C'est plutôt à cause du mot "récurrence", c'est maintenant celui-là que je cherche à cerner.
Cela ne me posait pas de problème, je ne voyais pas ce que j'ai écrit comme démonstration, mais comme signification. Et plus précisément du mot "récurrence de complexité"., pour votre question précise, l'addition sur un ensemble M est un sous-ensemble de M3, soit ce sous ensemble a une certaine propriété (si (x, y, z) est dedans, (y, x, z) aussi) soit il ne l'a pas, dans cette formulation, il n'y a plus d'opération, ni même de définition de M, juste une propriété d'un certain ensemble : ce n'est en aucun cas une méthode de démonstration
Et là on en revient à "on sait". Ma question de fond (ici et dans plusieurs autre échanges dans le passé) est de cerner l'affirmation "ceci est un modèle".mais soit cet ensemble a la propriété en question soit il ne l'a pas (tiers exclu), donc la formule n'est pas indécidable, même si je n'ai pas fait pas pour la démonstration pour savoir si elle est vraie ou si elle est fausse.
J'ai lu diverses tentatives de vulgarisation, dont celle citée, et j'ai toujours échoué à comprendre ce qui fait que quelque chose est un modèle et quelque chose d'autre n'est pas un modèle.Ce sujet doit apparaître systématiquement dans les documents sur la théorie des modèles (en particulier dans l'article "Théorie des modèles" de wiki, paragraphe "La définition de la vérité des formules complexes").
-----