Bonjour,
depuis plusieurs jours je bloque sur ça et j'ai pas réussi à comprendre malgré mes nombreuses lectures, j'y arrive pas...
Je ne comprends pas la différence entre ces 2 phrases :
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Bonjour,
depuis plusieurs jours je bloque sur ça et j'ai pas réussi à comprendre malgré mes nombreuses lectures, j'y arrive pas...
Je ne comprends pas la différence entre ces 2 phrases :
La première phrase dit que si les fonctions f et g donnent la même image à tous les points de E, alors elles sont égales. La deuxième dit que quel que soit le point x de E, si f et g en donnent la même image alors c'est que f et g sont égales. Cette phrase est manifestement fausse (sauf si E n'a qu'un élément).
Du coup dans la deuxième phrase, le x est fixé avant de "passer" dans l'implication ?
Dans la deuxième proposition, il y a une implication (différente) pour chaque valeur de x.
Que signifie une parenthèse ? Qu'il faut prendre comme un tout ce qu'il y a dedans.
Remarque que pour que ces propositions soient complètes, il manque les quantificateurs sur f et g. Il faut comprendre qu'elles sont précédées de "pour toutes fonctions f et g définies sur E" ou quelque-chose comme ça.
Ici, comme l'appartenance à l'ensemble vide est toujours fausse, tu peux parenthéser avant le "pour tout x" (et à la fin), ou ne pas parenthéser.
Cordialement.
Bonjour,
En fait cette écriture n'est pas parfaite (usage de formes abrégées), ce qui empêche de mettre les parenthèses correctement (la proposition de gg0 est "la moins mauvaise", et cela n'a aucun rapport direct avec l'ensemble vide)
La forme qui suit les règles de construction des formules serait :
Dernière modification par Médiat ; 23/07/2018 à 16h09.
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Comment vous obtenez ça ?Bonjour,
En fait cette écriture n'est pas parfaite (usage de formes abrégées), ce qui empêche de mettre les parenthèses correctement (la proposition de gg0 est "la moins mauvaise", et cela n'a aucun rapport direct avec l'ensemble vide)
La forme qui suit les règles de construction des formules serait :
Pas mieux. C'est la même chose que non parenthésé, mais ça devient incorrect, car le "pour tout M" ne sert à rien et la partie après "implique" comporte deux lettres non définies.
Je vois mais ça signifie quoi exactement la parenthèse ?
C'est pas expliqué dans mon livre.
Les parenthèses limitent la portée des quantificateurs.
Par principe, une partie entre parenthèse est une seule chose, et on ne s'occupe pas de ce qu'il y a dedans avec les écritures qui sont autour :
2+(2-1)=2+1 (ce serait le même résultat s'il y avait eu 5-4 dans la parenthèse)
2-(3-2) = 2-1
2*(5-4)=2*1
2*(x+1) peut être transformé en un autre calcul, mais on ajoute le 1 à x avant de multiplier la parenthèse par 2
3/(x+1) ne peut être transformé (utilement)
Tout ça est du classique, non ?
Par exemple dans
la propriété du départ (qui est entre parenthèse) dit que pour tout réel M et tout objet x, x est dans l'ensemble vide. Ce qui est peu crédible. Et après le implique, il y a deux lettres qui n'ont aucune raison d'avoir un rapport avec les x et M précédents, puisqu'ils étaient cachés dans la parenthèse !! Donc on ne sait pas de quoi il s'agit.
C'est tordu, mais la première formule est vérifiée par , pas la deuxième :
PS : Il y en a marre du bug de copier-coller sur ce site !
Dernière modification par Médiat ; 23/07/2018 à 17h05.
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Heu ... Médiat,
je ne comprends pas. je ne comprends pas le parenthésage de la première formule (sur quoi porte le quel que soit x ?) et je ne vois pas pourquoi la deuxième serait fausse pour x entier naturel.
Cordialement.
Je comprends mieuxPar exemple dans
la propriété du départ (qui est entre parenthèse) dit que pour tout réel M et tout objet x, x est dans l'ensemble vide. Ce qui est peu crédible. Et après le implique, il y a deux lettres qui n'ont aucune raison d'avoir un rapport avec les x et M précédents, puisqu'ils étaient cachés dans la parenthèse !! Donc on ne sait pas de quoi il s'agit.
C'est seulement si x est dans l'ensemble vide qu'on teste l'implication.
Pas compris l'exemple de Mediat
C'est parce que je me suis trompé, je voulais écrire :
C'est tordu, mais la première formule est vérifiée par , pas la deuxième :
Quant au parenthésage de la première formule, il signifie que le quantificateur porte sur la parenthèse qui le suit (règle absolue et générale), le x qui est en dehors de cette parenthèse est donc une autre variable, j'aurais pu écrire :
Cette formule étant équivalente à la première
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Heu ... tu as réécrit la même chose.
Pas tout à fait (> au lieu de <)
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Ah OK !
J'ai lu trop vite (mais ce changement est difficile à voir).
Cordialement.
J'ai toujours rien comprisC'est parce que je me suis trompé, je voulais écrire :
C'est tordu, mais la première formule est vérifiée par , pas la deuxième :
Quant au parenthésage de la première formule, il signifie que le quantificateur porte sur la parenthèse qui le suit (règle absolue et générale), le x qui est en dehors de cette parenthèse est donc une autre variable, j'aurais pu écrire :
Cette formule étant équivalente à la première
Je ne fais qu'appliquer les règles de construction des formules : le ou les quantificateurs s'applique(nt) à la formule dans la parenthèse suivante
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse