"Pour les adjuvants chimiques des cultures, je pense que c'est un peu comme pour le DDT: on connaît sa nocivité pour l'homme, mais comparée à celle du paludisme, de la maladie du sommeil et d'autres fléaux, comme la fièvre du Transvaal que j'ai eu le déplaisir d'attraper, on continue à l'utiliser dans les pays qui en sont infectés: c'est un moindre mal".
La nocivité sur l'homme est non seulement avérée, mais j'ai l'occasion chaque jour de la constater sur la faune sauvage qui fait office pour l'occasion (et à ses dépends) d'un excellent "baromètre".
Certaines espèces réagissent plus vite que nous à ce genre d'agression, d'autre plus lentement...
Mais selon les constatations de terrain le résultat s'annonce prometteur !
Les affaires du sang contaminé et de la vache folle resteront en comparaison dans nos mémoires, du pipi de chat.
Bufo v
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