S'il y avait la possibilité diplomatique, je serais quasiment pour séparer l'étude du réchauffement global en un réchauffement polaire et un réchauffement non-polaire.Les mesures de surface sous-évaluent le réchauffement dans les régions polaires.
Concrètement, 95% du monde attend l'analyse du réchauffement non-polaire et il est bien plus facile à mesurer en temps réel.
Il y a forcément une convergence modèle-observation sur le domaine non-polaire mais elle est peu médiatisée car c'est une métrique peu habituelle.
-----