Salut Elie ! Bien je vais analyser un peu ce que tu proposes.
Non, il a essayé de rendre compatible la théorie de la gravitation et les exigences de la relativité restreinte.Envoyé par Élie l'Artiste
Ce faisant il a trouver une interprétation de la gravitation dans laquelle celle-ci n'est pas une force au sens de Newton.
Comme les géodésiques sont les généralisations des lignes droites(plus courts chemins entre deux points) dans des espace courbes et bien les particules se déplacent conformément au principe d'inertie dans cet espace-temps courbe.
Donc on a pas une force au sens de Newton puisqu'on se déplace toujours en ligne 'droite'
Comme l'a dit Deep-Turle c'est juste un défaut de la vulgarisation .et n'a pas réussit même si on n'emploit plus le mot force mais que l'on se contente de dire que la "gravité" est le résultat de la déformation géométrique de l'espace/temps causé par la masse.
On ne sait pas exactement ce qu'est la masse et c'est tellement vrai que l'exemple que l'on donne de la déformation spatiale est une boule sur un drap tendu. Ce qui fait intervenir le poids de la boule et n'efface en rien la gravité. Par contre, la déformation ne passe pas sous la masse comme le drapt asous la boule, mais au centre de celle-ci; et cela change tout.
Si tu as un quadrillage il est parfaitement droit loin de la boule or une particule venant de loin et tangente à un cercle proche de la boule ,de plus centré sur elle, si elle veut rester sur une 'ligne droite' conformément au principe d'inertie et bien elle suivra le cercle et l'on a une capture gravitationnelle.
De plus nous savons que la courbure de l'espace-temps se poursuit à l'intérieur des corps.
Un détail , le principe comme quoi les particules doivent se déplacer selon une géodésique n'en est pas un ,Einstein a montré qu'il s'agissait d'une conséquence de sa théorie.
On comprends les raisons du confinement des quarks dans les grandes lignes ,même si l'on a pas de démonstration mathématique rigoureuse et complète.C'est l'interaction forte qui en est responsable ,on a de bons arguments à partir de la QCD sur réseau par exemple,ou simplement à cause de la variation de la constante de couplage de l'interaction forte en fonction de la distance observée.
. (premièrement, ça expliquerait le mystère du confinement des quarks et deuxièmement...je continue.)
L'inflation est devenu hautement probable mais rien n'est sûr.
Nous ne connaissons que ce qui s'est déroulé depuis que l'univers a traversé le mur de Planck(10^-43 sec). Nous ne pouvons pas connaître ce qui s'est déroulé durant l'ère de Planck qui a précédé.(Mais on peu imaginer des scénarios; ce que nous ne ferons pas si possible.)
Mais déjà, on sait que tout de suite après ce mur de Planck, à 10^-35 sec, a explosé la prériode inflationnaire
Non ,beaucoup moins, aprés 10-32 s environ c'était fini.qui a duré quelques trois minutes et qui a multiplier
Si ,les calculs sont sans ambiguités sur ce point, c'est l'energie d'expansion qui est utilisé pour cela.L'energie se conserve ,l'énergie gravitationnelle des particules compense leur énergie de masse et globalement rien ne change pour l'Univers.. Ensuite, l'inflation terminée, on se retrouve avec de la matière et l'anti-matière. Et c'est là que je bifurque quelque peu.
À cause d'une question très simple: D'où provient cette injection d'énergie réelle (comparativement aux particules virtuelles). On ne le sait pas.
Il est en effet possible que la constante cosmologique actuel soit un résidu du champ 'd'inflaton' primordial.[U] Cette énergie est celle qui, encore aujourd'hui provoque l'expansion universelle accélérée.
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