Bonjour Marie Hélène,
Je n'ai qu'une très, très vague "connaissance" de cette théorie dont je n'ai entendu parler que très récemment de surcroît.
J'en ai retenu la conclusion qui m'intéressait: pour l'espèce humaine, le "sexe" (je suppose qu'ils veulent dire "l'identité sexuelle") ne se déduit pas des attributs physiologiques.
Les articles que l'on peut trouver semblent plutôt "politiques"
(cf:http://www.libertepolitique.com/iden...t-le-l-genre-r).
Je sais néanmoins que le musée des sciences de Villeneuve d'asq avait organisé une exposition sur le sujet, prétendant s'appuyer sur des arguments scientifiques (mais il faut toujours se méfier lorsque la politique et la morale s'en mèlent).
Je n'ai, je dois l'avouer, pas cherché à creuser cette question et me suis , peut-être un peu hâtivement, satisfait de cette "confirmation" d'une hypothèse déjà proposée au siècle dernier. Cela fait en effet un petit moment que je m'appuie sur l'axiome qu'on peut déterminer, chez les individus dits "normaux" (je laisse de côté les pervers et les psychotiques), huit pôles à partir desquels nous nous construisons une identité sexuelle, plus ou moins incertaine (le sens commun ne l'ignore pas d'ailleurs: nous pouvons qualifier un homme d'effeminé ou dire d'une femme qu'elle est masculine; la difficulté est alors de définir ce qui caractérise l'homme ou la femme au delà des attributs physiologiques).
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