Je voudrais montrer quelques relations au nombre Pi.
π = M/L avec (M) l'exitance et (L) la luminance.
Une source lumineuse orthotrope répartit uniformément dans toute la demi-sphère face à lui tout le flux lumineux qu'elle émet. La loi de Lambert en découle : la luminance est égale dans toutes les directions à l'exitance divisée par π.
π = C2/4.A avec (C) la circonférence d'un cercle et (A) son Aire.
π = 2/p avec (p) la probabilité pour qu’une allumette tombe entre deux lames dans l'expérience de Buffon.
π = 4.(1 - 1/3 +1/5 - 1/7 + 1/9 - 1/11 ...)
C'est une formule du mathématicien indien Madhava de Sangamagrama.
π = D/c avec (D) la distance que parcourt la terre autour du soleil et (c) la célérité de la lumière dans le vide.
L'ellipticité de la trajectoire de la terre autour de son étoile donne un écart de huit millième. C'est donc faux !
π = E+2/E- avec (E+2) la sagesse qui fait intervenir l'énergie du photon positif et (E-) le photon d'énergie négatif.
Cette équation traite de l'inconscience collective et du temps.
π = φ2 + mḥ avec (mḥ) la coudée royale égyptienne et (φ) le nombre d'or.
π = √6.√S avec (S) la somme des inverses des carrés.
π = rapport entre la longueur réelle d'un fleuve et sa longueur à vol d'oiseau. Cette loi fut postulée par Einstein et constatée par Hans-Hendrick Stolum, spécialiste des sciences de la Terre.
La formation de méandre tend à s'amplifier du fait du courant créé sur la rive externe. Elle est limitée dans la mesure où des méandres trop prononcés entraîneraient des courts-circuits. La rivière prendrait alors au plus court en évitant le méandre. L'équilibre se trouve pour un rapport moyen de p, surtout pour les rivières de plaines au relief doux.
Et pour les montagnes et la géographie ? Ce nombre parle t-il des réalités au sens du perceptible et de l'abstrait ? En reprenant la troisième équation, je trouve étrange que l'inverse de sa probabilité donne un angle droit ! (ou est-ce un abus de langage)
Et vous qu'en pensez-vous ?
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