Encore une phrase n'ayant pas un sens clair (1). Pouvez-vous la reformuler en utilisant les concepts usuellement enseignés?
(1) L'adjectif "spatial" ne correspond pas à une propriété d'un référentiel, pas plus que "mauve", "libre", ou "affectueux".
Dernière modification par Amanuensis ; 03/10/2013 à 18h56.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Voila un bel exemple de phrase qui ne veulent rien dire.
Tu pouvais dire tout aussi bien "les xoaghzfiu sont des apfhzeiobh".
Hum, je crois que l'idéal serait d'ouvrir un fil sur le paradoxe des jumeaux..
C'est un sujet tellement rarement abordé, on ne risque pas de se lasser..
Attends, suis chaud maintenant.
Je le connais leur raisonnement, ils ont beau m'insulter je n'en vois pas moins les failles.
Ce que vous me dites c'est que si on arrête le mouvement les deux horloges indiqueront la même heure et que s'il y a un écart cela sera du à la décélération.
Mais nous sommes ici dans le cadre de la RR, vous y introduisez une notion qui vient de la RG.
Nulle part dans la RR il n'est fait état de l'accélération, la vitesse est maitresse des lieux.
Reprenons.not even wrong
Est ce que cette définition est exacte ?
Soit un observateur dans un laboratoire, le Référentiel attaché au laboratoire est inertiel si l'observateur est dénué d'accélération propre ( il ne ressent aucun poid).
Maintenant, je vais tenter de développer ma réponse, car si la définition précédente est fausse alors ce qui suit est logiquement faux aussi.
soit deux observateurs. Les référentiels sont inertiels entre eux ssi, chacun des référentiels est inertiel et si les deux référentiels sont en MRU l'un par rapport à l'autre. C'est le cas de figure classique décrit par la RR.
En RG, sur une même radiales deux référentiels en chute libre depuis une distance différente de la source du champ de gravitation forment chacun des référentiels inertiels mais ne sont pas inertiels entre eux.
En Relativité Restreinte, la condition de Minkovski s'applique.
t' temps coordonné dans le référentiel de l'observateur O'
x' distance coordonnée dans le référentiel de l'observateur O'
t temps coordonnée dans le référentiel de l'observateur O
x distance coordonnée dans le référentiel de l'observateur O.
w' la vitesse coordonnée dans le référentiels O'
w la vitesse coordonnée dans le référentiel O
Premier cas pour moi, l'observateur O, toi, l'observateur O' s'éloingne de moi à la vitesse coordonnée v. Par contre pour toi, TA vitesse coordonnée est nulle car tu es assis dans ton vaisseau.
Donc : w = v, w' = 0
Par contre si tu inverse les rôles, c'est moi que pour toi, s'éloigne de toi à la vitesse coordonnée v' et moi qui suis assis sur ma chaise :
donc w= 0 ; w' = v'
comme
v' = -v => v² = v'² ...
En RR les deux point de vue sont réversibles.
Zefram
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
C'est dingue !
peut-être que moi aussi alors je me trompe ! mais je serais étonné !
comme son nom l'indique, les référentiels inertiel ou non inertiel ne sont déterminés que par les forces ou absence de force d'inertie qui s'y applique (sur l'observateur entre autre).
- Si on ne ressent aucune force d'inertie (ne pas ressentir son poids, et augmenter ou diminuer), alors nous nous situons dans un référentiel inertiel (dit également galiléen).
Un exemple très connu : l'état d'impesanteur comme sur ISS.
Pour une chute libre c'est pareil, nous nous situons dans un référentiel inertiel également.
- Si on ressent une force d'inertie (ressentir son poids, et augmenter ou diminuer), alors nous nous situons dans un référentiel non inertiel (dit également non galiléen).
Ce type de référentiel surviens quand nous somme sur une trajectoire qui n'est pas rectiligne (comme prendre un virage et être plaqué contre le carreaux) ou alors qui n'est pas uniforme (dans le cas d'une accélération, décélération ou encore "demi-tour").
Dans le cas d'une gravité ressentie (ressentir son poids), nous nous situons également dans un référentiel non inertiel : plaqué au sol c'est le même ressenti que plaqué sur son siège dans une voiture qui accélère, ou encore décélère ou prend un virage.
On ne peut pas non plus dire que deux observateur ne ressentant aucune force d'inertie se trouve forcément dans le même référentiel inertiel...
Car ils peuvent tous deux être en mouvement (rectiligne et uniforme) mais dans des directions opposée (ou autre) l'un par rapport à l'autre... et donc, par exemple, ils ne mesureront pas la même longueur pour ce fameux train en mouvement par rapport à eux deux.
Pareil que ci-dessus, On ne peut pas non plus dire que deux observateurs ne ressentant aucune force d'inertie... et fixe l'un par rapport à l'autre se trouve forcément dans le même référentiel inertiel...
Car rien ne change, ils sont à deux positions différente et donc ils ne mesureront toujours pas la même longueur (à un instant donné) pour ce fameux train en mouvement par rapport à eux deux.
Pareil (je me répète un peu cette fois ci) que ci-dessus, On ne peut pas non plus dire que deux observateurs fixe l'un par rapport à l'autre se trouve forcément dans des référentiel inertiel... car ils peuvent tous deux être en accélération ou autre...
donc en résumé, chaque observateur est dans son propre référentiel... soit un observateur par référentiel (inertiel ou non inertiel).
Maintenant il faut noté que tout les corps s'attire, donc techniquement, ou que nous nous trouvons dans l'univers (univers rempli de matière), nous subirons toujours une gravité quelque par... donc être dans un référentiel inertiel est quasi impossible... ou alors extrêmement rare !
On prend donc notre référentiel "quasi probablement" non inertiel, que l'on va considérer comme inertiel (pour des expériences de courte durée naturellement sinon les erreurs deviendront trop importante : La Terre... (Le référentiel Terrestre comme inertiel... "même s'il ne l'est pas", "par défaut" pour plus de commodité).
Je parlais ci-dessus de longueur du train mais pour le temps observé c'est pareil... à la seule différence près... et là Amanuensis va surement me tomber dessus sachant qu'il ne sera pas d'accord (ancienne discussion paradoxe des jumeaux).
Dans les référentiels inertiel, le temps s'écoule au même rythme, même si chacun observent la même (unique) horloge tournait à une vitesse différente selon leur positions, mouvement rectiligne et uniforme, etc...
Bien sure, comme on est quasiment jamais dans un référentiel inertiel (Gravité sur terre et en plus variant avec l'altitude).
Par contre, lorsque nous somme dans un référentiel non inertiel, par exemple quand nous ressentons la gravité ou alors qu'on accélère... l'écoulement du temps ralenti (le temps s'écoule plus lentement sur terre que dans l'espace... je veux dire en altitude).
Par l'accélération ou décélération, on le remarque comme dans l'expérience des jumeaux... (au retour l'un plus vieux et l'autre plus jeune)
(Et la Amanuensis va me montrer les crocs...) C'est également la résolution par exemple du paradoxe des jumeaux... après un voyage à vitesse constante, lorsqu'il fait demi-tour et subit une décélération/accélération... ce qu'il fait qu'il passe dans un référentiel inertiel à un autre référentiel inertiel et que ce passage ( cette transition) se fait dans un référentiel non inertiel (le demi-tour).
Dernière modification par PPathfindeRR ; 03/10/2013 à 20h44.
« Un problème sans solutions est un problème mal posé ! » Albert Einstein.
Bonjour,
Acceptons comme "simplification" cette précision sur un élément de la notion de "référentiel", celui de la synchronisation, définissant (listant) un ensemble de points cencés le constituer.
C'est ici qu'il n'est pas aisé de suivre. Sauf peut-être à préciser la notion d'endroit, que vous utilisez comme axe de votre explication. Voulez-vous avoir l'amabilité de le faire?Ainsi pour comparer les horloges chaque observateur compare l'horloge de son referentiel a celle de l'autre referentiel qui est au meme endroit.
Comment comparer deux horloges non définies initialement (à une date antérieure) comme synchronisées? Dans votre définition, en effet, vous déclarez les points (horloges) de A non-synchronisés avec les points (horloges) de B. La synchronisation y est déclarée comme seulement interne à chaque "ensemble".
Autre question liée : pouvez-vous entrer plus profondément dans cette assimilation d'un référentiel à un ensemble de points? Quels sont les caractéristiques communes à des points pour les déclarer constituer un référentiel? La synchronisation est-elle paramètre nécessaire et suffisant?
Vous remerciant.
Qui insulte qui ?
Tu ne fais que confirmer que tu t'acharnes à faire le prosélytisme de tes interprétations personnelles des théories en cours voir de tes théories personnelles. Les références sont les théories et les modèles que l'on peut construire sur leurs bases. Une fois préciser le cadre il ne peut y avoir ambiguïté que si on sort du cadre qui permet à construire le sens physique. Ce que tu fais régulièrement, faire fi du cadre théorique, et qui apparaît comme être un jeu auquel tu prends plaisir, car tu n'as que faire du sens physique que les scientifiques extraient des théories établis.
Qui insulte qui ?
Patrick
Dernière modification par invite6754323456711 ; 03/10/2013 à 20h56.
Non, pas exact.
Un référentiel est un ensemble de lignes d'univers. Cela ne suffit pas de parler d'une seule. Typiquement en classique, on parle de référentiel du laboratoire pour le référentiel tel que TOUS les points du laboratoire sont immobiles, i.e., le référentiel constitué des lignes d'univers des "points" du laboratoire.
Pour qu'un tel référentiel soit inertiel, il faut que toutes les lignes d'univers soient inertielles, i.e., que tout "point" du laboratoire soit en chute libre. Pas seulement un point particulier qu'on appellerait "observateur".
Le contre-exemple est évident: l'ISS en rotation. Le centre de gravité est en chute libre (inertiel), en ignorant la variation du champ gravitationnel les points sur l'axe de rotation le sont aussi. Mais tout autre point ne l'est pas. Le référentiel de l'ISS en rotation n'est pas inertiel, et pourtant un "observateur" immobile au centre de gravité sera en chute libre, en impesanteur, suivant une ligne d'univers inertielle.
Cela n'a pas de sens, vous n'utilisez pas le mot référentiel correctement.soit deux observateurs. Les référentiels sont inertiels entre eux ssi, chacun des référentiels est inertiel et si les deux référentiels sont en MRU l'un par rapport à l'autre.
Dernière modification par Amanuensis ; 03/10/2013 à 22h46.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
À lire ces textes mal fichus, on a l'impression d'une méconnaissance de ce qu'est un référentiel, mais aussi d'une méconnaissance du concept de quadrivitesse. Le premier terme est utilisé à contre-emploi, et le second n'apparaît pas.
Cela vient vraisemblablement du fait qu'il y a en espace-temps plat (en RR), et seulement dans ce cas, une bijection entre référentiels inertiels et quadrivitesses. Ainsi certaines phrases peuvent prendre un sens en remplaçant "référentiel inertiel" par quadrivitesse.
Mais cela 1) est une confusion conceptuelle, 2) interdit de comprendre ce qu'est un référentiel non inertiel en RR ou classique, 3) ne marche pas en RG.
Remède conseillé: apprendre à utiliser les concepts comme ligne d'univers, quadrivitesse, temps propre, accélération propre. Tous concepts qui n'ont pas besoin de la notion de référentiel, et qui sont fondamentaux dans les modèles d'espace-temps. Et utiliser ces concepts autant que possible. Et seulement s'ils sont bien maîtrisés, chercher à bien comprendre ce qu'est un référentiel, et l'utiliser avec parcimonie, là où il est nécessaire.
Exemple ("jumeaux"): en RR les segments de ligne d'univers joignant deux événements A et B peuvent avoir des durées propres différentes, la plus grande de ces durées est celle du segment de ligne d'univers d'accélération propre constamment nulle.
Dernière modification par Amanuensis ; 03/10/2013 à 23h09.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Salut all,
Path, tu dis
...puis
... pourquoi ?La Terre... (Le référentiel Terrestre comme inertiel... "même s'il ne l'est pas", "par défaut" pour plus de commodité)
Dans le cas d'une orbite elliptique, l'objet tourne atour de l'astre et accélère au périastre, du point de vue de l'astre... mais l'objet ne ressent ni accélération centripète (comme dans un virage) ni accélération le long de la trajectoire (collé au siège). Donc si l'ISS est "inertielle" et que la Terre l'est aussi, la question est : Aucun référentiel n'est réellement inertiel ou tous le sont ils ?
Merci
Mailou
Trollus vulgaris
Attention, je rappelle que deux horloges ne peuvent pas concrètement être parfaitement synchronisée !
Un référentiel inertiel est concrètement quasi-impossible ou EXTRÊMEMENT rare !
Il faudrait, pour synchroniser deux horloges, non seulement qu'elle se situe dans deux référentiels formellement inertiel, le même, fixe l'une par rapport à l'autre, etc... c'est impossible !" (donc sur terre c'est pas possible et quasi nulle part dans l'univers), mais de plus il faut faire passer un signal entre les deux horloge (en déduisant le temps de parcourt du signal) pour les synchroniser, mais...
Cette méthode ne fonctionne pas non plus car l'espace-temps (infiniment petit) et bourré de fluctuations (courbures d'espace-temps) !
On pourrais imaginer les synchroniser en chute libre ou en impesanteur, mais cela ne fonctionnerai pas non plus, car disons dans une station spatiale, chaque points de cette station est à différente distance du centre de la Terre (c'est donc globalement l'ensemble de la station qui est en Apesanteur... (différent de IMpesanteur)... ou plutôt en équilibre (vitesse/altitude) en fonction du centre de gravité de la station)... certain point (endroit) de la station ne son pas en parfait "équilibre orbital", c'est l'ensemble de la station qui est en "équilibre orbital" (mon terme "équilibre orbital" n'est peut-être pas très bien choisi, mais on aura compris !)
Donc en définitif, il est techniquement impossible de synchroniser deux horloges dans le 100% concret, on fait une approximation : on prend deux référentiel suffisamment proche (en tous sens) et dans les meilleurs conditions que possible et nécessaire, pour considérer (par défaut) qu'ils soient tous deux inertiel et équivalent... mais c'est bien une approximation faite, pour que ce soit plus commode et pouvoir analyser l'expérience sans trop d'erreur !
Dernière modification par PPathfindeRR ; 04/10/2013 à 00h28.
« Un problème sans solutions est un problème mal posé ! » Albert Einstein.
oui, aucun référentiel ne peut-être inertiel dans "le concret", ou alors c'est un bref instant et il sont très rare (à notre échelle) !
On considère un référentiel approximativement inertiel comme inertiel pour que ce soit plus commode... comme la Terre, dans certain cas de figure.
Puis de toute façon, dans l'infiniment petit, ça ne peut plus du tout fonctionner avec ces fluctuations !
Dernière modification par PPathfindeRR ; 04/10/2013 à 00h36.
« Un problème sans solutions est un problème mal posé ! » Albert Einstein.
à Mailou75
ou peut-être synchroniser à l'aide d'une intrication quantique... je ne sais pas trop !
(je dis peut-être n'importe quoi là car je pense que de tout façon, qu'elle se désynchroniseront naturellement au file du temps par les fluctuations dans l'infiniment petit !)
Le quantique et moi ça fait vraiment deux !
Dernière modification par PPathfindeRR ; 04/10/2013 à 00h46.
« Un problème sans solutions est un problème mal posé ! » Albert Einstein.
bonsoir a tous.
Le débat devient intéressant.
Ainsi chacun est dans l'erreur quoi qu'il professe, et le même dit blanc en se référent a la RR, et dit noir se référant a la RG.
Il faudrait peut-être choisir entre les deux lobes cérébraux du regretté Einstein, ou le laisser dans son bocal ou il macère en paix.
Quand aux référentiels ils semblent aussi flous pour Astrocurieux que pour Amanuensis qui a part dire c'est faux n'a pas encore exposé ce qu'il considère comme vrai, si tant est qu'il puisse concevoir autre chose que des négations.
J'attends avec impatience le moindre point positif a vos échanges brumeux, comme un spectateur d'un match de boxe dont les règles lui seraient inconnues, s'il en existent.
j'avoue que c'est fendart, la science dans le brouillard, mais heureusement, la preuve du pudding c'est qu'on le mange et malgré tout ça le soleil brille et les filles sont belles. en chute libre certe, mais pas dans mes bras hélas
Aristobulus Ursiclot.
Je ne suis pas trop d'accord, Amanuensis exprime un point de vue, c'est plutôt vous qui faites ça.
Bon allez, une petite expérience de pensée pour nous détendre.
Deux observateurs chacun avec sa fusée, ils partent dans la même direction et font un aller-retour pour revenir à leur point de départ, ont les mêmes phases d'accélération et décélération mais l'un d'eux va deux fois plus loin que l'autre, la durée du voyage à vitesse constante proche de c est plus longue pour lui à l'aller comme au retour.
A l'arrivée du second, lequel est le plus jeune et pourquoi ?
La réponse nous dira forcément que si l'un est plus jeune l'accélération n'y est pour rien.
C'est reparti pour une discussion de bla-bla, sans aucune influence des appels à la rigueur. J'abandonne cette discussion, qui rejoint donc toutes une série qui n'ont pas leur place dans ce forum ; il y a mieux à faire.
[Des discussions sur les jumeaux, il y en a eu plein, dont certaines qui détaillent correctement et rigoureusement l'influence de l'accélération.]
Dernière modification par Amanuensis ; 04/10/2013 à 06h41.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Pour moi ils ont le même age alors ! car je considère que c'est l'accélération ou la décélération ou encore la gravité ou simplement les conditions d'un référentiel non inertiel qui provoque la différence d'age.. qui joue sur l'écoulement du temps propre de chacun, et que plus cet effet inertiel (la force d'inertie) est important et plus la différence d'age est importante....
Deux observateurs chacun avec sa fusée, ils partent dans la même direction et font un aller-retour pour revenir à leur point de départ, ont les mêmes phases d'accélération et décélération mais l'un d'eux va deux fois plus loin que l'autre, la durée du voyage à vitesse constante proche de c est plus longue pour lui à l'aller comme au retour.
A l'arrivée du second, lequel est le plus jeune et pourquoi ?
La réponse nous dira forcément que si l'un est plus jeune l'accélération n'y est pour rien.
C'est là ou je fait la différence entre le temps propre (notre horloge personnelle) et le temps apparent, observé à distance (l'horloge du voisin... dans un autre référentiel du mien).
Je peux me tromper et je ne suis pas un expert avéré de la relativité... juste un mec lambda comme beaucoup d'entre-nous qui s’intéresse au sujet, dont son interprétation peut être bonne comme fausse...
(sa propre interprétation nous parait toujours logique jusqu'à temps que l'on apprend que l'on fait une erreur et que l'on comprend ou se fait cette erreur et pourquoi !)
Maintenant, comme dit, Amanuensis (qui d'ailleurs je sais déjà qu'il ne sera pas d'accord avec moi, suite à d'autre discussion dans le forum), des discussions sur les jumeaux et les paradoxe (pour Amanuensis, je sais qu'il y en a pas et que c'est résous en RR selon lui) il y en as eu déjà pas mal et on retombe toujours en fin sur les mêmes conclusions et Accord/désaccord !
Peut-être qu'un jour ont sera tous d'accord, mais pour ça il faudrais tous avoir le même niveau de compréhension et d’interprétation... c'est pas gagné !
Dernière modification par PPathfindeRR ; 04/10/2013 à 09h50.
« Un problème sans solutions est un problème mal posé ! » Albert Einstein.
"paradoxe" = qui contredit les idées reçues, l'opinion courante, les préjugés. On peut parler de paradoxe! Mais comme il s'agit de ce qui est observé vs. des préjugés, la seule "résolution" serait de changer l'opinion courante, mais cela ne se fait pas du jour au lendemain, si tant est que ce soit possible.
À l'échelle personnelle, le résoudre consiste à abandonner les idées reçues, les préjugés.
Si la question revient encore et encore venant des mêmes personnes, c'est qu'elles n'ont pas réussi à abandonner certains préjugés, et envahissent le forum en cherchant d'autres sorties. Alors qu'il n'y en a pas.
Dernière modification par Amanuensis ; 04/10/2013 à 09h58.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Maintenant, comme je disais plus haut, on considère plusieurs observateurs dans le même référentiel inertiel (même condition inertiel et similaire.. proche) pour plus de commodité et faire des expériences de pensée.
Cela donne donc un temps propre (référentiel inertiel) et que l'on a plus qu'à considérer les distances entre eux et le décalage temporel apparent et observé entre eux.
Principe de maximisation de l'intervalle de temps propre :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Temps_propre
Dernière modification par PPathfindeRR ; 04/10/2013 à 10h00.
« Un problème sans solutions est un problème mal posé ! » Albert Einstein.
je ne suis pas trop d'accord."paradoxe" = qui contredit les idées reçues, l'opinion courante, les préjugés. On peut parler de paradoxe! Mais comme il s'agit de ce qui est observé vs. des préjugés, la seule "résolution" serait de changer l'opinion courante, mais cela ne se fait pas du jour au lendemain, si tant est que ce soit possible.
"paradoxe" = Deux ou plusieurs principe, expérience, tout à fait indépendamment logique... cohérente mais qui malheureusement une fois réunis se contredisent !
par exemple :
Un point fixe n'a pas de sens en relativité, donc qui est en mouvement par rapport à l'autre ? (principe de Mach) est-ce le jumeau voyageur ou le jumeau resté sur terre ? on pourrait considéré que c'est le jumeau résté sur terre et toute la terre entière qui s'éloigne puis revient et que le jumeau dit "voyageur" est réellement resté fixe !
Donc les deux peuvent être plus jeune que l'autre... c'est un paradoxe !
On considère alors, "par défaut" que c'est la terre qui reste immobile et sert de référentiel "inertiel", de référence, le point de départ et fixe de l'expérience.
Dans ce cas-ci, le voyageur accélère pour atteindre 0.9 c, puis décélère, se retourne, re-accélère, puis de retour il décélère à nouveau.
que toute ces phases d'accélération/décélération lui provoque une force d'inertie qui ralentira l'écoulement de son temps propre (concrètement, pas que dans l'observation faite par l'un deux).
Maintenant, on peut dire "par abus" que plus on va vite et plus on vieillis lentement, mais cela est dû (pour moi) à une accélération/décélération plus forte et pour atteindre plus rapidement 0.9 c... une force d'inertie encore bien plus importante que celle ressentie sur Terre.
En RR c'est un paradoxe, mais en RG (qui prend en compte, l'accélération, la gravité ressentie, etc... tout s'explique et le paradoxe disparait.
Mais là je suis d'accord, je peux également me tromper sur l'ensemble de mes message ci-dessus.À l'échelle personnelle, le résoudre consiste à abandonner les idées reçues, les préjugés.
Si la question revient encore et encore venant des mêmes personnes, c'est qu'elles n'ont pas réussi à abandonner certains préjugés, et envahissent le forum en cherchant d'autres sorties. Alors qu'il n'y en a pas.
c'est comme cela que j'interprète le phénomène des dilations des durées et des distances (observée ou réelle "RR et RG"), comme toi qui l’interprète différemment de moi.
A quand l'argument magique qui mettra tout le monde d'accord ? pas en reprenant sans cesse les mêmes expériences de pensée, les mêmes exemples, encore et encore.
Dernière modification par PPathfindeRR ; 04/10/2013 à 10h45.
« Un problème sans solutions est un problème mal posé ! » Albert Einstein.
je vous invite à rejeter un œil sur le paradoxe des jumeaux :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_des_jumeaux
et particulièrement sur les paragraphes :
1) PRESENTATION - Paradoxe, résolution, généralisation
5) paradoxe des jumeaux et mouvement accéléré
le paradoxe des jumeaux est un peu hors sujet, ou plutôt un sujet à part entière dont plusieurs post sur le forum on déjà été créés...
donc j'arrête là... sauf si on me relance dessus évidemment !
« Un problème sans solutions est un problème mal posé ! » Albert Einstein.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Pour astrocurieux : Tu remarquera qu'en bas du lien indiqué ci-dessus par PPathfindeRR, il est indiqué que le paradoxe des jumeaux s'explique en RR (pas besoin de RG).je vous invite à rejeter un œil sur le paradoxe des jumeaux :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_des_jumeaux
Amanuensis, vous êtes vraiment un gros râleur.
J'ai regardé la page le paradoxe des jumeaux, ils disent :
"En réalité, les situations des jumeaux ne sont pas symétriques : le sédentaire coïncide avec un seul repère galiléen"
Je dis la même chose en affirmant qu'il leur faut un repère "spatial", les observateurs ne peuvent pas être des référentiels inertiels.
Par contre l'accélération ça ne va pas du tout, pour moi l'accélération n'a aucun effet qui nous intéresse ici.
C'est juste un problême de référentiel inertiel.
Il y a de quoi.
Ben oui, le Wiki français n'est pas toujours de la vulgarisation de bon niveau. Rien de neuf.J'ai regardé la page le paradoxe des jumeaux, ils disent :
"En réalité, les situations des jumeaux ne sont pas symétriques : le sédentaire coïncide avec un seul repère galiléen"
Les deux propos sont contradictoires (un fois traduits ).les observateurs ne peuvent pas être des référentiels inertiels.
Par contre l'accélération ça ne va pas du tout, pour moi l'accélération n'a aucun effet qui nous intéresse ici.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Non, je ne donne que la définition que je connais, j'ai pas besoins d'aller dans le dico pour connaitre la définition de "paradoxe" !Envoyé par AmanuensisJe me suis contenté de recopier la définition dans un dictionnaire français. Je pensais que c'était la langue en vigueur ici?
inutile de montrer les crocs !
je ne vérifie si possible seulement que des explication (comme en relativité) sur certain point dont je ne suis pas trop sure avant de poster le message... j’essaie juste d'éviter le nombre d'erreur que je pourrais commettre dans mes posts.. et parfois le lien au cas ou si je l’interprétais de traviole !
Je n'ai pas ta connaissance en math, mais j’essaie de donner des explications... du moins comme je le comprend, l'interprète ! et pas juste me contenter de donner une réponse sans explication qu'on ne pourrais donc pas contredire ou confirmer ! ce serait trop facile !
Donc quand je dis, j'explique au risque de me montrer là ou je me trompe !
Bah meilleur en autre... oui !Envoyé par AmanuensisMettre d'accord sur quoi? Que la RR est un modèle (mathématique) cohérent de l'espace-temps? Que ce modèle est meilleur (physique) que l'espace et le temps absolus?
vue que c'est pour l'instant... de nos jours, effectivement le meilleur modèle qui explique au mieux tous ces phénomènes... on s'en contente même si parfois ça n'explique pas tout (comme dans l'infiniment petit ou elle ne fait plus le poids face aux théorie du quantique)
je suis d'accord : le paradoxe est expliqué par la RR... c'est bien un paradoxe dans ce cadre là... en faite il découle naturellement de la RR et ce paradoxe devient inevitable car elle ne prend pas en compte certain paramètre (contrairement à la RG)Envoyé par SmithfrPour astrocurieux : Tu remarquera qu'en bas du lien indiqué ci-dessus par PPathfindeRR, il est indiqué que le paradoxe des jumeaux s'explique en RR (pas besoin de RG).
Par-contre en RG... si on considère donc les phases d'accélération, décélération, gravité, etc... le paradoxe n'a plus lieu... le paradoxe est résolu est enfin, le phénomène (resultat de l'expérience) est expliqué (qui sera plus vieux ou plus jeune en fin d'expérience sans confusion ou paradoxe).
Dernière modification par PPathfindeRR ; 04/10/2013 à 13h12.
« Un problème sans solutions est un problème mal posé ! » Albert Einstein.
à Amanuensis,
Je pense comprendre (j’espère) les principes de la relativité sans pour autant pouvoir les démontrer sans faute et formellement par des démonstrations mathématiques, mais juste en faisant et contraint de faire appel au bon sens (un bon sens qui est personnel et différent de chacun)... je précise donc que je ne contredis rien sur la relativité d'Einstein et n'expose pas de théorie personnelle... mais annonce juste comment je la comprend.
Si dans mes explications, une donnée te dérange car tu l'estime fausse, du moins, que pour toi elle ne correspond pas à la théorie, alors à toi de bien vouloir prendre la peine de la corriger et d'argumenter pour m'en convaincre... ou convaincre également les autres personnes du forum qui partageraient le même opinion, la même compréhension.
Me balancer une formule de la relativité ne m'aidera en rien et tu le sais très bien (et je m'en excuse de ne pas avoir le niveau en math nécessaire, qui d'ailleur je pense ne pas être le seul dans ce cas)... donc un peux d'explication par appel au bon sens serait vraiment la bienvenue !
Dernière modification par PPathfindeRR ; 04/10/2013 à 13h31.
« Un problème sans solutions est un problème mal posé ! » Albert Einstein.