j'ai descidé de parler de se sujet car je pense que c'est trés important!! et qu'on en parle pas assez!! j'aimerai voir la réaction des gens devant cette liste d'accidant nuclaire qui est en plus n'est pas complete a cause des gouvernement!!
combient de catastrophe connaissez vous ? tchernobyl j'ai du en enlever bcp car sa ne rantrait pas tout c'est pour vous dire!!!!!!
c'est pas la seul:
Liste des accidents nucléaires
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Ceci est une liste des principaux accidents impliquant du matériel nucléaire (voir Accident nucléaire). Dans certains cas, ces accidents impliquent des personnes blessées ou tuées à cause de rejets de contamination radioactive. La plupart des accidents impliquent le rejet accidentel qui a causé la contamination, mais n'a eu aucun autre effet immédiat. Quelques incidents ont seulement eu le potentiel de rejeter du matériel radioactif, et sont inclus ici à cause des tensions qu'ils ont causé (collisions entre des sous-marins nucléaires, par exemple). À cause de secrets gouvernementaux, il est difficile de déterminer avec certitude l'étendue de certains événements cités ci-dessous, ou même parfois, d'être certains qu'ils se soient réellement produits.
Chemins de contamination radioactive par l'air vers l'être humain
Sommaire
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• 1 Années 1940
• 2 Années 1950
• 3 Années 1960
• 4 Années 1970
• 5 Années 1980
• 6 Années 1990
• 7 Années 2000
• 8 Incidents non confirmés
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Années 1940
• 2 septembre 1944 - Oak Ridge National Laboratory (USA). Un récipient d'hexafluorure d'uranium a éclaté dans la salle de transfert de l'Oak Ridge National Laboratory, tuant deux personnes et en blessant trois autres. Un tuyau de vapeur a explosé et la vapeur arrivant s'est combinée avec un composé à base d'uranium pour former du fluor d'hydrogène, un acide dangereux, qui a été inhalé par les cinq personnes
• 21 août 1945. Site Omega de Los Alamos Nouveau-Mexique (USA). Un employé a accidentellement créé une masse surcritique quand il a laissé tomber une brique de carbure de tungstène sur un noyau de plutonium. Il a rapidement enlevé le morceau, mais a été fatalement irradié dans l'incident. Il meurt le 15 septembre.
• 21 mai 1946. Los Alamos Nouveau-Mexique (USA). Le physicien canadien Louis Slotin a manuellement assemblé une masse critique de plutonium au cours d'une démonstration. Son appareil était constitué de deux demi-sphères de plutonium recouvertes par du béryllium, qui pouvait être déplacées lentement pour mesurer la criticité. Normalement les sphères auraient dues être manipulées par une machine, mais Slotin les a manipulées manuellement en plaçant son doigt dans un trou, comme dans une balle de bowling. Un certains nombres de butées auraient dû empêcher les deux hémisphères de tomber, mais il les avait enlevées.Il a utilisé un tournevis pour contrôler l'écart entre les sphères. À un moment le tournevis a glissé et l'ensemble est devenu critique pendant qu'il le tenait. Aucun des sept observateurs n'a reçu une dose mortelle, mais Slotin meurt le 30 d'un empoisonnement massif, avec une dose estimée de 1000 rads, ou 10 gray (Gy).
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Années 1950
• 17 janvier 1966. Près de Palomares, en Espagne. Durant un ravitaillement en vol de carburant, un bombardier B-52 entra en collision avec l'avion citerne américain KC-135. Huit des onze membres d'équipage furent tués. Les 150 000 L de carburant brûlèrent. Deux bombes nucléaires se fissurèrent, dispersant des particules radioactives sur les fermes à proximité. Une bombe toucha le sol intacte près de Palomares. La quatrième bombe fut perdue dans la mer à 20 km des côtes. Une fouille de trois mois impliquant 12 000 hommes permit de la retrouver. Durant le nettoyage consécutif, 1 500 tonnes de sol radioactif et de plants de tomates furent expédiés dans une décharge de déchets radioactifs à Aiken, Caroline du Sud.
• 24 janvier 1978, nord-ouest du Canada. Le satellite de surveillance soviétique à propulsion nucléaire Cosmos 954 s'écrase. À la suite du crash, une énorme quantité de radioactivité se répand sur une surface d'au moins 124 000 kilomètres carrés dans une zone qui s'étend du grand lac des Esclaves jusqu'au nord de l'Alberta et de la Saskatchewan.
• 22 mai 1978, près de Puget Sound, Washington. À bord de l'USS Puffer, un sous-marin nucléaire, une soupape fut ouverte par erreur, relâchant pas moins de 1 900 litres d'eau radioactive.
• 28 mars 1979, Middletown, Pennsylvanie. Un réacteur de la centrale nucléaire de Three Mile Island fond, et des gaz radioactifs sont dégagés en grande quantité, suite à divers disfonctionnements.
• 16 juillet 1979, près de Church Rock, Nouveau Mexique. Les parois d'un bassin de déchets radioactifs se brisent, laissant s'échapper une grande quantité de déchets.
• 29 septembre 1979. Le Gouverneur Bruce Babbitt en Arizona ordonne aux gardes nationaux de nettoyer l'usine American Atomics de Tucson, qui d'après lui fuyait. À la cuisine de l'école publique d'en face, 300 000 dollars de nourriture ont été contaminés par du tritium radioactif ; les gâteaux au chocolat avaient 56 nCi par litre, deux fois et demie la limite de sécurité.
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Années 1980
• 13 mars 1980, Saint-Laurent-des-Eaux, dans le Loir-et-Cher, en France. Un accident conduit à la fusion de deux éléments combustibles du réacteur A2 filière UNGG (uranium naturel, graphite-gaz) d'une puissance de 450 MWe. Une plaque métallique interne du réacteur vient, à la suite de phénomènes de corrosion, obstruer une douzaine de canaux du bloc de graphite, ce qui empêche le bon refroidissement du cœur et provoque la fusion de deux éléments combustibles. Gravement endommagé, le réacteur est indisponible pendant deux ans et demi environ. C'est l'accident nucléaire le plus grave jamais répertorié sur un réacteur en France (niveau 4 selon l'échelle INES).
• 10 août 1985, dans la baie de Chazma, près de Vladivostok. Explosion du réacteur nucléaire d'un sous-marin soviétique expérimental (projet 570) lors de sa recharge. Dix hommes d'équipage meurent sur le coup. L’explosion projeta des particules de matériel à plusieurs kilomètres. Plus de 100 000 curies de radioactivité furent mesurés alentour et il fallut plus de deux heures pour éteindre l’incendie. Un vaste secteur reste non dépollué et est toujours ouvert aux activités humaines. Les 2 000 habitants de la baie n'ont jamais été évacués. Le sous-marin et ses matériaux radioactifs reposent toujours au fond de la baie, sous plusieurs mètres de sédiments.
• 26 avril 1986, catastrophe de Tchernobyl, en Ukraine. Accident de niveau 7 selon l'échelle INES qui correspond à l'accident le plus grave qui puisse être mesuré par cette échelle.
• 1987, au Brésil. Des sources radioactives en provenance d'un hôpital sont retrouvées sur un tas d'ordures. Des enfants ramassent et manipulent ces substances, attirés par la lumière qu'elles émettent. Cette négligence fit une dizaine de morts.
• 1989. Incendie à la centrale de Vandellos en Espagne.
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Années 1990
• 30 septembre 1999, Tokaimura, au Japon. Accident de niveau 4 selon l'échelle INES. L'introduction dans une cuve de décantation, suite à une erreur humaine de manipulation, d'une quantité anormalement élevée d'uranium (16.6 kg) dépassant très largement la valeur de sécurité (2,3 kg), est à l'origine de la réaction de criticité. Cette accident a exposé plus de 600 riverains à des radiations importantes (irradié) et tué deux des ouvriers de la centrale. Cet accident est considéré comme le plus grave après Tchernobyl.
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Années 2000
• 15 février 2000, Buchanan, New York. Le réacteur n°2 de la centrale nucléaire d'Indian Point libéra une petite quantité de vapeur radioactive. C'est un dysfonctionnement du générateur de vapeur qui en était la cause.
• Juillet 2000, près de Richland, Washington. Des feux touchent la décharge nucléaire très radioactive « B/C » de l'Hanford Site. Les déchets ne sont pas à la surface, mais sous terre. Aucune contamination aérienne n'a été détectée en dehors des limites du site.
• 12 août 2000, mer de Barents, au nord de la Norvège et de la Russie occidentale, Océan Arctique. Naufrage lors d'un exercice d'un sous-marin russe à propulsion nucléaire, le Koursk, avec 118 hommes à son bord.
• 9 août 2004, Fukui, à 320 km au nord-ouest de Tokyo, au Japon. Un accident dans la centrale nucléaire de Mihama provoque la mort de cinq personnes et fait sept blessés. La cause de l'accident est une fuite de vapeur non-radioactive dans un bâtiment abritant les turbines du réacteur numéro 3. L'opérateur de la centrale reconnaît un défaut de surveillance de ses installations. La canalisation rompue ne remplissait pas les normes de sécurité. Les autorités locales ont annoncé qu'il n'y avait pas de fuites radioactives hors des installations où se trouvent les turbines ; c'est pourquoi, bien qu'il s'agisse de l'accident le plus meurtrier de l'histoire nucléaire du Japon, il sera probablement classé comme incident sur l'échelle INES, car ce n'est pas un accident nucléaire.
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