L'article est très intéressant. Il cherche à faire une correspondance sur une succession discrète d'évènements cependant quand est-il pour une correspondance bijective entre deux courbes paramétrés dans l'ensemble des réels (puissance du continu) ? Le temps propre n'est-il pas défini relativement à une durée infinitésimale entre deux évènements voisins ? Nous avons un grand nombre de bijection (voir infini dénombrable / indénombrable ?) entre deux continuum ligne d'univers, mais une différence constaté par l'expérience du nombre d'évènements discrets (ce que l'on peut mesurer par nos horloges, durée entre deux tic d'horloge respectant le même rythme local) entre deux points évènements non local reliés par ces lignes d'univers et donc plus de bijection sur cette discrétisation lié à nos mesures ?
Quelque chose m'interpelle entre une représentation théorique continu de la notion de temps propre et le fait que nos mesures comporte une phase de "discrétisation".
Patrick
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