Alors comme je le pensais il s'agit de l'étude de l'INSERM de 2004 retirée des sites officiels sous la pression de lobby puis republiée en 2010.
En l'occurrence, je pense ici que c'est faux, car on ne peut pas republier une étude dont on aurait démontré le non sens.Les raisons je ne fais que les supposer et je pense pas que ce que j'en ai dit soit faux.
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Sans un maître/coach/supérieurs (?), pourtant "ni dieux, ni maître est le leitmotiv de l'intégrité (ce qu'on demande d'ailleurs d'un bon dirigeant politique, bien souvent avec la transparence en prime), ça ne présuppose pas de ne pas avoir d'idôles, mais c'est toujours mieux quand on n'interfère pas directement dans le but précis de "transformer l'individu" (au final on sait plus vraiment, si c'est dans une démarche toujours positive, dans le bien être du client ou juste un numéro de bienséance ! Et oui, grande nouvelle "les psychanalistes ou les profilers ne sont pas dans la tête de la victime (car au final c'est toujours une victimisation dont il s'agit) et la victime encore moins, car elle ne cherche pas à analyser elle, avec des valeurs d'un autre âge !
car je réponds plus sur ce qu'elle n'est pas et sur certaines perceptions qu'en ont certains de leurs partisans) ne repose pas sur un modèle scientifique (séduisant, admirablement bien pensé mais invérifiable et s'éloignant de plus en plus de la production des neurosciences) et ses prises en charge (au sens large) ne sont pas évaluées. Un problème étant, comme on le lit par exemple dans ce fil, que certains utilisateurs à des fins thérapeutiques (le mot consacré serait thérapeute) ne savent pas forcément non plus ce que devrait être, ou est, cette outil, voire même à quoi il ne peut pas servir, ce qui donne des disparités de pratique, de conception et de prise en charge avec tous les écarts que ça suppose.