Ok, merci.
Euh... Pas vraiment. Déjà c'est quoi dtl et dl ?
(Perso je calcule g directement à partir de , où U est la quadrivitesse des immobiles, vu comme un champ sur l'espace-temps. J'admets que ce n'est pas très parlant quand on ne connais pas...)
Dernière modification par Amanuensis ; 09/02/2017 à 16h48.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Je mets ça en manuscrit, le scan et l'envoie en mp, j'ai bien peur de faire une tartine sinon (voir une bouillie...).
Salut,
Ah voilà qui fait plaisir à lire !! Manquerait plus qu'on parle de la meme chose
Sans formule on ne calcule rien dans KS. Les coordonnées de Painlevé (ou Painlevé "specifique" pour un voyageur parti d'une altitude non infinie) donnent le resultat cherché.
On peut calculer cette duree pour une chute depuis n'importe quelle altitude R (vitesse d'origine nulle) soit aussi une panoplie de vitesses non nulles pour r<R. On peut la calculer pour une chute depuis l'infini et on aura aussi une panoplie (infinité) de vitesses non nulles pour r<oo.
Le probleme c'est si on cherche la solution pour un depart depuis R avec une vitesse supperieure à celle qu'aurait le voyageur en chute libre depuis l'inifini a cette altitude R. Dans ce cas j'ai pas la réponse..
........
Celle ci de mon cru (donc tres peu fiable)
soit environ en champ faible
ou une autre donnée par Amanuensis qu'il faut que je retrouve... (mais qui demande tout de meme a etre verifiée car vu les resultats on peut avoir qq ordres de grandeur d'erreur sans le savoir, d'où la demande d'exemple chiffré)
Mailou
Dernière modification par Mailou75 ; 09/02/2017 à 22h16.
Trollus vulgaris
Peut etre deux remarques plausibles par contre pour un trou noir primordial? S'il est possible qu'il ait une masse suffisante pour ne pas s'etre déjà évaporé? Mais dans l'hypothèse inflationnaire, est-ce envisageable?
Sinon en effet il ne manque pas de conclusions très surprenantes et mon "choix" de la singularité "centrale" comme la plus irréaliste peut etre arbitraire. Je la fonde uniquement sur l'incrédulité d'un infini quel qu'il soit en physique.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
La dérivée de la vitesse locale? (j'aime pas trop les unités de loin..)
Trollus vulgaris
Non, car cela contient l'équivalent de la force de Coriolis.
Ce qu'on cherche (l'accélération propre d'un immobile) est (au signe près?) la dérivée de la vitesse (relativement aux coordonnées) d'une chute libre de vitesse nulle.
Dernière modification par Amanuensis ; 10/02/2017 à 05h24.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
L'ordre de grandeur est assez immédiat, suffit de prendre les coordonnées de Schw pour la région intérieure. C'est Rs/c, 2GM/c^3.
Pour M=8 10^39 SI, on obtient Rs = 2 2/3 10^-10 8 10^39 / (3 10^8)²= 32/27 10^13 SI, et l'ordre de grandeur de la durée de 32/81 10^5, soit 4000 s, ou 66 h.
La partie difficile à calculer est le facteur précis.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
On pourrait penser que de façon locale ce qui fait que la vitesse augmente légèrement c'est l'accélération locale. Qu'est ce que tu entends par chute libre de vitesse nulle ?
Merci
Trollus vulgaris
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Bonjour,
J'ai:
Les × sont des * (portable)
\times en LaTeX
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Cela donnerait une accélération tendant vers 0 quand r tend vers Rs.
J'ai , avec , et
D'où
Dernière modification par Amanuensis ; 10/02/2017 à 13h56.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
J'ai un problème avec les c, une partie des calculs étant avec c=1... Faut multiplier par c² pour avoir la dimension correcte.
Dernière modification par Amanuensis ; 10/02/2017 à 14h01.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Salut, c'est -1 ou 1/2?
Avec-1 , l'accélération ne tombe pas à 0 pour r=Rs.
Avec 1/2 si. L'accélération décroit pour r inférieur à 2×Rs
Tu as raison, c'est -1/2, faute de ma part:
, avec , et
D'où
(avec des c² inclus...)
(Et l'accélération tend vers l'infini pour r tendant vers Rs)
Dernière modification par Amanuensis ; 10/02/2017 à 16h23.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Il y a un problème au niveau de ta seconde ligne.
J'aurais écris: 1/gtt×Ttt= c^2÷Rs…
Et cela donne en multipliant par grr^0,5 un résultat en √(1-Rs/r) et non en 1/√(1-Rs/r)
Où il y a un truc qui m'échappe dans ton calcul.
J'avais pas vu la virgule dsl
Je voudrais comprendre j'ai pour ma part :
V'=dr'/dt'= √(Rs/r)=(dr/dt)/(1-Rs/r).
Je derive dV'/dr =(-Rs/2r^2)/V'
dV'/dt'=-(Rs/2r^2)/V'×V'×(1-Rs/r)/√(1-Rs/r) d'où mon résultat.
Je pense que mon erreur viendrait de V'
Pas regardé en détail, mais ça ressemble à une dérivation en composante de la norme. Or faut faire une dérivée covariante du quadrivecteur, la différence venant de ce que les vecteurs de la base vectorielle "changent", ils n'ont pas une dérivée nulle. Les dérivées des vecteurs de base sont ce qu'indiquent les symboles de Christoffel (qu'on peut voir un peu comme une accélération d'entraînement, comme quand on utilise des coordonnées non inertielles en mécanique: l'origine est similaire, à savoir les vecteurs de base "bougent" par rapport à l'inertiel).
Dans le calcul plus adapté, on s'intéresse à la dérivation covariante du quadrivecteur unitaire (c'est l'origine du 1/g_tt), du coup la dérivée covariante dans l'axe est nulle. Il n'y a que le "dérapage latéral" du vecteur \partial_t qui nous intéresse, et c'est ce "dérapage" qu'indique le christofell \Gamma_{tt}^r (les deux autres coordonnées spatiales n'interviennent pas, cause symétrie sphérique). Le dernier terme est la norme du vecteur \partial_r.
C'est très différent de la dérivation en composante de la norme de la vitesse spatiale.
Cela fait partie des techniques "de base" de la géo diff avec des systèmes de coordonnées quelconques, en espace courbe comme en espace plat.
Dernière modification par Amanuensis ; 10/02/2017 à 19h59.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Salut,
Ca parrait beaucoup trop simple... [acceleration Newton] x [potentiel Schw] ??
cad que la valeur classique est "juste" mais lue localement au ralenti (z+1)
Franchement, sans appliquation numerique comparable je reste sceptique...
(qq soit la formule d'ailleurs )
Mailou
Trollus vulgaris
Les maths ne sont pas si difficiles.
[suite sous toutes réserves, vérification bienvenue, Mach3?]
On cherche l'accélération propre des immobiles.
Un mouvement immobile dans un système de coordonnées a sa quadrivitesse colinéaire à (1, 0, 0, 0), vecteur qu'on écrit .
On va prendre une quadrivitesse unitaire, c'est donc car , par définition
L'accélération propre, c'est la dérivée dans la direction du mouvement, ou la dérivée par rapport au temps propre, c'est pareil.
On cherche
Comme ne peut pas être considéré "constant", on doit en prendre la dérivée :
Le terme est ce qui distingue du cas "simple", et est donné par les symboles de Christoffel (c'est à ça qu'ils servent!) ; ce terme correspond aux "accélérations" d'entraînement, i.e., la partie de l'accélération qui est "entraînée" par les variations de la base vectorielle par rapport à l'inertiel.
On a par définition des Christofell
Comme on a pris un quadrivecteur toujours unitaire, et si on suppose la forme métrique diagonale, on n'a pas besoin de calculer le terme en car on sait d'avance qu'il est nul. On a donc, de manière très générale pour une métrique diagonale:
soit
Dans le cas des coordonnées de Schw. ou de KS, seul le Christofell en r n'est pas nul.
On a donc
et donc
et sont des coefficients de la métrique, on les a sous la main. Reste à calculer le symbole de Christofell, ou le trouver dans la littérature...
Dernière modification par Amanuensis ; 11/02/2017 à 11h19.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Salut,
Apres avoir fait un petit tour d'horizon, c'est le resultat qu'on peut trouver.
Dans ce cas comment expliquer qu'il n'y ait plus equilibre entre forces centrifuge (acceleration liee a la vitesse de rotation) et centripetes (acceleration de gravitation)? Doit on reecrire l'equation de la force centrifuge... ou retrecir perimetre de l'orbite d'un facteur a determiner ? ou autre ?
Merci
Trollus vulgaris
Le calcul du message #146 n'a rien à voir avec une "force centrifuge", c'est l'équivalent du champ de pesanteur, la "force" que ressentent les immobiles, ou plus précisément la force qu'il faut compenser pour rester immobile dans le référentiel choisi.
Le calcul de l'accélération d'entraînement pour un mouvement orbital est du même genre, mais avec une quadrivitesse colinéaire à (1, 0, 0, w), un peu plus lourd à calculer... (On peut imaginer que par "force centrifuge" doit être entendue la composante en \partial_r de l'accélération d'entraînement.)
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Salut,
Je te laisse juge des notations appropriées
Il faudra tout de meme qu'à l'ajout d'une dimension supplémentaire (2D) on trouve le moyen d'expliquer qu'il y a un equilibre car aucune acceleration n'est ressentie pour le voyageur en orbite.
Trollus vulgaris
Faut distinguer mouvement circulaire en général, et mouvement circulaire de chute libre.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.