Théorie des cordes et Physique Quantique - Page 3
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Théorie des cordes et Physique Quantique



  1. #61
    invite76db3c86

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique


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    je ne critique pas la théorie des cordes (bien que je la trouve un peu tirée par les cheuveux) puisqu'une bonne théorie physique est avant tout une belle esthètique mathématique (mais aussi une part d'essai d'approche de la réalité physique que l'on ne pourra jamais décrire parfaitement -eh oui la nature est bien faite-) , mais je préfère la théorie quantique , c'est mon choix , je cherche à savoir si l'on peut encore travailler en "quantique" ou en "quantas" ou en "relativiste " ou en "classique" , ou faut-il se plier à une théorie et ne pas être libre de choix?

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  2. #62
    invite76db3c86

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    Citation Envoyé par mtheory Voir le message
    Bonjour,

    La théorie des cordes est quantique !
    'est vrai mais je trouve qu'elle la caricature un peu en la salissant par l'impatience des physicien d'aujourdhui


  3. #63
    invite76db3c86

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    je vais cité une description vulgarisée de cette théorie : "La théorie des cordes est l'une des voies envisagées pour régler une des questions majeures de la physique théorique : fournir une description de la gravité quantique c'est-à-dire l'unification de la mécanique quantique (inévitable pour décrire la physique aux petites échelles) et de la théorie de la relativité générale (nécessaire pour décrire la gravitation de manière relativiste). La principale particularité de la théorie des cordes est que son ambition ne s'arrête pas à cette réconciliation, mais qu'elle prétend réussir à unifier les quatre interactions élémentaires connues, on parle de théorie du tout, tout en reposant sur deux hypothèses assez révolutionnaires :

    "

    oui c'est vrai , mais cela ne dit pas qu'elle n'éxagère pas légèrement , avec toute ces dimensions , qui sont avant tout , normalement , des outils pour décrire l'occupation d'un corps dans l'espace ... et a-t-on encore le droit de travailler avec les anciennes théories?

  4. #64
    inviteca4b3353

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    'est vrai mais je trouve qu'elle la caricature un peu en la salissant par l'impatience des physicien d'aujourdhui
    Il me parait bon de clarifier une chose importante.
    La physique quantique (terme assez vague que je n'aime pas beaucoup) est avant toute chose une mécanique. C'est à dire que c'est une théorie qui régit à la fois la cinématique et la dynamique de n'importe quel système physique. La corde est un exemple de système comme un autre.

    La théorie des cordes se veut etre donc simplement une description d'une corde dont le comportement est régi par la mécanique quantique (et également relativiste).

    Il y n'a donc aucune tentative de remplacer la mécanique quantique (et encore moins de la modifier) dans la théorie des cordes. C'est juste une description quantique et relativiste d'une banale corde de longueur L. Maintenant il se trouve que pour L judicieusement choisi, cette corde peut servir d'élément fondamental d'un modèle qui semble décrire toutes les interactions de la nature.

  5. #65
    inviteca4b3353

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    et a-t-on encore le droit de travailler avec les anciennes théories?
    si la précision dont tu disposes expérimentalement ou que tu t'accordes à décrire théoriquement est plus faible que la "taille" des effets caractéristiques de la théorie des cordes, alors non seulement tu as le droit, mais tu le dois (car utiliser une théorie plus aboutie dans ce cas est completement inutile).

  6. #66
    invite76db3c86

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    (rien qu'un petit truc qui me tracsse dans la théorie des cordes : pour qu'une corde vibre , il faut bien une masse et une texture (sinon comment la corde vibre ?) , et non pas le contraire , accépté cette théorie pour moi reviendrai à revenir à tout remettre en question , et certains phénomènes serait alors interdit : par exemple : une guitare dont les cordes ne vibrent pas (je fait de la guitare mais on s'en fout) n'aurait pas de masse , du moins remarqueble )

  7. #67
    invite76db3c86

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    Citation Envoyé par Karibou Blanc Voir le message
    si la précision dont tu disposes expérimentalement ou que tu t'accordes à décrire théoriquement est plus faible que la "taille" des effets caractéristiques de la théorie des cordes, alors non seulement tu as le droit, mais tu le dois (car utiliser une théorie plus aboutie dans ce cas est completement inutile).
    plus aboutie pour moi ca voudrait dure moins réaliste...

  8. #68
    inviteca4b3353

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    pour qu'une corde vibre , il faut bien une masse et une texture
    Deux choses. Pour qu'une corde vibre, il faut simplement une tension (qui est relié à la masse pour une corde usuelle). Ensuite le mot corde est à propre comme désignant un objet unidimensionnel de taille finie (ce n'est pas une "véritable" corde en fil tressé. Cet objet n'a pas de masse en soi, il a simplement une tension qui est la quantité unique nécessaire à la caractérisation d'une corde vibrante.

    Les cordes de guitares ou à sauter ne sont en aucun cas des cordes de la théorie des cordes.

  9. #69
    invite76db3c86

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    c'est pour cela que je dis que ca s'éloigne de la réalité : la masse a disparu .
    la masse est simplement une oscillation , ... moi je ne m'opose pas à cette théorie mais je ne l'accepte pas , je la trouve trop esthétique , en dirait que l'on veut s'éloigner de tout le travail que l'on a fournit auparavant...
    donc , si j'ai bien compris , on ne peut plus faire du travail en utilisant la mécanique quantique ou des théories antèrieures ?

  10. #70
    inviteca4b3353

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    c'est pour cela que je dis que ca s'éloigne de la réalité : la masse a disparu .
    Encore une fois, non. Tu dis cela parce que pour toi une corde est un gros paquet de ficelles tressées qu'on peut tenir dans sa main.
    Alors qu'ici il s'agit juste d'un objet unidimensionnel, une généralisation du point matériel de Newton si tu veux.
    moi je ne m'opose pas à cette théorie mais je ne l'accepte pas , je la trouve trop esthétique , en dirait que l'on veut s'éloigner de tout le travail que l'on a fournit auparavant...
    Ne connaissant pas ton parcours, je me demande quels peuvent bien etre tes criteres d'esthétisme. Mais une chose est sure, il a longtemps suffit de considérer les particules comme ponctuelles en physique pour comprendre les mesures qu'on réalisait. Aujourd'hui, on semble avoir atteint les limites prédictives de cette hypothèse. Une extension naturelle peut etre de simplement dire que les particules ne sont pas des points (dimension nulle) mais des cordes (dimension 1). C'est dans le prolongement le plus total de ce qu'on a fait auparavant. Sauf qu'une fois cette hypothèse faite, on rencontre dans la pratique beaucoup de difficultés à faire des calculs.
    donc , si j'ai bien compris , on ne peut plus faire du travail en utilisant la mécanique quantique ou des théories antèrieures ?
    non, tu m'as mal compris. Si je veux comprendre la trajectoire de la terre autour du soleil (meme avec une précision importante), je n'ai pas besoin d'utiliser la mécanique quantique ou la relativité générale. Je peux tres bien utiliser la loi de Newton, dont je sais qu'il est en toute rigueur fausse aujourd'hui, mais l'erreur commise en l'utilisant néanmoins est beaucoup plus faible que la précision que je souhaite atteindre ta ma compréhension de cette trajectoire. La loi de Newton constitue ainsi une approximation tres satisfaisante. C'est pourquoi meme si on met au point une théorie plus aboutie un jour que la précédente, cette dernière sera toujours utile (car en général plus simple à manipuler) pourvu qu'on se limite à une précision pas trop grande.

  11. #71
    invite64c4b5da

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    Citation Envoyé par physiquantique Voir le message
    pour qu'une corde vibre , il faut bien une masse et une texture (sinon comment la corde vibre ?)
    Bonjour Physiquantique,

    ta remarque me fait penser aux histoires d'ether ou un certain nombre de physiciens du 19ieme siecle ne pensaient pas qu'une onde electromagnetique puisse de propager dans le vide, il fallait que cette onde se propage dans un milieu, l'ether.

  12. #72
    invite76db3c86

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    Citation Envoyé par Barmecides Voir le message
    Bonjour Physiquantique,

    ta remarque me fait penser aux histoires d'ether ou un certain nombre de physiciens du 19ieme siecle ne pensaient pas qu'une onde electromagnetique puisse de propager dans le vide, il fallait que cette onde se propage dans un milieu, l'ether.
    ce qui veut dire ???

  13. #73
    invite76db3c86

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    oh... soit pas faché pour l'autre forum ... j'rigolais lol

  14. #74
    invite76db3c86

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    nn , mais finalement je vais étudier plus en profondeur cette théorie , en fait je pense qu'elle est très bien pour epliquer des phénomènes particuliers de la gravitation , mais qu'il faut tout de même rester prudent et ne pas se fier qu'à cette théorie , c'est pour cela que je demande si on peut encore faire des formules et des théories à partir de la théorie quantique

  15. #75
    inviteca4b3353

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    c'est pour cela que je demande si on peut encore faire des formules et des théories à partir de la théorie quantique
    On te l'a déjà dit plusieurs fois, la théorie des cordes est un exemple (parmi tant d'autres) de théorie physique (avec formules et tutti quanti) construite à partir de la mécanique quantique.

  16. #76
    invite76db3c86

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    Citation Envoyé par Karibou Blanc Voir le message
    On te l'a déjà dit plusieurs fois, la théorie des cordes est un exemple (parmi tant d'autres) de théorie physique (avec formules et tutti quanti) construite à partir de la mécanique quantique.
    ok mais ... désolé , ca répond pas à ma question... je sais qu'elle est construite à partir de la mécanique quantique (même si elle pas tout à fait dans la même direction) , mais peut-on utiliser UNIQUEMENT la mécanique quantique ou il faut "se mettre à jour"

  17. #77
    inviteca4b3353

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    je sais qu'elle est construite à partir de la mécanique quantique
    si tu savais tu ne dirais pas cela :
    (même si elle pas tout à fait dans la même direction)
    mais peut-on utiliser UNIQUEMENT la mécanique quantique ou il faut "se mettre à jour"
    Tu sais ce qu'est une "mécanique" ? Une mécanique est un formalisme qui explique comment les objets évoluent dans le temps en présence (et absence) de forces extérieures.

    La mécanique quantique (ou classique d'ailleurs) ne sert à rien si elle n'est pas appliquée à des objets représentant ceux qu'on observe autour de nous.
    Les cordes sont des objets (au meme titre que les particules ponctuelles) dont la "mécanique" qui les régie est quantique. C'est la meme mécanique quantique que celle qu'on trouve dans tous les livres sur le sujet. Elle n'est pas dans une direction différente comme tu le dis.

  18. #78
    invite76db3c86

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    Citation Envoyé par Karibou Blanc Voir le message
    si tu savais tu ne dirais pas cela :



    Tu sais ce qu'est une "mécanique" ? Une mécanique est un formalisme qui explique comment les objets évoluent dans le temps en présence (et absence) de forces extérieures.

    La mécanique quantique (ou classique d'ailleurs) ne sert à rien si elle n'est pas appliquée à des objets représentant ceux qu'on observe autour de nous.
    Les cordes sont des objets (au meme titre que les particules ponctuelles) dont la "mécanique" qui les régie est quantique. C'est la meme mécanique quantique que celle qu'on trouve dans tous les livres sur le sujet. Elle n'est pas dans une direction différente comme tu le dis.
    et... la théorie quantique (j'ai du faire une confusion)

  19. #79
    inviteca4b3353

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    et... la théorie quantique (j'ai du faire une confusion)
    très probablement.

  20. #80
    invite76db3c86

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    Citation Envoyé par Karibou Blanc Voir le message
    très probablement.
    en fait je crois avoir compris : la mécanique quantique regrouoe un ensemble de théorie quantiques qui respectent ses limites et ses lois , dont la théorie quantique des champs(QED,QCD,...) , la théorie quantique , et la théorie des cordes , ce qui me semble étonant, c'est que l'on dis que la théorie des cordes est sensée regroupée la mécanique quantique et relativiste ... et de même pour la théorie des cordes...
    justement , une question dans la théorie des cordes :

    les "flux" sur les cordes et les différentes membranes sont -elles des dimensions ? comment son décrite les forces sur une corde?

  21. #81
    inviteca4b3353

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    es "flux" sur les cordes et les différentes membranes sont -elles des dimensions ?
    tu sais ce qu'est un flux ? Par exemple quand tu ouvres le robinet de la cuisine. Il y a de l'eau qui coule, le champ de vitesse de l'eau a un flux non nul à travers la section du robinet.

    en theorie des cordes, il y a aussi des champs (des degrés de vibration des cordes dans ce cas) qui peuvent avoir des flux non-nuls. Mais je pense qu'il est délicat aux vues de ce que j'ai pu lire dans tes messages, de s'aventurer la-dedans pour le moment.
    comment son décrite les forces sur une corde?
    Comme en théorie des champs (ou en mécanique élémentaire meme), avec un lagrangien

  22. #82
    invite76db3c86

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    Citation Envoyé par Karibou Blanc Voir le message
    tu sais ce qu'est un flux ? Par exemple quand tu ouvres le robinet de la cuisine. Il y a de l'eau qui coule, le champ de vitesse de l'eau a un flux non nul à travers la section du robinet.

    en theorie des cordes, il y a aussi des champs (des degrés de vibration des cordes dans ce cas) qui peuvent avoir des flux non-nuls. Mais je pense qu'il est délicat aux vues de ce que j'ai pu lire dans tes messages, de s'aventurer la-dedans pour le moment.


    Comme en théorie des champs (ou en mécanique élémentaire meme), avec un lagrangien
    pour les forces je parlais comment sont-elles représentées sur une corde , sur un schéma dans l'espace-temps , pour le flux , tu m'a mis les idées au clair , et puis j'ai trouvé un document...
    Merci

  23. #83
    invite96b439c7

    Re : La ramification du temps

    Bonjour à tous, je préfère le dire de suite, je suis à des années lumières d'être un crack en physique, je n'ai suivi aucune formation dans cette discipline, mais néanmoins le sujet m'intéresse grandement, et j'aime particulièrement me triturer les neurones sur des sujets aussi abstraits que le temps ou la nature de la gravitation. J'ai pété un délire sur un petit essai, et j'aimerais que vous me donniez votre avis là dessus, afin de l'étoffer avec vos propres idées -ou vos critiques-. Je rappel que je ne connais strictement rien en physique, si ce n'est la vulgarisation qu'on en fait dans les médias, je sollicite donc toute votre indulgence.

    La ramification du temps


    Il existe une seule et unique ligne de temps. Ce dogme largement répandu et encore utilisé au sein de la physique moderne n’est pratiquement pas remis en question. Bien sûr, de nouvelles découvertes (la relativité générale d’Einstein) ont démontré que l’idée d’un temps absolu et identique dans tous l’univers est désormais dépassé : le temps est souple, extensible, il n’existe aucun référentiel temporel. Néanmoins, le principe de départ reste inchangé, à savoir que le temps se déroule selon un chemin indivisible. Et pourtant… Pourtant, des raisonnements somme toute très simplistes peuvent venir perturber cette idéologie, voire à la déséquilibrer dangereusement : ces incohérences ont été nommées paradoxes temporels. Elles sont d’autant plus dérangeantes que les connaissances récentes en matière de cosmologie laissent à penser de plus en plus sérieusement qu’il est possible de voyager dans le temps (l’hypothèse des trous de ver par exemple, ces tunnels reliant 2 trous noirs, représenteraient un raccourci dans l’espace temps permettant de parcourir le passé).
    Un paradoxe très classique est celui de l’homme voyageant dans le passé et tuant accidentellement son ancêtre. C’est ce qui arrive au héros de Barjavel dans son roman « Le voyageur imprudent ». Dopé par l’expérience, ce dernier tente d’assassiner Napoléon Bonaparte et en vient à tirer par erreur sur son ascendant direct. Saint-Menoux (c’est son nom) disparaît donc, puisqu’il se retrouve dans l’impossibilité de naître. Mais comme il n’est pas né, il ne peut dès lors plus abattre son ancêtre. Donc il n’est pas mort. Donc il est vivant. Donc il est mort, etc… Barjavel « résout » ce problème en prétendant que Saint-Menoux se retrouve dans un état stationnaire, à la fois « mort et vivant », à la manière de la coexistence d’événements opposés en physique quantique. Fort bien. Mais dans ce cas, il est loin d’être le seul dans son cas ! Tous ses ancêtres ayant vécu après sa victime subissent le même sort. Dans un souci de rigueur, on peut pousser le raisonnement encore plus loin : toutes les circonstances créées par les divers agissements du héros et de ses défunts aïeuls se retrouvent elles-mêmes dans un état bivalent, et avec elles les actions de toutes les personnes ayant trais à ces événements. Avouons qu’à un tel niveau, la pastille semble difficile à avaler. D’autant plus qu’il n’est nul besoin de commettre un tel acte pour provoquer un paradoxe : une naissance par exemple est tributaire de tant de détails, de touches conjoncturels, allié à l’incommensurable hasard de la fécondation (des milliards de spermatozoïdes) qu’on est en droit de penser que nos descendants, après avoir mis au point une machine à voyager dans le temps, auraient inconsciemment déclenché un nombre incalculable de paradoxes.

    Tant de tracasseries, alors qu’il est si simple d’imaginer une ligne de temps non plus directe mais ramifiée. Car en utilisant ce principe, Saint-Menoux peut mener une existence concrète même après le meurtre de son ancêtre : il ne fera que bifurquer de sa ligne de temps originelle, et repartira dans un « présent » où toute sa famille aura été « effacée » de la réalité, et où l’influence de sa propre personne aura disparu.
    Naturellement, cette proposition implique une multitude, si ce n’est une infinité de mondes parallèles, difficilement envisageables donc, mais cette hypothèse parait-elle réellement plus absurde que la conclusion précédente ?






    Un autre argument peut venir étayer cette théorie : le choix. Le choix représente l’incroyable pouvoir de l’homme à agir sur la ligne de temps. Les partisans de la destinée sont à mon goût des personnes incapable d’appréhender cette formidable puissance, ou qui la craignent. Il est en effet bien plus simple de prétendre être enchaîné à son carma plutôt que de reconnaître avoir raté sa vie. Cette puissance, nous la ressentons vivement pourtant, au moment de réaliser un choix, on la nomme aussi « liberté », terme à l’incommensurable abstraction et servi à toutes les sauces. Pourquoi un choix ne pourrait-il pas se séparer en 2 séquences d’événements distinctes ? Et cette sensation de « déjà vu » qui nous anime quelquefois devant une situation pourtant nouvelle, ne serait-elle pas dû à la fusion de 2 chemins temporels trop semblables pour se distinguer?
    Bien entendu, il est aisé aux sceptiques de contrecarrer cette hypothèse en prétendant qu’un choix est la résultante d’un enchaînement fini de relations de causes à effets : une suite d’idées logiques, l’influence du milieu extérieur, l’avis d’autrui… En d’autres termes, un voyage restreint dans le passé un instant avant l’orientation de ce choix ne remettrait pas en question sa direction, du moins pas sans l’ajout d’un événement perturbateur. Cette apparente liberté ne serait donc en fin de compte que le jouet d’une illusion. D’ailleurs, peu de gens mettent en doute l’universalité du concept de causalité… Si ce n’est les physiciens : les découvertes dans le domaine quantique jettent en effet aux oubliettes ce dogme ancestral.
    Prenons l’exemple de l’uranium. L’uranium est un composé radioactif car instable. Son noyau atomique, très riche en neutrons et protons, est mal équilibré et sujet à la fission. Statistiquement donc, dans une période de temps donné, chaque atome possède une certaine probabilité d’être désintégré. Mais, et c’est bien là la différence fondamentale lorsqu’on s’aventure dans le monde quantique, il n’existe strictement aucune manière de savoir quel atome se désintègrera à tel moment. Cette notion est difficilement appréhendable, car comprenons bien que cette désintégration n’est pas soumise à une quelconque relation de causalité, comme par exemple la plus grande fragilité d’un atome par rapport à un autre. Non, il s’agit d’un événement purement aléatoire, dépendant à 100% du plus immaculé des hasards, sans aucune influence extérieure. Le cœur de la matière est le seul, d’ailleurs, à jouir d’une « liberté » absolue car imperturbable, presque divine. En ce sens, la répétition supposée d’un événement quantique en un point précis du temps (en retournant dans le passé afin de réassister à ce même événement) n’aboutirait donc pas forcément au même résultat, autrement dit, avant l’accomplissement de cet événement, les 2 états sont strictement superposés ; ce qui signifie… que la ligne du temps est ramifiée au niveau de ces 2 événements contraires (stabilité et désintégration du noyau).

    Reprenons le concept d’un point de vue plus matérialiste ou scientifique : si ces sentiers contingents du temps existent bel et bien, il doit certainement se trouver un moyen de circuler de l’un à l’autre, et il est très probable que cet exploit nécessite une grande quantité d’énergie.
    Nous savons, depuis Einstein, que l’énergie peut être convertie en masse et inversement, selon la célèbre formule E = mc2. Néanmoins, il ne s’agit pas d’un ridicule changement d’état : la masse n’est pas seulement de l’énergie, elle en renferme une quantité phénoménale, extraordinaire ; nos pauvres bombes H, qui n’en extrapolent qu’une infime partie, peuvent en comparaison être associées à du pipi de chat.
    Mais si la masse possède la capacité de percer les parois de notre dimension, cette propriété doit forcément pouvoir se manifester d’une manière quelconque.






    Revenons sur les principes de la physique quantique : comme on l’a précédemment imagé, elle stipule qu’une particule coexiste dans 2 états complètements opposés, son « spin » par exemple (son sens de rotation en quelques sortes) accepte 2 directions opposées, et ce au même instant. Pareillement, dans le cas d’un électron gravitant autour de son noyau, il est strictement impossible de connaître à la fois sa position exacte et sa vitesse, car il occupe toutes les positions en même temps avant l’observation : on parle de nuage électronique. L’observation est très importante en physique quantique, car c’est elle qui va obliger la particule à se choisir un état.
    Si nous admettons que la masse est en mesure de former des « ponts » entre les différentes lignes de temps, cela signifie que les particules ont la capacité de migrer entre ces dimensions. Du point de vue atomique, 2 événements contraires peuvent donc facilement coexister puisqu’ils apparaissent simultanément à l’intérieur de ces 2 routes temporelles. A notre niveau cependant, la particule ne prendra qu’une seule et unique conformation, car nous sommes cloisonnés dans notre ligne de temps.

    On est alors en droit de se demander pourquoi l’homme, également constitué d’atomes, ne pourrait pas lui aussi voyager d’une dimension à l’autre. C’est oublier que la matière est essentiellement constituée de vide. Pour se donner une idée de cette proportion, il faut assimiler le noyau atomique à une bille que l’on placerait au centre d’un terrain de football, les limites du stade correspondant à l’écartement de la première couche électronique. C’est un peu comme si on essayait de passer au travers d’un mur percé d’une multitude de têtes d’épingles. C’est évidemment impossible ; sauf si… sauf si la matière est suffisamment concentrée : les têtes d’épingles se rassemblent alors pour former un trou béat.
    Einstein a encore une fois démontré qu’une forte masse dans l’univers avait pour propriété de déformer l’espace temps (notre soleil par exemple). En simplifiant, le plus court chemin reliant 2 points situés dans cet espace n’est désormais plus une droite mais une courbe. Cela implique l’apparition de dimensions nouvelles en plus des 3 composant notre univers dit « classique ». Et si leur présence résultait de la liaison entre notre ligne chronologique et d’autres branches temporelles divergentes ? La concentration de masse aurait en quelques sortes permit le mélange des différents monde parallèles, ce qui expliquerait la multiplicité des dimensions. Mais dans ce cas, elles ne seraient pas les seules à fusionner : chaque ligne temporelle originellement distinctes l’une de l’autre feraient de même (le temps est en effet considéré comme une quatrième dimension). Localement donc, le temps apparaîtrait comme « étiré », c’est-à-dire… ralenti. Et c’est effectivement une des principales doctrines non seulement dictée par la relativité générale mais surtout démontrée par l’expérience: la masse ainsi que la vitesse excessive d’un corps freinent l’écoulement du temps.

    Pourquoi la vitesse ? Pour mettre un corps en mouvement, il nous faut de l’énergie. Pour l’accélérer, il faut plus d’énergie. Mais à force d’accumuler cette énergie, nous obtenons… de la masse. L’objet devient plus lourd, et en conséquence l’énergie qu’il faut lui administrer pour le presser davantage devient plus importante. Et plus nous entassons l’énergie, plus nous créons de la masse, plus il devient difficile d’augmenter la vitesse du projectile. Nous pouvons continuer ainsi jusqu’à faire tendre cette masse vers une valeur infinie, et l’énergie nécessaire pour le faire avancer flirtant elle aussi avec cet infini. D’un point de vue mathématique, cela se traduit par une asymptote, qui correspond… à la vitesse de la lumière ! Seule cette dernière est capable d’atteindre l’asymptote, car le photon, sa particule élémentaire, possède une masse nulle. Une infime quantité d’énergie suffit donc à le porter à cette vitesse prodigieuse.

    Qu’avons-nous « démontré » précédemment ? Que le ralentissement du temps était proportionnel à la quantité de masse présente dans un certain volume. La vitesse, ou plus exactement l’accélération, créant de la masse, elle conduit elle aussi à un ralentissement temporel. Et plus nous nous approchons de la vitesse de la lumière, plus cette extension devient conséquente, jusqu’à stopper purement et simplement le temps lorsque nous atteignons l’asymptote (la masse est « infinie », les passerelles entre les mondes parallèles deviennent innombrables, les lignes de temps s’ajoutent).

    Reprenons attentivement la lecture de cet essai, et nous en tirons la conclusion suivante : les effets de la gravitation et de la dualité événementielle en physique quantique ont une même origine, à savoir la liaison entre des lignes ramifiées du temps normalement distinctes… Nous venons tout simplement de rallier la physique quantique avec la relativité générale d’Einstein.

  24. #84
    invite69d38f86

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    Bonjour,

    Quelle est ta question?

  25. #85
    inviteca4b3353

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    Salut,

    je suis à des années lumières d'être un crack en physique, je n'ai suivi aucune formation dans cette discipline, mais néanmoins le sujet m'intéresse grandement,
    Statistiquement, après avoir lu cette phrase, la grande majorité des gens ne lira pas ton "pavé" Ou alors seulement les gens qui s'ennuient, ce qui t'aménera des avis de qualité plutot médiocre.

    Donc, peux tu résumer ton idée ou ta ligne de pensée directrice en une ou deux phrases (et pas de Proust) ? (d'expérience, si tu as vraiment compris ce que tu as en tête, un tel résumé sera facile à produire)

  26. #86
    invite96b439c7

    Re : relativité générale et Physique Quantique

    bah en fait, c'est une théorie débile pour relier la relativité générale et la physique quantique (j'pensais que c'était pas trop HS avec la théorie des cordes, en partant du fait que la ligne du temps n'est pas continue mais ramifiée. L'idée est que l'énergie contenue dans la matière permet de relier les différentes lignes de temps, c'est ce qui "expliquerait" la dualité événementielle en physique quantique (2 états superposés) car les particules naviguent entre plusieurs lignes de temps. D'autre part, quand la matière est assez concentrée (étoiles, trous noirs...) les dimensions des différents "mondes parallèles" se mélangeraient, y compris leurs lignes de temps, ce qui créerait localement une courbure de l'espace ainsi qu'un ralentissement temporel (pour recouper avec la relativité d'Einstein quoi). Voili en gros, dsl pour le pavé, j'ai bien conscience quya le 3/4 qui sert à que dalle, mais j'ai le défaut de pas savoir synthétiser

  27. #87
    Deedee81

    Re : relativité générale et Physique Quantique

    Bonjour,

    Citation Envoyé par Remscaiof Voir le message
    bah en fait, c'est une théorie débile pour relier la relativité générale et la physique quantique (j'pensais que c'était pas trop HS avec la théorie des cordes
    C'est effectivement non HS.

    Citation Envoyé par Remscaiof Voir le message
    [...] j'ai bien conscience quya le 3/4 qui sert à que dalle, mais j'ai le défaut de pas savoir synthétiser
    Le principal problème de ton texte n'est pas la synthèse ou l'absence de synthèse. C'est simplement que ce n'est pas de la physique mais de la prose. On peut en avoir des milliers d'idées de toutes sortes (et il y en a certainement beaucoup plus, chacun a ses idées) et on peut toutes les formuler en prose de manière intéressante. Mais on ne sait strictement rien en faire. Pas plus qu'on arrivera à faire du clonage en lisant le script de The Island

    Malheureusement, la physique ce n'est pas ça (ce serait trop simple). Je suis d'ailleurs conscient que la vulgarisation à ce travers. Elle donne l'impression (à travers des magazines ou des livres par ailleurs parfois très bien écrits) que la science n'est qu'un beau discours sur les phénomènes physiques. Et non, ça c'est juste la traduction pour le grand physique. La physique c'est deux choses : des données expérimentales (des chiffres) et des théories. Et les théories c'est, avant toute chose, des maths et des règles reliant les quantités mathématiques aux données expérimentales. La physique c'est la paillasse... et des maths. Et rien d'autre.

    Dans un domaine aussi exotique que la gravité quantique il va de soit que, pour le moment, ce lien expérimental se fait à travers la relativité générale et le Modèle Standard de la physique des particules. Mais dès que certaines prévisions seront accessibles expérimentalement (on est juste à la limite) on va pouvoir avancer (ou jeter au bac tout ce qu'on a imaginé )

    Notons aussi, en passant, qu'un mariage "parfait" de la relativité générale et de la physique quantique existe. C'est la gravité quantique à boucles. Elle est assez différente de la TDC car ce n'est pas une "théorie de tout". Elle prend les postulats de la RG et de la physique quantique, tels quels, et vogue la galère.

    Donc, espérer trouver un moyen d'unifier la RG et la physique quantique, en ce début de vingt-et-unième siècle, ce serait comme dire "je crois que j'ai trouvé une idée géniale qui permettrait de faire avancer une machine en utilisant de l'essence" Pas de chance, un siècle de retard J'exagère un peu mais je souligne juste deux choses avec ça : il faut connaitre ce qui se fait (il y a plusieurs théories candidates, signalons aussi les géométries non commutatives, les triangulations causales, les twisteurs, etc...) et il faut essayer de résoudre des problèmes existant réellement. Réinventer la roue de sert à rien. Une bonne moitié du temps d'un théoricien consiste à lire les articles (techniques, genre ceux du site ArXiv que je te conseille si tu maitrises le sujet), des thèses, etc...

    Enfin, impossible d'oser même rêver poser une idée sensée, même vague, sur l'unification de la RG et de la physique quantique sans les connaître sur le bout des doigts ! Donc, avant même de lire ton article (ou de faire delete) : que connais tu de la RG de la physique quantique ? Est-ce que tu connais la géométrie différentielle ? Les tenseurs ? Les espaces de Hilbert ? Les groupes, leurs algèbres, leurs représentations,... ? Etc... Si oui. Tu pourras allors poser un socle, même léger, donnant un début d'embryon d'esquisse de sens à tes idées. Et après ça avancera "tout seul" (en poussant un peu )
    "Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)

  28. #88
    invite96b439c7

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    En fait, je n'ai jamais eu la prétention d'écrire une théorie reposant sur des bases fiables, puisque je reconnais dès le début ne posséder aucune notion aprofondie dans le domaine de la physique quantique ou de la relativité générale (j'attendais qu'on m'énonce les principes physiques allant à l'encontre de mes idées en vérité). Mon objectif était simplement de montrer qu'en changeant un paramètre fondateur (à savoir, une ligne de temps ramifiée plutôt que continue) on peut aboutir à des conclusions différentes des dogmes communément établis et sur lesquels on se base pour faire avancer la recherche. Bien qu'expert mathématicien dans l'âme, Einstein a toujours construit ses théories en partant d'exercices de pensées (peut-on voir son reflet dans un miroir à califourchon sur un rayon de lumière? etc...) Les calculs ne sont venus que compléter ses représentations mentales (sa logique imperturbable l'a même empêché d'admettre l'expansion de l'univers et les principes de la physique quantique, pourtant vérifiés par les maths). Je suis sceptique par essence, et je ne pense pas que la nature se résume à quelques vulgaires équations. Tu m'as l'air d'être relativement bien calé en physique Deedee, mais peux tu me prouver par a+b que la ligne du temps est bel et bien continue?
    Le problème actuel de la science est que son édifice repose sur des bases instables (big bang entre autres), et lorsque le gratte ciel menace de s'écrouler, au lieu de repenser entièrement les fondations, on invente des théories toujours plus tarabiscotées pour le faire tenir (boson de higgs, théorie des cordes...) C'est du moins mon impression.

    Autrement, je me rappelle effectivement avoir entendu parler de cette fameuse théorie de la "gravité quantique à boucle", et ça m'intéresserais que tu m'en énonces les principes si ça te pèse pas trop, merci d'avance!

  29. #89
    invite9c9b9968

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    Bonjour,

    Juste quelques remarques.

    Citation Envoyé par Remscaiof Voir le message
    Mon objectif était simplement de montrer qu'en changeant un paramètre fondateur (à savoir, une ligne de temps ramifiée plutôt que continue) on peut aboutir à des conclusions différentes des dogmes communément établis et sur lesquels on se base pour faire avancer la recherche.
    Il n'y a pas de "dogme" en science, il y a des observations et des théories/modèles. Le truc embêtant avec ton bidule c'est que tu ne définis pas rigoureusement ce que tu appelles "ligne de temps ramifiée".

    Bien qu'expert mathématicien dans l'âme, Einstein a toujours construit ses théories en partant d'exercices de pensées (peut-on voir son reflet dans un miroir à califourchon sur un rayon de lumière? etc...)
    Hum attention au mythe et aux légendes urbaines. Eistein était surtout attaché à l'expérience, et il n'était pas un béotien en maths, ni en physique.

    Les calculs ne sont venus que compléter ses représentations mentales (sa logique imperturbable l'a même empêché d'admettre l'expansion de l'univers et les principes de la physique quantique, pourtant vérifiés par les maths).
    Pas vraiment. Ce n'était pas une question de logique ou autre en ce qui concerne l'expansion (il ne l'a pas niée du tout lorsque on en a eu la preuve expérimentale je te signale !) quant à la mécanique quantique il n'était pas opposé à ses principes (il a fait partie des fondateurs..) mais à une certaine classe d'interprétation.

    Je suis sceptique par essence, et je ne pense pas que la nature se résume à quelques vulgaires équations.
    Mais pourtant les mathématiques sont un bon langage pour la physique... Ton assertion n'est pas très scientifique

    Le problème actuel de la science est que son édifice repose sur des bases instables (big bang entre autres), et lorsque le gratte ciel menace de s'écrouler, au lieu de repenser entièrement les fondations, on invente des théories toujours plus tarabiscotées pour le faire tenir (boson de higgs, théorie des cordes...) C'est du moins mon impression.
    Le problème c'est que tu ne sais pas de quoi tu parles, toi-même tu l'admets. Alors comment peux-tu émettre un tel jugement sans même connaître la relativité ou la mécanique quantique ?

    La théorie du BigBang repose sur des observations multiples ; le Modèle Standard de même, quant à la théorie des cordes elle n'a pas encore le statut de théorie expérimentée donc tu ne peux pas la mettre dans le même sac que le Modèle Standard ou la théorie du BigBang.

    Je ne peux que te suggérer d'apprendre déjà ce qui est assez bien établi, à savoir les principes de la relativité générale et les principes de la mécanique quantique, avant de t'attaquer aux théories exotiques.

  30. #90
    GrisBleu

    Re : Théorie des cordes et Physique Quantique

    Citation Envoyé par Remscaiof Voir le message
    C'est du moins mon impression.
    Salut avant de juger qque chose qui a permis la creation du PC avec lequel tu ecris, la creation de ton environement de vie (electricite par exemple), je t invite a te pencher plus precisement sur la science

    Si tu es vraiment sceptique, mefies toi des raisonements non fondes (comme ce que tu nous explique). Etudie par toi meme les theories au lieu de critiquer en te basant sur la vulgarisation... Comme disait Feynman, la QED, pour incroyable qu elle soit (au sens fort) explique quasi toute nos experiences humaines (chimie, electricite, couleurs, semi conducteurs, etc.) ! alors regarde un peu.

    Comme deja dit dans un autre fil, ca fait 4 siecles qu on est passe a une modelisation mathematique, et ca fait 4 siecles que les scineces progressent a toute vitesse. De non explicable, il reste ne reste que des phenomenes mettant en jeux des echelles proprement inimaginables. Si ca ne t inspire pas un peu de respect, c est que tu ne concois pas l exploit.

    ++

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