Ah, ça, certainement pas ! Cette interprétation est manifestement abusive. Tu utilises l'expression "2 boucles successives" et je me tue depuis le début à démontrer qu'il ne peut y avoir de calcul dans la 2ème boucle si la première ne se termine pas.
Ce sont 2 boucles imbriquées ou calculables en parallèle si cela est possible, mais certainement pas successives.
A+,
Argyre
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, le temps nécessaire au calcul de deux boucles successives est le même que pour le calcul d'une seule boucle
, on peut aussi ajouter les nombres dont le développement dans une base ou une autre est récursivement définissable, par exemple 0.01001000100001... etc (quelque soit la base). Cet ajout est, pour moi, fondamental car ce n'est plus (contrairement aux autres exemples que tu as donnés) une propriété intrinsèque du nombre qui le rend calculable, mais une propriété d'une de ses représentations ; sauf que si le développement dans une base est récursif, alors il l'est dans toutes les bases (puisque le passage de l'une à l'autre est récursif)), et pof la propriété redevient intrinsèque. Je sais bien que je viens d'écrire une chose et son contraire, mais c'est parce que cela continue de me troubler : cette propriété est intimement liée à la représentation du nombre (c'est assez normal puisque la calculabilité s'exprime au travers de la représentation), mais finalement elle est indépendante de la représentation choisie (parmi les numérations de position, mais en existe-t-il d'autres qui ne soit pas récursivement définissable à partir de celles-ci ?).
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). Je me demande s'il ne faut pas avoir nécéssairement AcB (inclus) pour obtenir cette propriété de densité ?