Cela n'est-il pas valables pour tous les modèles scientifiques? (=toutes les théories) (physique quantique, équations de maxwell, supraconductivité, transport de la chaleur, cinétique des gazs, etc etc....fin toute la science quoi...)
Je comprends votre point de vue. Je suis d'accord avec vous sur ce principe bien entendu. Et je suis conscient que mes déductions '"logiques" étaient des raccourcis dûs au fait que le cadre dans lequel j'ai expliqué simplement (classiquement) le modèle du big-bang était approximatif, et voulu dans ce sens afin de répondre de manière adaptée à la question précédente.
voir mon message précédent (#30) , lui aussi plutôt d'ordre "qualitatif et conceptuel" que "déduit logiquement sur base d'un formalisme mathématique adapté à la "réalité" physique du système considéré". (Cela est pour moi différent de l'aspect crédible et intéressant)
ainsi que ce fil-ci dédié à cette question de l'origine de l'inertie, mais qui a été côlturé
Si je dis "Je lâche un objet de mes mains dans le champ de gravité terrestre, donc il va tomber", je fais une conclusion logique qualitative, mais correcte (je ne dis pas qu'elle est intéressante dans ce cas-ci hahaha..peut-être à l'époque de Galilée elle l'était plus )
tout aussi qualitative et correcte que la conclusion "si je tourne sur-moi même en regardant les étoiles, les étoiles tournent"
Pour moi c'est limpide, et tous ceux qui travaillent dans l'approximation d'un repère inertiel, font de la science approximative
Je me suis d'ailleurs demandé une chose cette nuit :
On se pose dans un cadre relativiste pour une dynamique selon une seule dimension spatiale .
Soit un repère inertiel spatialement fixe dont l'origine est en .
Soit un corps ponctuel libre de masse dont la trajectoire vérifie :
pour et
pour
avec et
le tout dans
en tel que ,
dans le repère inertiel (définit pour au repos avec le corps, son énergie vaut .
Dans cependant, cette énergie est
Toujours sans utiliser la lois de newton relativiste valide uniquement dans des repères inertiels,
dans le repère accéléré (définit pour au repos avec la particule),
l'énergie du corps vaut , de jusqu'à .
Ma question est dès lors :
d'où vient le delta d'énergie entre et ?
Si ce n'est d'une induction inertielle?
Ma question est dès lors :
d'où vient le delta d'énergie entre et ?
il faut intégrer () le facteur de ditallation les cocos
je postule que ce facteur dépend de la densité de vide...(par le principe de Mach)
en fait, on a ...bien que bien sûr..
A est l'action..
Est-ce correct?
Bien sûr, on a considéré ici une accélération constante A sans préciser son origine physique.
Nous savons tous qu'une accélération est dûe à une force.
Cela pourrait être par exemple, un champ électrique homogène:
pour et
pour .
ceci n'est possible que si la masse m a en même temps une charge q!
Cela implique une conjonction de l'interaction électromagnétique (quantifiée), humblement représentée ici par le champ électrique homogène, et l'interaction inertielle gravitationnelle (du vide entre autres), camouflée dans ...
désolé pour avoir utilisé le même symbole pour l'accélératoin A et l'action A...il n'y a cependant pas de confusion possible.
C'est une simple expérience de catapulte électrique relativiste en une dimension.
si on parle du principe de Mach en tant qu'origine de l'inertie, valide dans n'importe quel repère par définition du principe de Mach, il faut considérer des accélérations ..non?
Dans l'expression de l'induction inertielle mieux adaptée que celle, vectorielle, de Sciama vu les considérables évolutions dans la compréhension de l'univers depuis 1952,
,
on peut réécrire :
ou
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