là d'accordIl est clair que ce ne peut être l'univers qui tourne autour de la Terre , ni l'accélérateur qui tourne autour de l'électron . Il n' y a pas de relativité de ce mouvement , c'est pour ça qu'avec la lumière on peut le repérer avec l'effet Sagnac par exemple, voir l'expérience de Michelson et Gales . Pour l'électron, c'est une évidence , c'est bien lui qui tourne , si , si !
là pas d'accord. En première approximation le muon est en mouvement rectiligne uniforme dans ce cas. Si je me balade en vaisseau relativiste et que j'observe un muon se créer dans l'atmosphère terrestre et que le hasard fait qu'il est immobile dans mon référentiel (dans le référentiel héliocentrique le muon et moi-même avons le même vecteur vitesse, vu le nombre de muon qui se forment dans la haute atmosphère cela n'est pas improbable) sa durée de vie sera plus courte et les muons immobiles par rapport à la terre me paraîtront avoir une durée de vie allongée.Je suis certain aussi que c'est le muon , en haute atmosphère qui vient heurter la Terre , et non la Terre qui se précipite sur le muon, c'est donc bien le muon qui voit sa vie s'allonger , à cause d'une vitesse absolue sans relativité !
oui mais seulement localement. Il faut un appareil de mesure suffisamment petit pour qu'il ne voit rien : seul le centre de gravité d'un corps suit la géodésique, le reste non (sauf si le corps à une rigidité nulle et qu'il peut se déformer à volonté) : il est soumis à des forces de marée.Je ne mettrais pas le mouvement de la Terre autour du soleil sur le même plan , bien que l'on puisse aussi repérer ce mouvement dans le rayonnement fossile, et avec l’ aberration des étoiles . On ne doit pas pouvoir repérer ce mouvement avec un système Michelson même modifié ! La relativité générale traite ce mouvement comme rien, une ligne droite à vitesse constante ...
m@ch3
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