Bonsoir,
Oui, j'ai consulté pas mal de sources différentes avant d'avoir une synthèse cohérente. Personne ne présente une vue d'ensemble claire, et certains font de gros raccourcis.
Il me semble que dans la notation que tu utilises avec A(ω) et B(ω), le gain de contre-réaction est B(ω). Nyquist est valable pour une gain de contre-réaction unitaire.Envoyé par polf
http://www.upsti.fr/scenari/module_f...Contenu93.html
Merci !Envoyé par polf
Je suis sur le critère de stabilité "classique" : pour avoir une stabilité EBSB (Entrée Bornée Sortie Bornée), la zone de convergence de la transformée de Laplace doit être située dans le demi-plan complexe positif. S'il existe donc un seule pôle à partie réelle positive, cela veut dire qu'il y a dans le demi-plan positif au moins un point pour lequel l'intégrale définissant la transformée de Laplace n'est pas définie : la zone de convergence ne couvre donc pas tout le demi-plan. D'où le critère classique des pôles à partie réelle négative.Envoyé par polf
Quand tu regardes l'intégrale complète, et que tu remplaces la variable "p" par a+ib, tu remarques qu'une TL est une TF pour laquelle on rajoute un terme soit "d'amplification" (a < 0), soit "d'amortissement" (a > 0). Si on a besoin "d'amplifier" avec une exponentielle positive la réponse impulsionnelle pour ne pas faire converger sa TL (en d'autres termes si l'on a que des pôles à partie réelle négative, puisque l'on a "-p" dans l'intégrale), c'est que le système est stable de base.
C'est à dire trouver une entrée pour laquelle l'intégrale converge ?Envoyé par polf
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