Je suis convaincu par l'ensemble de ton post et la réponse de Philou. C'est ce qui nous a fait poser du parquet massif sur la moitié de la maison. J'aurais sans hésiter continué comme ça pour le reste si je n'avais été détourné par ce (mauvais ?) raisonnement (sur lequel on a déjà échangé ) : le rayonnement d'un PdM n'est-il pas un autre cas où on peut envisager un revêtement de surface de sol en terre cuite, par exemple, en évitant la sensation de froid classique... Devant notre actuel PdM, le sol, encore en béton nu, est à 23/24° à 1 m du PdM et 19/20° à 4 m.
Certes il y a la très bonne sensation du bois lié à sa très faible effusivité. Mais un revêtement en matériau lourd a d'autres intérêts, comme celui de recevoir et pouvoir transmettre le rayonnement IR dans de bonnes conditions, donc de participer au réchauffement des masses, y compris de sol, de la maison.
Deux options possibles envisagées pour l'instant à partir d'un support en béton nu (ragréage auto-lissant en fait) sur terre plein, non isolé (une autre partie de la maison que le PdM actuel, avec un gros PdM brique auto-construit de plus de 4 t , en projet lui aussi) :Je suis convaincu de la très bonne sensation de la première, mais je me dis que la seconde, avec le contexte particulier du rayonnement, va se charger (cf mes relevés) et offrir ainsi une très bonne sensation aussi, avec un peu d'inertie. Et je trouve peu d'arguments quantifiés pour me faire pencher...
- un parquet bois massif de 27 mm, sur lambourdes, avec sous-couche de 8 cm de liège entre lambourdes.
- un revêtement en terre cuite de 20 mm, sur une une chape mi lourde / mi isolante avec billes d'argiles de 5 cm, le tout sur sous-couche de 6 cm de liège.
Ce qui est en train de me décider (en faveur du parquet massif) c'est que je n'ai guère besoin d'inertie supplémentaire, vu les dizaines de tonnes très protégées qui entourent l'espace en question.
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