification par ArchoZaure ; 19/08/2023 à 11h51.
Sauf que pour le cas hors tapis l'hélice n'influe pas sur l'énergie du vent. Sur le tapis elle est cause d'une demande supplémentaire en énergie sur le moteur du tapis.
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
On chipote, mais sinon de manière plus large, la question de la stabilité de la vitesse du tapis n'est pas anodine.
Si le tapis roule très vite, une toute petite variation peut donner l'occasion au char de remonter le tapis.
Dernière modification par ArchoZaure ; 19/08/2023 à 12h22.
@liet kines,Oui voir la ventomobile https://www.uni-stuttgart.de/univers...-im-Gegenwind/
merci pour le lien
ce serait donc une question d'aérodynamique..
https://en.wikipedia.org/wiki/Wind-powered_vehicle
extrait du texte:"Les véhicules à rotor sont des véhicules éoliens qui utilisent des rotors - au lieu de voiles - qui peuvent avoir un carénage autour d'eux (ventilateur canalisé) ou constituer une hélice non canalisée, et qui peuvent ajuster l'orientation pour faire face au vent apparent. Le rotor peut être relié via une chaîne cinématique aux roues ou à un générateur qui fournit de l'énergie électrique aux moteurs électriques qui entraînent les roues. D'autres concepts utilisent une éolienne à axe vertical avec des profils aérodynamiques qui tournent autour d'un axe vertical.[15] Une version de 1904 utilisait un rotor réutilisé à partir d'un moulin à vent produit en série avec son engrenage relié aux roues motrices"
"Théorie
Un véhicule avec un rotor à pales relié mécaniquement aux roues peut être conçu pour aller à une vitesse supérieure à celle du vent, à la fois directement face au vent et directement sous le vent. Au vent, le rotor fonctionne comme une éolienne entraînant les roues. Au portant, il fonctionne comme une hélice, entraînée par les roues. Dans les deux cas, la puissance provient de la différence de vitesse entre la masse d'air et le sol, telle que reçue par le rotor ou les roues du véhicule.[17]
"Par rapport au véhicule, l'air et le sol passent en arrière. Cependant, en se déplaçant contre le vent, l'air arrive sur le véhicule plus rapidement que le sol, tandis qu'en se déplaçant sous le vent plus vite que la vitesse du vent, l'air arrive sur le véhicule plus lentement que le sol. Le véhicule tire sa puissance du plus rapide des deux médias dans chaque cas et la transmet au plus lent des deux : au vent, tirant la puissance du vent et la transmettant aux roues et, sous le vent, tirant la puissance des roues et la transmettant aux roues. le rotor - dans chaque cas en proportion de la vitesse du milieu, par rapport au véhicule.[17]"
Dernière modification par titijoy3 ; 19/08/2023 à 12h27.
Maaaagnifiiiiique ! tout ça n'a aucune importance..
Donc ok définitivement pour le point 2.
Des frottements et les roues qui décoleraient...
Ta boucle shadock ne démontre rien.
Point 3 et 4.
C'est juste la description de la mise en position du char et la stabilisation de la vitesse de rotation de l'hélice. Toujours char maintenu.
Est-ce ok pour vous pour ces 2 points?
Liet, on sait qu'il va y avoir trasfert de puissance, donc c'est normal que la conso du moteur change.
Titijoy3, ici, il n'est pas question d'éolienne. L'hélice est motrice.
ArchoZaure,
La puissance nécessaire à faire un peu avancer le char au niveau de l'hélice est faible, vu que le mouvement relatif est juste celui du glissement de l'hélice.
Vu la vitesse relative au tapis/sol bien plus élevée, pour la même puissance (augmentée de qq % pour cause de frottements divers), la force au sol est bien plus faible, donc très peu de glissement des roues (et au pire, ça rentre dans le rendement de la transmission).
D'ailleurs, on voit bien sur les vidéos que le char est juste empêché d'avancer une fois qu'il est arrivé à la droite du tapis. Ce n'est pas un régime transitoire, inutile d'invoquer une quelconque exploitation de l'inertie des roues et/ou de l'hélice.
Notons au passage que le "décollement des roues" est un nouvel argument...
Et maintenant la stabilité de vitesse du tapis... Que je sache, un tapis de course est régulé et entraîné par un moteur de 1 à 2 kW entraînant un réducteur, il a une inertie certaine. Et la boucle d'asservissement est maîtrisée.
Jusqu'ici tout va bien...
Lorsque les roues tournent, il s'offre un choix entre :
-1. Laisser les roues libres, débrayées de l'hélice.
-2. Embrayer les roues sur l'hélice.
Dans le choix 1, l'hélice n'est pas motrice vers l'avant (on est en vent arrière strict). Elle agit tout au plus, si elle est bloquée fixe, comme une voile.
Dans le choix 2, on a estimé qu'il est intéressant de prendre de l'énergie dans les roues pour la transmettre à l'hélice. A quoi bon ? Cette énergie n'est pas plus efficace pour l'avancement à partir de l'hélice qu'elle ne l'aurait été en restant dans les roues, qui ont une avance sans glissement sur le sol, plus rigide que contre un fluide comme le fait l'hélice. Ce passage de l'énergie d'avancement des roues à l'hélice entraîne un gaspillage d'énergie valant la différence de rendement entre les modes de propulsion, on peut arrondir à 15 % à la bonne louchée.
Dans le choix 1, on sait sans aucun soucis que le véhicule ne peut aller en moyenne ( ou vitesse stabilisée, c'est pareil) plus vite que le vent.
Dans le choix 2, on gaspille de l'énergie par rapport à un état (le choix 1) qui limite la vitesse d'avancement du véhicule à la vitesse du vent. Il en ressort qu'une vitesse stabilisée, ou moyenne, supérieure à la vitesse du vent, relève d'un système surunitaire, et il aurait plus sa place parmi les fantasmes d'un auteur de comic book américain que dans un forum scientifique. Ceci ne concerne que le question posée, liée à un vent arrière strict.
C'est du béaba.
Les frottements c'est certain.Des frottements et les roues qui décoleraient...
Les roues qui glissent, c'est ma contribution à l’ingénierie du 21eme siècle.
La nier ne démontre rien non plus.Ta boucle shadock ne démontre rien.
vous voulez parler de ça ?Point 3 et 4.
C'est juste la description de la mise en position du char et la stabilisation de la vitesse de rotation de l'hélice. Toujours char maintenu.
Est-ce ok pour vous pour ces 2 points?
C'est faux, je vous l'ai déjà fait remarquer.3. 4. Archosaure, on impose la vitesse relative V. On maintient le char fixe, donc à la même vitesse que l'air environnant.
Donc on reste sur cette vitesse. Et on prend une configuration de char pas totalement mal foutue. On n'essaie pas de montrer qu'il existe mille façons de saboter l'expérience.
Ceci dit, on reprend au point 3.
La vitesse du tapis lorsque le char semble commencer à se déplacer à contre-courant du tapis n'est PAS la vitesse du vent (calculable A POSTERIORI)... à cause des frottements.
Désolé mais pour moi c'est là du charabia (après c'est peut-être clair dans votre tête, je sais pas), et je ne vous comprends pas.ArchoZaure,
La puissance nécessaire à faire un peu avancer le char au niveau de l'hélice est faible, vu que le mouvement relatif est juste celui du glissement de l'hélice.
Vu la vitesse relative au tapis/sol bien plus élevée, pour la même puissance (augmentée de qq % pour cause de frottements divers), la force au sol est bien plus faible, donc très peu de glissement des roues (et au pire, ça rentre dans le rendement de la transmission).
Puissance ? Glissement de l'hélice ?
On ne vous comprend pas si vous parlez de DROITE ou de GAUCHE sur un tapis, ça n'a aucun sens en soi.D'ailleurs, on voit bien sur les vidéos que le char est juste empêché d'avancer une fois qu'il est arrivé à la droite du tapis. Ce n'est pas un régime transitoire, inutile d'invoquer une quelconque exploitation de l'inertie des roues et/ou de l'hélice.
Les vidéos présentant des situations inversées, on ne sait pas ce que vous voulez dire.
Tout à fait, c'est la conclusion (dont je vous épargnerait le cheminement) à laquelle je suis parvenu.Notons au passage que le "décollement des roues" est un nouvel argument...
Reste à valider ou invalider l'hypothèse sur le terrain.
Et comme personne n'est encore allé vérifier, à ma connaissance, c'est une possibilité que je ne peux pas écarter.
Mais si vous connaissez des expériences qui ont vérifié ce point, je suis prêt à les prendre en compte.
Elle n'est pas juste "maitrisée". Elle est asservie.Et maintenant la stabilité de vitesse du tapis... Que je sache, un tapis de course est régulé et entraîné par un moteur de 1 à 2 kW entraînant un réducteur, il a une inertie certaine. Et la boucle d'asservissement est maîtrisée.
Et cet asservissement passe obligatoirement par des variations.
C'est la variation qui engage la réponse permettant de corriger la variation.
On a donc des oscillations.
De combien ?
Ça dépend du tapis j'imagine.
Voilà un autre façon d'expérimenter la chose https://www.youtube.com/watch?v=-O3ZqklSndM
Dans ce cas il serait intéressant de:
- faire des lectures de la conso du moteur avec l'hélice montée en éolienne et en ventilo puis sans l'hélice.
- En utilisant un repère fixe extérieur, que l'on nomme R au dispositif, faire une lecture de la vitesse d'avancement de la petite roue blanche (tr/mn= nombre de passages devant R/mn) et ensuite inverser l'hélice et mesurer la différence nombre de tr/mn de la roue de vélo (passage d'un point repéré sur la roue devant R) - nombre de tr/mn de la petite roue blanche.
Si les deux mesures sont égales alors le blackbird ne va pas plus vite que le vent.
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
C'est exactement ça.Dans le choix 2, on a estimé qu'il est intéressant de prendre de l'énergie dans les roues pour la transmettre à l'hélice. A quoi bon ? Cette énergie n'est pas plus efficace pour l'avancement à partir de l'hélice qu'elle ne l'aurait été en restant dans les roues, qui ont une avance sans glissement sur le sol, plus rigide que contre un fluide comme le fait l'hélice. Ce passage de l'énergie d'avancement des roues à l'hélice entraîne un gaspillage d'énergie valant la différence de rendement entre les modes de propulsion, on peut arrondir à 15 % à la bonne louchée.
Après il y a une subtilité qui peut permettre d'aller plus vite que le vent arrière, à coup sûr, sur une certaine durée.
Pour obtenir un rendement maximum il faut rester à la vitesse relative la plus élevée possible, donc freiner le char.
On peut pour ce faire coupler l'hélice et les roues, pour que l'hélice souffle (dans le sens qu'on veut) sur une turbine.
La turbine pouvant ensuite mettre une masse en rotation.
Cette énergie stockée dans la masse en rotation pourra ensuite être libérée plus rapidement que le temps qu'on a mis pour l'accumuler, ce qui permettra de dépasser la vitesse du vent.
Mais si on calcule la vitesse moyenne du char, elle sera toujours inférieure à la vitesse du vent.
Et on est encore d'accord sur ce point.ans le choix 1, on sait sans aucun soucis que le véhicule ne peut aller en moyenne ( ou vitesse stabilisée, c'est pareil) plus vite que le vent.
On constatera d'ailleurs à ce titre qu'aucun article n'a encore été publié dans la revue Nature au sujet des chars à propulsion arrière filant plus rapidement que le vent.Dans le choix 2, on gaspille de l'énergie par rapport à un état (le choix 1) qui limite la vitesse d'avancement du véhicule à la vitesse du vent. Il en ressort qu'une vitesse stabilisée, ou moyenne, supérieure à la vitesse du vent, relève d'un système surunitaire, et il aurait plus sa place parmi les fantasmes d'un auteur de comic book américain que dans un forum scientifique. Ceci ne concerne que le question posée, liée à un vent arrière strict.
Mais sait-on jamais, un relâchement des peer reviewer un premier avril n'est jamais exclu.![]()
Je parle des points de ce post.
https://forums.futura-sciences.com/e...ml#post7123506
Ouvrez-le dans un autre onglet ou fenêtre.
C'est sur ces points que je discute, vous y trouverez ce qui est à droite et à gauche.
Vous parlez de frottements (de quoi?), en quoi ça changerait la vitesse relative entre le tapis et l'air ambiant?
Jusqu'ici tout va bien...
Et encore la même erreur de débutant....Voilà un autre façon d'expérimenter la chose https://www.youtube.com/watch?v=-O3ZqklSndM
Le gars il dit que la vitesse de rotation de la roue correspond "à la vitesse du vent" (alors qu'on n'a pas de vent, tout le monde sera au moins d'accord sur ce point).
Donc oui, l'hélice va dans le sens qui ferait penser qu'elle va plus vite que la roue... sauf que la roue ne va pas à la vitesse du vent.
Je ne vais pas me répéter.
En fait si.
Vous ne trouvez pas ça amusant ?Envoyé par ArchoZaure
V : Vitesse du char.
VV : Vitesse du vent.
Non mais pourquoi V serait la vitesse du vent ?
Parce-qu'on vient de l'annoncer avant, principe 2.) vitesse relative toussa toussa ?
V c'est la vitesse du char. Point.
La vitesse du vent ici, on ne la connait pas avec cette configuration...
Par exemple, imaginez la même situation sur une piste en extérieur, avec un vent de vitesse VV.
Vous êtes d'accord, j'espère, que le char pourrait tout à fait stabiliser sa vitesse V à une valeur inférieure à VV.
Par exemple s'il n'y avait pas d'hélice, vu les frottements.
Mettez une hélice maintenant.
Imaginez que la poussée de l'hélice ne permette pas de compenser les frottements
Vous êtes d'accord, j'espère, que le char pourrait tout à fait stabiliser sa vitesse V à une valeur inférieure à VV.
Donc vous remettez ce même char avec votre hélice sur le tapis roulant.
Et là, lorsque le char roule à la vitesse V vous dites que vous roulez à la vitesse VV.
C'est faux.
Vous roulez toujours à la vitesse V < VV.
Mais vous êtes effectivement à l’équilibre.
Amusant non ?
Envoyé par Archozaure
La vitesse du tapis roulant N'EST PAS LA VITESSE QU'AURAIT EU LE VENT.
Il n'y a pas de vent avec le tapis roulant... on le suppose à posteriori.
Donc si vous négligez certaines choses, comme par exemple les frottements, vous pouvez appliquer 2).
Mais comme il y a des frottements, vous ne pouvez plus appliquer 2.) et vous devez revoir la manière d'estimer A POSTERIORI la vitesse qu'aurait eu le vent dans les conditions de l'expérience.
Vous remarquerez par ailleurs que les frottements ne sont pas un point de détail dans le cas des maquettes proposées, puisqu'il faut atteindre une vitesse importante (on voit le tapis défiler à bonne vitesse) pour qu'enfin l'hélice commence à les compenser.
Et je le répète, le fait de compenser les frottements à partir d'une certaine vitesse, pour tel ou tel modèle de char, ne signifie pas que cette compensation des frottements coïnciderait avec la vitesse du vent.
Ce serait étonnant...
Dernière modification par ArchoZaure ; 19/08/2023 à 15h54.
Et le protocole de test que j'ai donné devrait montrer ce qu'il en est vraiment.Et encore la même erreur de débutant....
Le gars il dit que la vitesse de rotation de la roue correspond "à la vitesse du vent" (alors qu'on n'a pas de vent, tout le monde sera au moins d'accord sur ce point).
Donc oui, l'hélice va dans le sens qui ferait penser qu'elle va plus vite que la roue... sauf que la roue ne va pas à la vitesse du vent.
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Archo,
Vous agréez le point 2 donc vitesse relative V.
Avec le tapis roulant, situation de la vidéo et des points sur les quels on discute, la vitesse du vent est nulle. Le tapis défile vers la gauche à la vitesse V.
Inutile de vouloir changer les règles.
Précision, au point 4, le char et l'air ambiant ont une vitesse nulle.
Pour le moment, on n'a pas lâché le char.
Les points 3 et 4 décrivent juste comment on stabilise le char sur le tapis.
Est-on ok pour les points 3 et 4 ?
Dernière modification par polo974 ; 19/08/2023 à 16h28.
Jusqu'ici tout va bien...
Une idée si l'on fixe sur les roues arrières du char des ailettes à orientation variable (prise au vent maxi en haut et mini en bas) le vent va faire tourner en appuyant sur les pales en haut et en bas faible résistance des pales face au vent-> le truc avance mais plus vite que le vent ? Plaçons donc un tel mécanisme sur un tapis roulant pour voir![]()
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Il n'y a pas de vent sur un tapis roulant...Une idée si l'on fixe sur les roues arrières du char des ailettes à orientation variable (prise au vent maxi en haut et mini en bas) le vent va faire tourner en appuyant sur les pales en haut et en bas faible résistance des pales face au vent-> le truc avance mais plus vite que le vent ? Plaçons donc un tel mécanisme sur un tapis roulant pour voir
Mais c'est pas grave, c'est pareil avec tapis roulant et sur piste diront certains.(loi du point 2
).
Alors ?
Ok pour les points 3 et 4 ?
Jusqu'ici tout va bien...
Mais non n'importe quoi.
Vous pouvez prendre n'importe quelle valeur de V, le vent (relatif) sera toujours nul sur le tapis roulant (vu qu'il n'y en a pas de baseEnvoyé par polo974
Avec le tapis roulant, situation de la vidéo et des points sur les quels on discute, la vitesse du vent est nulle. Le tapis défile vers la gauche à la vitesse V.
Inutile de vouloir changer les règles.)
C'est pas pour ça que V=Vitesse du vent...
Dernière modification par ArchoZaure ; 19/08/2023 à 18h25.
D'ailleurs et pour enfoncer le clou un peu plus.
Vous pouvez aussi mettre un char avec une hélice propulsée par un moteur et une pile sur le tapis roulant.
La vitesse du char va se stabiliser à une certaine valeur V.
C'est pas pour ça qu'on doit en déduire A POSTERIORI que ça équivaut à se trouver avec un vent de vitesse V de dos.
Il vaudrait peut-être mieux mettre un autre smiley que le simple sourire. Un truc grossier et énorme, que les enfants qui lisent ça n'aillent pas mettre en doute leur propre et saine logique, qu'ils voient de façon absolument certaine que ce n'est qu'une grosse boutade, destinée à désarçonner toute tentative de faire passer du surunitaire par la paillasse. Non ? Ce truc, par exemple,Une idée si l'on fixe sur les roues arrières du char des ailettes à orientation variable (prise au vent maxi en haut et mini en bas) le vent va faire tourner en appuyant sur les pales en haut et en bas faible résistance des pales face au vent-> le truc avance mais plus vite que le vent ? Plaçons donc un tel mécanisme sur un tapis roulant pour voir, montrerait la plaisanterie.
Dernière modification par grosboul ; 19/08/2023 à 22h45.
Bjr à toi, Ce qui est sur , c'est que le primo posteur.....s'est envolé dans une bourrasque !!!!
N'a pas résisté longtemps !!passage en.....coup de vent !
Dernière activité
07/08/2023 15h10
Bonne journéée
MAIS OÙ AS-TU LU QUE DANS LES POINTS 3 ET 4 (DU POST DONNÉ EN RÉFÉRENCE) QUE JE DISAIS "V=Vitesse du vent...".
Vous avez décidé de bloquer.
Vous ne faites que troller.
Le point 3 n'est que la description de l'opération, sans la moindre conclusion.
Il ne peut qu'être accepté.
Le point 4 annonce 2 choses: le char est maintenu fixe par rapport à l'air ambiant et donne la direction du défilement du tapis (c'est juste une précision qui ne change rien à la chose.
Je ne vois pas en quoi il pourrait être refusé.
(De façon honnête, bien sûr)
Ensuite on pourra passer au point 5 qui n'est qu'une observation de l'expérience et au point 6.
Au fait, si vous posiez les équations, vous auriez depuis longtemps constaté que quand le véhicule circule à une vitesse intermédiaire de celle des 2 médias (air et sol, ici), il peut extraire de la puissance des 2 médias (pour la dissiper).
Lorsque le mobile est à la même vitesse que l'un des médias, il n'en extrait aucune puissance, même s'il y a une force qui s'exerce entre les 2 (because puissance = force * vitesse relative).
Lorsque le mobile voit sa vitesse relative à un des média changer de direction (dépassement de la vitesse du vent arrière), il doit alors lui fournir de la puissance, puissance qu'il reçoit de l'autre média vis-à-vis duquel il se déplace plus vite, donc pour la même puissance (augmentée des pertes), la force est moindre et le char peut accélérer jusqu'à ce que les pertes l'en empêche.
À f6bes, oui, le primo posteur est parti depuis longtemps et on est passé sur un sujet qui pourrait se traiter en physique.
Jusqu'ici tout va bien...
Bonjour.
Pour information, voici le site décrivant l'homologation du record de vitesse du Blackbird par la NALSA.
https://www.nalsa.org/DownWind.html
En bas de la page, on peut télécharger les rapports d'homologation.
Elle est pas mal celle là.
Vous, comme tant d'autres ,vous référez constamment aux vidéos qui montrent que "ça marche", c'est à dire que la maquette pourait circuler plus rapidement que la vitesse du vent, lorsque la maquette avance à contre-courant du tapis roulant.
Donc oui, vous prenez la vitesse du tapis roulant pour la vitesse du vent.
Je répète : LORSQUE LA MAQUETTE AVANCE SUR LE TAPIS ROULANT CA NE SIGNIFIE PAS QUE PLACÉE DANS LES MÊMES CONDITIONS (via le point 2 et c'est pas moi qui le répète à plus soif,) LA MAQUETTE IRAIT PLUS VITE QUE LE VENT qui le pousse par l'arrière.
Mais si vous souhaitez revenir sur cette affirmation, il est encore temps et je ne peux que vous y encourager.
Je sais, je sais...c'est l'impression que ça fait quand on n'est pas capable de comprendre quelque-chose que quelqu'un vous explique pour la nieme fois.Envoyé par polo974
Vous avez décidé de bloquer.
Vous ne faites que troller.
Explication incompréhensible me concernant.Au fait, si vous posiez les équations, vous auriez depuis longtemps constaté que quand le véhicule circule à une vitesse intermédiaire de celle des 2 médias (air et sol, ici), il peut extraire de la puissance des 2 médias (pour la dissiper).
Lorsque le mobile est à la même vitesse que l'un des médias, il n'en extrait aucune puissance, même s'il y a une force qui s'exerce entre les 2 (because puissance = force * vitesse relative).
Lorsque le mobile voit sa vitesse relative à un des média changer de direction (dépassement de la vitesse du vent arrière), il doit alors lui fournir de la puissance, puissance qu'il reçoit de l'autre média vis-à-vis duquel il se déplace plus vite, donc pour la même puissance (augmentée des pertes), la force est moindre et le char peut accélérer jusqu'à ce que les pertes l'en empêche.
La puissance ne m’impressionne pas.
Je pense en terme de force et d'énergie... l'énergie au moins c'est un truc qui se conserve et on peut dés lors vérifier qu'on n'en invente pas.
C'est peu convaincant.Bonjour.
Pour information, voici le site décrivant l'homologation du record de vitesse du Blackbird par la NALSA.
https://www.nalsa.org/DownWind.html
En bas de la page, on peut télécharger les rapports d'homologation.
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
J'ai fait quelques recherches :
https://forums.futura-sciences.com/t...vite-vent.html
https://forums.futura-sciences.com/t...nt-dwfttw.html
Deux fils qui cumulent quelque 650 messages sans conclusion.
Un article de PLS qui donne des explications un peu légères :
https://www.pourlascience.fr/sd/phys...-vent-6835.php
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.