Je dirais qu'il y a les deux aspects.
1) celui que propose Ludwig et dont je veux bien aussi les références. (Il va falloir que je m'achète cette bible, j'espère qu'on la trouve au moins en anglais, parce que l'allemand...)
2) celui que je suis près à envisager à savoir une TL sur l'espace, ce qui irait plutôt pas mal pour les histoires de puis de potentiel où l'extérieur n'a aucune influence sur l'intérieur.
Sur ce point, les physiciens et les automaticiens ne sont pas d'accord, visiblement.
Pour un automaticien, si E est une énergie consommée, -E est une énergie fournie et ce, sans retourner le temps.
Un automaticien ne travaille qu'avec des fonctions causales.
Du coup, j'ai l'impression que le physicien est plus prompt à virer des pôles conjugués en utilisant ton argument de symétrie que ne l'est l'automaticien?
J'avais écrit un truc sur les pôles instables que le physicien refusent de considérer car non physique et que du coup, il vire en choisissant arbitrairement les conditions de bord. (Je ne le retrouve plus ce soir, peut-être demain...)
Dès que tu touches à du complexe, c'est logique de conserver indépendamment deux grandeurs. (En électricité, on fait cela tout le temps, avec puissance active (Energie) et réactive (Mystère?)
Je crois que personne ne dit le contraire.
De toute façon, j'ai écrit cela trop vite avec les pattes arrières.
C'était un exemple pour dire qu'un système fonctionne dans un sens et pas dans l'autre, bref, qu'on ne peut pas inverser facilement un système. Je suis de plus en plus persuader qu'il doit y avoir des liens entre la causalité des automaticiens et la non commutativité des opérateurs de la MQ.
Cordialement.
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