Je ne vois pas dans la suite de contradiction avec ce que j'ai avancé, qui n'est que la répétition de principes méthodologiques de base, communément acceptés dans le milieu à ma connaissance.
Je ne vois pas en quoi mon intervention peut-elle interprétée comme l'affirmation de l'existence d'un credo qui interdirait le doute.Je crois qu'on peut continuer à faire de la physique, même si on conserve quelques doutes.
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Il n'y a pas de passage à la limite, un point qui semble communément incompris.et, à la limite, pour le photon, les produits 2.M.T et gamma.M peuvent être considérés comme indéterminés.
Dans la physique des barbus, il y a un machin qui vaut soit 1 (dans le cas vitesse <c), soit 0 (dans le cas de la vitesse limite); il n'existe aucune possibilité mathématique pour un passage continu de l'un à l'autre, donc pas de "passage à la limite" qui s'appliquerait au photon.
Correct. Et en ligne avec l'absence de sens d'un passage à la limite.Dire que, lorsque v=c (...), on change de concept
D'une certaine manière, oui. Mais il y a une définition de la masse qui marche dans les deux cas; alors, pourquoi s'en priver?Dire que, lorsque v=c on a m=0, me paraît logiquement arbitraire,
Pourquoi? Ca ne dérive pas des arguments. J'imagine que c'est une question de vocabulaire, du sens prêté au mot "particule"?lorsque v=c (...) la particule disparaît.
Cordialement,
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