Bonjour à tous
Considérons la suite géométrique S = 1 + 1/2 + 1/4 + 1/8 + ...
Autrement dit :
Ma question : sachant que
peut-on affirmer en toute rigueur l'égalité suivante ?
Merci pour vos réponses
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Bonjour à tous
Considérons la suite géométrique S = 1 + 1/2 + 1/4 + 1/8 + ...
Autrement dit :
Ma question : sachant que
peut-on affirmer en toute rigueur l'égalité suivante ?
Merci pour vos réponses
La grossièreté et l'invective sont les armes préférées d'une pensée impuissante.
Bonjour.
Ta question n'a pas de sens, écrite ainsi. , donc ne dépend pas de n. Pas de n non plus dans "S = 1 + 1/2 + 1/4 + 1/8 + ...". Ce qui fait que ne parle pas de S, c'est simplement .
Par contre, et tout débutant sur les séries le sait, si on pose
(somme partielle)
alors , ce qui est la définition de .
Mais on trouve ça dans tous les cours sur les séries, donc facilement sur Internet. On peut se demander pourquoi tu viens poser cette question mal foutue ! Et pourquoi dans le forum collège/lycée, ou on ne voit pas les séries ?
Dernière modification par gg0 ; 21/02/2022 à 09h22.
Au temps pour moi !Par contre, et tout débutant sur les séries le sait, si on pose
(somme partielle)
alors , ce qui est la définition de .
Mais on trouve ça dans tous les cours sur les séries, donc facilement sur Internet. On peut se demander pourquoi tu viens poser cette question mal foutue ! Et pourquoi dans le forum collège/lycée, ou on ne voit pas les séries ?
Cependant, un débutant te dira que
n'est pas égal à
La grossièreté et l'invective sont les armes préférées d'une pensée impuissante.
Effectivement, il manque les 2^ aux dénominateurs. Faute de frappe. Au temps pour moi !
C'est bien évidemment démontrable, ou plus exactement démontré, puisque c'est la définition du second membre qui est écrit au premier.
Encore une fois, renseigne-toi sur les notations avant de les écrire ...
Et évite de manipuler inutilement le mot "axiomatique" hors de propos. Il a un sens précis.
précisons que l'écriture sous entend que la limite existe.
Si la série n'a pas de limite, manipuler des expressions peut conduire à écrire beaucoup de bêtises, comme on en voit sur certaines vidéo youtube de soi-disant vulgarisation.
There are more things in heaven and earth, Horatio, Than are dreamt of in your philosophy.
On sait que :
Or, pour tout n entier naturel :
Donc
Par suite, pour 0 < q < 1 :
Pouvez-vous svp m'indiquer où est l'erreur, et comment on démontre que :
La grossièreté et l'invective sont les armes préférées d'une pensée impuissante.
C’est toute la notion de limite qu'il tr faut revoir. je vais prendre un cas bien connu, le "paradoxe" de Zénon. DOnc on tire une flèche vers une cible.
la flèche met un certain temps à parcourir la 1/2 de la distance à sa cible, puis aussi un certain temps pour la moitié restante, etc... Chacune de ces étapes vers la cible est numérotée de 1 à n
On construit une série dont chaque terme est la distance totale parcourue à chaque étape
Chaque terme est strictement inférieur à la distance totale à parcourir, n'est ce pas ?
et pourtant la flèche se plante dans la cible, ce qui signifie que la limite quand n->infini de la somme de la série est strictement égale à la distance à parcourir.
There are more things in heaven and earth, Horatio, Than are dreamt of in your philosophy.
Oui, on est bien obligé d'admettre que
Car sinon on peut démontrer avec Zénon que la flèche ne peut pas atteindre sa cible et qu'Achille ne peut pas rattraper sa tortue...
Mais comment démontrer formellement (c'est-à-dire sans passer par les paradoxes de Zénon) qu'à l'infini, si 0 < q < 1, alors
et non pas
La grossièreté et l'invective sont les armes préférées d'une pensée impuissante.
Tu vois pas pourquoi 0 joue une rôle en regardant cette courbe : https://www.wolframalpha.com/input?i=0.5%5Ex
?
Andretou, tu es venu suffisamment de fois sur ce forum pour avoir eu le temps de décider d'apprendre les bases des maths. Tu ne l'as pas fait, mais tu continues à poser des questions de pré-adolescent. Apprends un peu les maths de fin de lycée et début d'université (*) et arrête de venir poser idiotement des questions dont tu pourrais avoir la réponse tout seul.
Et ça t'évitera d'écrire des âneries comme
où tu utilises encore des notions que tu ne comprends pas.Par suite, pour 0 < q < 1 :
Quant à la question "Mais comment démontrer formellement ...", je vais te répondre, mais d'abord le "sans passer par les paradoxes de Zénon" est encore une ânerie, ces paradoxes ne démontrent rien, ce n'est même pas des maths.
* démonstration 1 : La série de terme général qn converge (somme partielle croissante majorée), donc qn tend vers 0
* démonstration 2 :
* ...
(*) avec tout ce qu'il y a sur Internet, ne pas le faire quand on en a besoin, c'est de la fainéantise crasse.
Dernière modification par gg0 ; 22/02/2022 à 18h03.
non, justement grosse erreur. il faut écrire
et non pas qui est faux manifestement
Je le répète, il te faut revoir ce que signifie une limite, mathématiquement. Avec des mots, et en simplifiant, on peut dire qu'un valeur f(n) tends vers zéro si n tends vers l'infini, quand, quelque soit la petitesse de l'écart avec zéro que l'on considère, on peut toujours trouver un entier N, au delà duquel toutes les valeurs suivantes de f(n) sont plus proches de zéro que le petit écart que l'on a choisi.
C'est si cette condition est remplie que l'on a le droit d'écrire
ce qui n'empêche nullement que pour toute valeur de n
Dernière modification par jacknicklaus ; 22/02/2022 à 18h11.
There are more things in heaven and earth, Horatio, Than are dreamt of in your philosophy.
Voir, pas revoir, car
c'est la caractéristique de cet individu : ne jamais faire d'effort qu'il ne peut faire supporter aux autres.
Il suffit de lui demander de mettre la main à la pâte pour qu'il change le sujet du fil brusquement. Déjà expérimenté plusieurs fois.
Not only is it not right, it's not even wrong!
non, justement grosse erreur. il faut écrire
et non pas qui est faux manifestement
Je le répète, il te faut revoir ce que signifie une limite, mathématiquement. Avec des mots, et en simplifiant, on peut dire qu'un valeur f(n) tends vers zéro si n tends vers l'infini, quand, quelque soit la petitesse de l'écart avec zéro que l'on considère, on peut toujours trouver un entier N, au delà duquel toutes les valeurs suivantes de f(n) sont plus proches de zéro que le petit écart que l'on a choisi.
C'est si cette condition est remplie que l'on a le droit d'écrire
ce qui n'empêche nullement que pour toute valeur de n
Je suis d'accord.
Mais si l'on part de :
alors par quelle procédure tu obtiens, pour 0 < q < 1 :
Pour ma part, j'élimine purement et simplement q^(n+1) en considérant que lim q^(n+1) = 0.
Autrement dit, j'attribue à q^(n+1) la valeur 0 qui est sa limite, tout en sachant que q^(n+1) n'est jamais égal à 0, ce qui ne me paraît pas très cohérent.
Aurais-tu éventuellement une procédure plus rigoureuse ?
La grossièreté et l'invective sont les armes préférées d'une pensée impuissante.
Fin de la blague.
Not only is it not right, it's not even wrong!