J'ai montré, en citant votre message, que vous traitiez de tout cela ici.
Un peu partout ici je lis que les jugements étaient irréprochables. Ce n'est pas l'avis de la CEDHLa réponse à vos arguments y sont déjà.
Comme je l'ai déjà rappelé nul (hors du raccourci maladroit de Mamère) ne le nie- le premier à signaler que le nuage survole la France: le SCPRI le 30 avril 86.
Ce genre d'exclusivité intéresse surtout les experts et historiens. On pourrait également déterminer la couleur des chaussettes du premier pompier monté sur le toit. Le bon peuple aimerait plutôt, semble-t-il, connaître vite le degré de risque.- le premier, au niveau mondial, à dire que ce nuage provient de l'explosion d'un réacteur civil
Certes.- le premier journal
Non. Une fois de plus: selon vous tout jugeait bien, nous venons de constater que ce n'est pas le cas.Maintenant, vous essayez de renverser le débat
Je ne déforme rien, j'affirme que c'était maladroit mais que tout un chacun, de bonne foi (ce qui vous exclut) saisit la substance de ces propos: ce nuage était-il ou non dangereux pour les français? S'il ne l'était pas il s'agissait d'un nuage comme les autres, sinon...Les paroles de monsieur Mamère sont explicites n'éssayez pas de déformer ses propos pour vous rattraper à la rampe !
Autant à votre service. L'absence d'argument n'excuse pas l'injure.C'est de la malhonnêteté intellectuelle
Ces propos ont un sens (qui, semble-t-il, vous échappe) et s'inscrivent dans un contexte (dont refusez de tenir compte). La Cour, elle, entend tout cela et précise (comme déjà rappelé) : ""la Cour rappelle sa jurisprudence selon laquelle il est permis à une personne s’engageant dans un débat public d’intérêt général de tenir des propos quelque peu immodérés".L'arrêt de la CEDH rappelle les propos en questions et les arrêts des tribunaux portent sur ces propos, pas sur autre chose.
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