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L'observateur Relatif



  1. #31
    invite5e5dd00d

    Re : L'observateur Relatif


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    Définition d'observation :
    "L’observation est l’action de suivi attentif des phénomènes, sans volonté de les modifier, à l’aide de moyens d’enquête et d’étude appropriés."
    Le flux d'information, dans ce cadre et un moyen d'enquête.

    A contrario, un observateur est celui qui demande et reçoit ce flux d'information dans le but de l'intérpréter afin d'en dégager, dans le cas de la physique, des hypothèses, des modèles, des lois, etc.
    De fait, ces trois dernières choses ne sont utiles que par leur compréhension par l'être humain et ne servent par essence à personne ni à rien à part à l'être humain. Un observateur est donc nécessairement (pour moi) un être humain qui se situe en bout de chaine d'information. D'ailleurs c'est je crois l'opinion de beaucoup de physiciens (ce n'est plus vraiment une opinion pour moi, d'ailleurs...).

    Dans tous les cas, un flux d'information (lumière mais aussi onde sonore, signal électrique, signaux de fumée) n'est qu'un porteur d'information, un moyen permettant l'observation. Mais n'est pas un observateur.

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  2. #32
    Galuel

    Re : L'observateur Relatif

    Citation Envoyé par Sigmar Voir le message
    Dans tous les cas, un flux d'information (lumière mais aussi onde sonore, signal électrique, signaux de fumée) n'est qu'un porteur d'information, un moyen permettant l'observation. Mais n'est pas un observateur.
    Je m'inscris en contre tendance par rapport à ça. En effet un flux d'information peut contenir à la fois les données de l'information, mais aussi le codage et les données d'un système expert à même d'interpréter les informations d'observation et pouvant en tirer une interprétation.

    Ce même système expert codé dans le flux d'information peut s'enrichir au cours du temps.

    De fait il n'y a aucune différence physique expérimentalement vérifiable entre un tel observateur et un être humain. Et donc il faut le considérer comme un observateur tout à fait valable. C'est le point important.

  3. #33
    invite5e5dd00d

    Re : L'observateur Relatif

    Ce système expert, j'y avais pensé. Et effectivement, il peut-être qualifié d'observateur (en mesure de prendre des décisions, d'intérpréter, etc.). Je ne pensais pas qu'on tomberait d'accord sur le reste, mais si déja vous acceptez tout ce que j'ai dit sauf cette partie, nous avons avancé !

    Finalement, rien ne nous différencirait d'une machine si elle était aussi forte que nous, vous avez raison.

    Par contre, cela ne répond toujours pas au problème qui est la construction d'un système expert ayant à la vitesse de la lumière, c'est à dire sans masse, qui était votre idée de départ.

  4. #34
    Galuel

    Re : L'observateur Relatif

    Citation Envoyé par Sigmar Voir le message
    Ce système expert, j'y avais pensé. Et effectivement, il peut-être qualifié d'observateur (en mesure de prendre des décisions, d'intérpréter, etc.). Je ne pensais pas qu'on tomberait d'accord sur le reste, mais si déja vous acceptez tout ce que j'ai dit sauf cette partie, nous avons avancé !

    Finalement, rien ne nous différencirait d'une machine si elle était aussi forte que nous, vous avez raison.

    Par contre, cela ne répond toujours pas au problème qui est la construction d'un système expert ayant à la vitesse de la lumière, c'est à dire sans masse, qui était votre idée de départ.
    Un système expert EST un observateur sans masse. Un système expert c'est du code, des données, ce n'est pas le support sur lequel il se place.

    Ce système peut aller d'un point "A" à un point "B" à C, ça ne pose pas de problème. Pour évoluer en première analyse on peut se dire qu'il lui faut un environnement matériel pour mettre en oeuvre ses algorythmes. Sauf que ce temps algorythmique peut être aisément zappé, parce qu'il suffit de duppliquer le SE, pendant SE1 va de A à B, SE2 fait ses observations, et arrivé en "B" SE1 repart tout simplement avec l'information récupérée en B. Ainsi de proche en proche SE1 va à "C" et s'enrichit d'informations de plus en plus riches.

    Il peut aussi suppliquer son sac d'informations sur place en "C", continuer son voyage, et repasser en "C" récupérer l'information traitée par sa propre copie SE3.

  5. #35
    invite5e5dd00d

    Re : L'observateur Relatif

    Euh, le support physique de cet observateur c'est quoi ?
    Parce qu'un observateur fait de "vide"... aheeeeeem !
    L'environnement d'analyse donc d'observation est nécessaire matériel...
    L'échange de l'information peut eventuellement aller à C, mais pas l'environnement physique d'analyse.
    Tes SE ne sont juste que des flux d'informations, qui peuvent éventuellement alimenter un système d'analyse avec des informations liées au mode de fonctionnement d'analyse...
    Mais le flux en lui même ne peut pas être un observateur...
    Je sais pas si tu vois la nuance.

    De toute façon les lois physiques issues de la RG que toutes les expériences ont confirmées sont simples : aucune info ne va plus vite que C. Aucun corps ayant une masse au repos ne va à C. Cela implique : aucun observateur ne va à C.
    Ton système expert, dans le genre ordinateur, aurait besoin d'un processeur, donc d'électrons, donc n'allant pas à C.
    Ta lumière, si tu la considérerais comme un système expert, irait à C : non seulement on ne pourrait accéder à son information/ses résultats qu'en allant à V inférieure à C, mais a priori un signal lumineux ne calcule rien, mais transporte seulement une information...

    Bref, ton truc marche pas, et tu te bornes à croire qu'un observateur peut aller à C. Ce qui est faux.

    La prochaine fois, si tu ne fais pas preuve d'un peu de raison et de bonne foi, j'arrête la discussion.

  6. #36
    Galuel

    Re : L'observateur Relatif

    Citation Envoyé par Sigmar Voir le message
    Bref, ton truc marche pas, et tu te bornes à croire qu'un observateur peut aller à C. Ce qui est faux.
    La question n'est pas philosophie. J'ai un flux d'information. Si on suit la procédure à la fin on a un flux d'information enrichi qui est allé à C, avec comme tu le précises un échange d'informations à C.

    Donc l'équivalent d'un observateur, on ne peut pas distinguer ce flux d'information d'un observateur.

    Ou alors faut me montrer une expérience précise où mes SE bien paramétrés n'auraient pas le même résultat expérimental qu'un observateur que tu peux définir.

  7. #37
    invite5e5dd00d

    Re : L'observateur Relatif

    Citation Envoyé par Galuel Voir le message
    La question n'est pas philosophie. J'ai un flux d'information. Si on suit la procédure à la fin on a un flux d'information enrichi qui est allé à C, avec comme tu le précises un échange d'informations à C.
    Ok pour ça.

    Citation Envoyé par Galuel Voir le message
    Donc l'équivalent d'un observateur, on ne peut pas distinguer ce flux d'information d'un observateur.
    Si, sans un observateur (humain ou machine) dont la principale définition est la capacité à interpréter ce résultat (à en faire quelque chose, à élaborer des théories, ce que tu veux), ce flux ne sert à rien car il n'est pas exploitable (à la limite on peut même considérer qu'il n'existe pas, ça c'est pour les positivistes). Où tu as vu une machine qui transporte l'information (ce peut être un signal lumineux) à c interpréter aussi cette information et faire autre chose que la transporter de manière générale ?
    L'information qu'un signal lumineux contient ne peut être exploitée que par un observateur, c'est à dire un système matériel et massique donc à une vitesse forcément différente de c. Si l'observateur va à c : alors l'information ne l'atteint jamais (le rayon lumineux ne le rattrape pas) et de plus, le temps ne s'écoule pas dans son référentiel et donc il peut toujours attendre pour recevoir des trucs...

    Citation Envoyé par Galuel Voir le message
    Ou alors faut me montrer une expérience précise où mes SE bien paramétrés n'auraient pas le même résultat expérimental qu'un observateur que tu peux définir.
    J'ai pas compris.

    Quoi qu'il en soit : transfert d'information et observation sont deux expressions différentes, qui ont leurs raisons d'être, parce que ce sont des concepts différents. Je te conseille de revoir ta définition de ces deux expressions avant de poursuivre.

  8. #38
    invite5e5dd00d

    Re : L'observateur Relatif

    Citation Envoyé par Sigmar Voir le message
    Où tu as vu une machine qui transporte l'information (ce peut être un signal lumineux) à c interpréter aussi cette information et faire autre chose que la transporter de manière générale ?
    Pas une machine, un phénomène physique se propageant à c. Désolé.

  9. #39
    invitea774bcd7

    Re : L'observateur Relatif

    Bah alors les amis ? On vous a jamais enseigné de ne pas nourrir les trolls ?
    Parce que 3 pages là-dessus…

  10. #40
    invite5e5dd00d

    Re : L'observateur Relatif

    Citation Envoyé par guerom00 Voir le message
    Bah alors les amis ? On vous a jamais enseigné de ne pas nourrir les trolls ?
    Parce que 3 pages là-dessus…
    J'en ai marre.
    J'ai vraiment l'impression de me répéter sans arrêt, et il n'y a rien à faire pour qu'il daigne essayer de comprendre...

  11. #41
    invite5e5dd00d

    Re : L'observateur Relatif

    Tiens d'ailleurs ce post devrait suffire pour le faire réfléchir un peu :
    http://forums.futura-sciences.com/post266880-4.html

  12. #42
    invitea774bcd7

    Re : L'observateur Relatif

    Citation Envoyé par Sigmar Voir le message
    Tiens d'ailleurs ce post devrait suffire pour le faire réfléchir un peu :
    http://forums.futura-sciences.com/post266880-4.html
    Tu plaisantes… Il en faut plus que ça à notre ami Galuel

  13. #43
    Galuel

    Re : L'observateur Relatif

    Citation Envoyé par Sigmar Voir le message
    Tiens d'ailleurs ce post devrait suffire pour le faire réfléchir un peu :
    http://forums.futura-sciences.com/post266880-4.html
    Il y a une erreur conceptuelle fondamentale dans tout cela. Ce post suppose un observateur ayant une masse. Or le fait même qu'il y ait des phénomènes physiques sans masse (flux lumineux) impose de se poser la question d'un observateur luminique.

    Précisons d'abord que dans ce post je parle d'un observateur lumunique, ou quasi lumunique, allant aussi près de C que l'on veut SANS besoin d'énergie infinie ce qui est important. On peut voir la remarque comme étant celle des suites convergentes en mathématiques.

    Donc pour continuer, on va tout simplement faire une expérience la plus simple possible, parce que sinon on y arrivera jamais.

    Soit un objet d'expérience, de trois couleurs différentes possibles Jaune, Rouge, Bleue. L'expérience consiste à faire une observation et de savoir de quelle couleur est l'objet.

    J' ai un flux lumineux laser "A" Jaune - Rouge - Bleu, qui passe à proximité des objets, et qui, couplé à un autre laser "B" forme disons un hologramme 3D, qui, fonction de l'interférence subie , construit le mot hologrammique "Jaune - Rouge - Bleue".

    J'appelle observateur L'hologramme ainsi construit.

    Quand je mets un objet Jaune - Rouge - Bleue, dans mon expérience, l'observateur ainsi défini, me précise "Jaune - Rouge - Bleu", et je calcule le temps et qu'il a mis pour récupérer l'information de l'objet expérience, et me donner le résultat.

    Je fais le rapport entre la distance de l'objet d'expérience à l'hologramme et le temps de réponse. J'obtiens la vitesse C.

    Comment est-il possible de faire la différence entre cet observateur lumunique et un observateur lamda ? C'est impossible.

  14. #44
    invité576543
    Invité

    Re : L'observateur Relatif

    Bonjour,

    Citation Envoyé par Galuel Voir le message
    Il y a une erreur conceptuelle fondamentale dans tout cela. Ce post suppose un observateur ayant une masse. Or le fait même qu'il y ait des phénomènes physiques sans masse (flux lumineux) impose de se poser la question d'un observateur luminique.
    Plein de choses dans ton approche me gêne, mais il m'est difficile d'exprimer précisément le malaise.

    Mais là, tu vas trop loin. Qu'il y ait une incohérence conceptuelle, c'est certain, mais c'est toi qui affirmes que c'est une erreur d'un côté et pas de l'autre. L'erreur conceptuelle peut très bien être au contraire dans la notion d'observateur de masse nulle.

    Un minimum d'humilité devrait amener à éviter un jugement aussi lourd que "erreur conceptuelle fondamentale" comme tu l'as laissé passé dans ton texte.

    (Tu marques des points Baez avec de telles expressions...)

    Cordialement,

  15. #45
    Galuel

    Re : L'observateur Relatif

    Citation Envoyé par Michel (mmy) Voir le message
    Plein de choses dans ton approche me gêne, mais il m'est difficile d'exprimer précisément le malaise.
    Je vais tenter de répondre à ce malaise (parce que les points Baez ne me semblent répondre au sujet en aucun cas , on est pas sur un forum de psycho, je ne pense pas que l'humilité ou l'égo aient leurs place dans une expérience).

    En fait le problème vient déjà du fait qu'on imagine forcément un observateur comme un objet classique, local, et d'énergie constante, un boîte massive, en quelque sorte. Mais en fait rien que le constat du flux d'information que doit subir un observateur pour noter son observation impose qu'un observateur n'a pas du tout ces propriétés. Il change au moins post observation du quanta d'énergie nécessaire à l'inscription de la donnée enregistrée.

    Ensuite on voit bien dans l'expérience des 3 couleurs de l'objet qu'on ne peut pas faire la différence entre l'observateur luminique "hologramme" et l'observateur classique.

    Enfin, un observateur n'est pas obligatoirement local. Comme je l'ai abordé plus haut, on peut le concevoir, comme prenant ses observations de point en point en se dédoublant, puis en se recombinant.

    Je m'explique : Imaginons une expérience se déroulant dans un tore. Au long de ce tore on place des objets Oi, qui sont des miroirs colorés.

    L'expérience consiste à partir d'un point A perpendiculaire au tore, perpendiculaire, passant par le centre (imaginons le tore horizontal, et le point A sous le tore), à noter les couleurs des objets, et à restituer le résultat en B au dessus du tore, perpendiculaire au centre.

    Les objets miroirs Oi ne sont "libérés" qu'au bout du temps t = OiA/C, puis "refermés" aussitôt parce qu'on veut s'assurer que seul un observateur allant à C puisse voir la couleur de l'objet.

    Partant de A, part un flux constitué par autant de signaux laser multicolores que d'objet "Oi", chacun dirigés vers chaque objet, puis ce flux est redirigé vers B par réflexion sur chaque miroir Oi.

    Subissant des interférences différentes, chaque flux possède le résultat de l'observation qu'il a faite.

    En "B" nous avons un "observateur" qui nous apporte une observation spatialement localisée, sur chaque objet du tore, spatialement séparés. Et nous sommes obligés de conclure que nous avons un observateur non local, capable d'aller à C vers chaque objet de A à Oi, et capable de se recombiner pour faire une synthèse en B.

    Pour conclure, on peut aussi approcher "C" d'aussi près que l'on veut sans besoin d'énergie infinie. En effet il suffit au flux d'information allant à "C", parant de "X" de se reposer un certain temps t0 dans un PC en "Y", puis de repartir éventuellement enrichi d'information supplémentaire vers "Z"

    La vitesse finale de cet observateur est V = XZ/(XY/C + t0 + YZ/C), En ligne droite, cela se résume à V = C/(1 + Ct0/XZ).

    La vitesse de mon observateur "flux lumineux", est donc aussi proche de C que je veux, sans besoin d'énergie infinie, la ,proximité à C ne dépendant que du rapport entre la distance totale parcourue et le temps de traitement local réalisé en "B".

  16. #46
    invite5e5dd00d

    Re : L'observateur Relatif

    Bon dernière tentative d'explication.

    Je n'ai même pas cherché à comprendre ton expérience qui n'est que la nième démonstration de ton manque de considération pour les arguments - simples - des autres.

    Déja mets toi bien une chose dans la tête : c, pour un objet massique, est une limite asymptotique JAMAIS ATTEIGNABLE. Ok ? S'en approcher autant qu'on veut c'est possible. Mais il existe une différence FONDAMENTALE entre 0,999999c et c. Cette différence s'appelle la constance dans tous les référentiels.
    La lumière n'a pas que la caractérisitique d'aller très vite. D'ailleurs, c'est plus ou moins anécdotique...

    Ensuite, tu te permets des affirmations péremptoire dans le genre : "
    On voit bien dans l'expérience des 3 couleurs de l'objet qu'on ne peut pas faire la différence entre l'observateur luminique "hologramme" et l'observateur classique."
    Personnellemment je peux encore une fois voir la différence. Apparemment, c'est au dessus de tes capacités.

    Pourquoi, pour une fois, tu n'écoutrais pas ce qu'on te raconte ? Je ne sais pas quel niveau tu as en physique, mais il est parfois utile de remettre en question ses préjugés ou ses aquis. Et là, ayant toute la communauté scientifique de mon côté, je suis assez confiant pour pouvoir dire que tu ferais bien de REVOIR TES DEFINITIONS (en physique) D'OBSERVATEUR et DE TRANSPORT D'INFORMATION.

    Merci d'avance.

  17. #47
    Galuel

    Re : L'observateur Relatif

    Citation Envoyé par Sigmar Voir le message
    il est parfois utile de remettre en question ses préjugés ou ses aquis. Et là, ayant toute la communauté scientifique de mon côté, je suis assez confiant...
    Je cite sans commentaire c'est inutile.

    Si tu veux me convaincre que mon observateur luminique n'en est pas un, il faut que tu me montres clairement ce que ton observateur ferait de plus dans l'expérience que ne ferait pas le mien. C'est le seul critère, tout le reste, "communauté scientifique" inclu n'a aucune valeur en ce qui concerne les faits.

    Par ailleurs peut-être suis-je allé un peu vite, puisqu'on bloque dès cette étape, mais le sujet du post concerne aussi et surtout le problème de la contraction des distances induite par la vitesse de l'observateur, qui transforme la nature des objets d'expérience.

    Donc même si le problème de l'observateur à C n'est pas compris, j'ai posé une technique qui permet d'aller "aussi près de C que l'on veut" afin que la contraction des distances soit suffisante pour transformer radicalement la nature de de l'objet ou de l'observation expérimentale des objets.

    Quant au fait qu'un objet massif ne puisse atteindre "C", j'ai expliqué qu'un observateur pouvait se délester régulièrement de sa masse, pour à la limite, comme pour l'émission d'un photon par un atome, devenir lui même essentiellement, avec toute son information flux lumineux.

    Enfin, un flux lumineux laser qui part de "X" et qui arrive en "Z" avec des interférences subies, n'a rien d'un simple "transport d'information", puisqu'on reçoit bien en "Z" une communication de ce flux - de cet observateur, qui nous indique clairement ce qu'il a observé en "Y".

  18. #48
    invite5e5dd00d

    Re : L'observateur Relatif

    Citation Envoyé par Galuel Voir le message
    Je cite sans commentaire c'est inutile.

    Si tu veux me convaincre que mon observateur luminique n'en est pas un, il faut que tu me montres clairement ce que ton observateur ferait de plus dans l'expérience que ne ferait pas le mien. C'est le seul critère, tout le reste, "communauté scientifique" inclu n'a aucune valeur en ce qui concerne les faits.
    Non, non la question n'est pas de savoir ce que ferait un observateur lumique car cela n'a pas de sens en physique. Pour te donner un exemple, c'est comme si tu disais en maths : qu'est-ce qu'il se passerait en maths si racine carrée de 2 était un entier. Ou : qu'est-ce qu'il se passerait si 2 était égal à 3 ?

    La seule réponse à apporter, c'est comment tu peux imaginer un observateur lumique. Le soucis, c'est que pour toi n'importe quoi est un observateur : une rayon lumineux, une cacahuète, un ordinateur. Or, cela est faux, parce que tous ces objets n'ont pas le même comportement physique, les mêmes capacités... Je l'ai expliqué dix fois :
    1) incapacité pour un objet massique d'aller à c ;
    2) incapacité pour un objet de mesurer des temps en allant à c ;
    3) incapacité pour un objet de mesurer des longueurs en allant à c ;
    4) incapacité pour un objet de recevoir des informations en allant à c, ou de mesurer quoique ce soit ;
    5) incapacité pour un rayon lumineux de léguer son information sans rencontre un objet n'allant pas à c ;
    6) temps ne s'écoulant pas dans un référentiel allant à c.
    Je pense que je pourrais encore trouver des points pour pointer tes absurdités... mais ça servirait pas à grand chose, puisque pour toi tout ça, c'est pas vrai/important...

    Je suis désolé si tout les physiciens s'accordent à dire qu'un observateur allant à c cela n'a pas de sens (voir les raisons ci-dessus)... C'est un état de fait.

    Je ne suis pas là pour remettre en doute cela. Déjà, je n'ai pas les connaissances ni la légitimité pour, et ensuite je trouve ton idée d'observateur lumique aussi absurde que 2+2=5 (dans l'espace usuel des entiers naturels munis de l'opération + usuelle, tu serais capable que 2+2=5 c'est possible parfois).

    Bref, tout ça pour dire que celui qui doit remettre ses idées en ordre, ce n'est sûrement pas moi (surtout que d'après ce que j'ai compris, j'ai étudié la relativité restreinte 10 fois plus que toi, et pourtant je l'ai pas étudié tant que ça).

    Ca te plait, ça te plait pas, je m'en fous un peu en fait. Par contre, ça risque de te poser des problèmes de crédibilité quand tu parles à certains physiciens. Le pire dans tout ça, c'est que tu ne veux même pas faire l'effort de revoir tes définitions ! Je l'ai fait pour ce fil, cela n'a rien d'humiliant.

    Tes expériences de pensées sont basées sur une simple confusion. J'ai passé 15 posts à t'expliquer ce qui allait pas avec l'observateur lumique (en plus de l'incapacité de faire aller un observateur à c), ses contradictions, avec des exemples (non écoulement du temps, aucun gain d'information, règles et horloges, contraction des longueurs, etc), mais rien n'y fait.

    Qu'est-ce que tu veux que je te dise ? De rester dans ton ignorance ? Ben vas-y, je t'en prie.

  19. #49
    invitea774bcd7

    Re : L'observateur Relatif

    Citation Envoyé par Galuel Voir le message
    j'ai expliqué qu'un observateur pouvait se délester régulièrement de sa masse, pour à la limite, comme pour l'émission d'un photon par un atome, devenir lui même essentiellement, avec toute son information flux lumineux.
    Lol
    J'imagine un mec qui, au fur et à mesure, perd un bras, une jambe, etc…

  20. #50
    Galuel

    Re : L'observateur Relatif

    Citation Envoyé par Sigmar Voir le message
    1) incapacité pour un objet massique d'aller à c ;
    2) incapacité pour un objet de mesurer des temps en allant à c ;
    3) incapacité pour un objet de mesurer des longueurs en allant à c ;
    4) incapacité pour un objet de recevoir des informations en allant à c, ou de mesurer quoique ce soit ;
    5) incapacité pour un rayon lumineux de léguer son information sans rencontre un objet n'allant pas à c ;
    6) temps ne s'écoulant pas dans un référentiel allant à c.
    1) Un observateur luminique étant sans masse va à C. Le raisonnement qui consiste à dire qu'un observateur a une masse par définition, donc ne peut pas aller à C, et donc un observateur ne peut pas aller à C, comprend la réponse dans la définition elle meme, mais rien nulle part ne dit qu'un observateur doit avoir une masse, ce n'est pas la caractéristique fondamentale d'un observateur.

    Ce point n'invalide en rien l'étude d'un observateur luminique.

    2) Le temps n'est que la mesure numérique, sans dimension, d'un phénomène répétitif extérieur à l'observateur lui même. C'est un objet d'observation de référence. Il s'agit donc d'avoir un objet émettant un signal répétitif, qui envoie un signal lumineux à l'observateur luminique, qui subit une modification incrémentale dûe à l'interférence pour qu'il porte en lui un temps.

    3) Si on porte un temps, connaissant sa vitesse, on a aussi une mesure de longueur, c'est d'ailleurs ainsi que se mesurent les longueurs pour nous, une fois définie une horloge, c'est le rapport C/H, qui définit l'unité de longeur.

    4) L'expérience des couleurs démontre clairement et sans aucune ambiguïté que le rayon laser observateur, mesure la couleur de l'objet d'expérience par interférence, je ne vois pas où est le problème. Si le rayon rouge arrive tel qu'il est envoyé alors il y a absence d'objet rouge sur son trajet, s'il arrive avec une figure d'interférence cela signifie qu'il nous signale qu'il a observé un objet rouge sur son chemin. Comme l'observateur luminique possède aussi un rayon laser vert, en liaison avec une horloge verte, la position numérique de l'intérférence verte à la même hauteur que l'interférence rouge, nous donne le temps mesuré par notre observateur au moment où il a noté l'objet rouge.

    5) Oui pour léguer une information d'un observateur allant à C à un observateur allant à V<C il semble évident qu'il faut qu'ils se rencontrent...

    6) Bien sûr que si le temps s'écoule dans tout référentiel. Va dire à un photon qui vient de rencontrer un atome qu'en fait il ne s'est rien passé et qu'il n'a pas bougé, ne bouge pas, et ne bougera jamais, alors qu'il n'existe plus !

    Que le dialogue entre un observateur luminique et un observateur classique ne soit pas un dialogue équivalent à deux observateurs classiques est une évidence. C'est justement l'objet de ce post, la réalité n'a pas du tout la même apparence et les objets changent de nature selon la vitesse de l'observateur.

    Pour dialoguer avec un observateur luminique il faut émettre de la lumière. Pour qu'un observateur luminique dialogue avec un observateur à V<C il doit interférer avec des objets à V<C.

  21. #51
    invite5e5dd00d

    Re : L'observateur Relatif

    That's enough.
    Reste convaincu de ce que tu dis, et tout ira bien, tu vivras encore longtemps dans le pays des bisounours.

  22. #52
    mach3
    Modérateur

    Re : L'observateur Relatif

    c'est du n'importe quoi comme d'habitude
    il n'écoute jamais ce qu'on lui dit comme toujours

    ça va fermer, comme à chaque fois

    m@ch3
    Never feed the troll after midnight!

  23. #53
    Galuel

    Re : L'observateur Relatif

    Après cette introduction je vais passer à un nouveau fil, "l'atome relatif", qui apportera des réponses concrètes et vérifiables aux assertions qui sont posées ici.

    Je remercie tous les lecteurs intéressés je vois qu'ils sont de plus en plus nombreux

  24. #54
    invitea29d1598

    Re : L'observateur Relatif

    Bonjour,

    Citation Envoyé par Galuel Voir le message
    (... ) rien nulle part ne dit qu'un observateur doit avoir une masse, ce n'est pas la caractéristique fondamentale d'un observateur.
    Comme cela a été dit par Sigmar (et peut-être d'autres dans ce fil, je n'ai pas le courage de tout lire), un "observateur" se déplaçant à c serait dans l'impossibilité la plus totale de faire des mesures de longueurs et de durées (et cette histoire d'interférence que tu racontes n'a aucune base mathématique ou physique), mais également d'énergies, etc. En clair, il ne pourrait rien observer ce qui invalide purement et simplement cette notion.

    2) Le temps n'est que la mesure numérique, sans dimension, d'un phénomène répétitif extérieur à l'observateur lui même. C'est un objet d'observation de référence. Il s'agit donc d'avoir un objet émettant un signal répétitif, qui envoie un signal lumineux à l'observateur luminique, qui subit une modification incrémentale dûe à l'interférence pour qu'il porte en lui un temps.
    charabia bien compliqué qui ne résout cependant en rien le problème de l'impossibilité pour ton observateur de mesurer une durée. Pour qu'il y ait répétition, il faut qu'il y ait "mesures séparées dans le temps".

    3) Si on porte un temps, connaissant sa vitesse, on a aussi une mesure de longueur, c'est d'ailleurs ainsi que se mesurent les longueurs pour nous, une fois définie une horloge, c'est le rapport C/H, qui définit l'unité de longeur.
    mais ici on n'a aucun temps...

    4) L'expérience des couleurs démontre clairement et sans aucune ambiguïté que le rayon laser observateur, mesure la couleur de l'objet d'expérience par interférence, je ne vois pas où est le problème.
    le problème est que tu t'exprimes sur des choses pour lesquelles tu ne maitrises même pas les bases.

    Si le rayon rouge arrive tel qu'il est envoyé alors il y a absence d'objet rouge sur son trajet, s'il arrive avec une figure d'interférence cela signifie qu'il nous signale qu'il a observé un objet rouge sur son chemin.
    le fait d'être "rouge" n'est pas une propriété en soi d'un rayon lumineux : cela dépend de l'observateur. Ton discours ne tient pas la route.

    6) Bien sûr que si le temps s'écoule dans tout référentiel. Va dire à un photon qui vient de rencontrer un atome qu'en fait il ne s'est rien passé et qu'il n'a pas bougé, ne bouge pas, et ne bougera jamais, alors qu'il n'existe plus !
    illustration de ton manque de base totale en relativité restreinte. Un référentiel associé à un observateur est construit proprement en prenant la 4-vitesse comme vecteur de base temporelle et 3 4-vecteurs du genre espace pour finir la tétrade. Une fois donnée cette base, une mesure de durée n'est rien d'autre qu'une projection le long du vecteur du genre temps (la quadrivitesse). Le problème dans le cas d'une particule sans masse, c'est qu'il n'existe pas de vecteur unitaire tangent à la ligne d'univers : pour une particule de masse nulle, les vecteurs tangents à la ligne d'univers sont par définition de norme nulle. Il n'y a donc pas 1 vecteur tangent privilégié et impossibilité de définir une "tétrade naturelle" qui permette de faire des mesures. Même si ton manque de base en relativité te pousse à refuser de l'admettre, un photon ne peut pas définir de durée ni même de flèche du temps (c'est-à-dire d'ordre entre les événements).

    Sur ce, la charte dit
    Citation Envoyé par charte
    Ayez une démarche scientifique. (...) Toutes idées ou raisonnement (aussi géniaux soient ils) doivent reposer sur des faits scientifiquement établis et non sur de vagues suppositions personnelles, basées sur d'intimes convictions.
    Or, ce fil (en dehors des réponses qui t'ont été fournies) n'est rien de plus qu'un ensemble de vagues suppositions personnelles en pure contradiction avec les principes de base de la relativité restreinte qui prouve pourtant son efficacité en participant tous les jours à sauver des vies humaines (utilisation en imagerie médicale, rôle crucial dans le principe du laser, etc.). En clair, il est grand temps de fermer.

    Pour la modération,

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