Salut et merci,
L'inversion de ce qui est vu (voir ses pieds devant puis "derrière") implique de toute façon qu'il y ait une forme de permutation, la rotation du cône passé à 90° en coordonnées de Schwarzschild est une autre forme de démonstration, mais donner une "valeur" à cette nouvelle partition de l'espace-temps n'est pas évident. Peut-on au moins considérer, dans cette interprétation, que ce qui se trouve sur une même hyperbole en zone II est à une même date, celle ci ayant un sens pour l'observateur éloigné ?
Je suis tout ouï !Possible que je puisse.
Arf, il marchait encore quand je l'ai mis...Le lien ne marche pas.
J'en ferai une reproduction si tu me l'autorise.
Comprendre ce qu'est un horizon 4D ? Je ne sais pas, juste une supposition...
L'auteur écoute toujours mais tant que ça reste flou je ne peux pas le représenter. Entre dire et faire il y a une étape parfois difficile... J'ai donc pris le parti de continuer à noter les (r;t) qui correspondent aux formules, ça permet de s'y retrouver dans un premier temps. Je t'ai toujours dit que j'étais prêt à changer ces unités, y'a juste à savoir comment...
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Les autres systèmes dépendent de (r;t), la continuité est une illusion. La coordonnée Rs est parfaitement définie, c'est juste t=inf qui n'a pas de sens.
A moins que tu disposes de formules donnant des trajectoires directement en KS ou autre ayant un (X;T) défini sur l'horizon ? (il paraitrait qu'elles existent, je demande à voir)
Painlevé y arrive mais Painlevé c'est Newton... on a bien un évènement (r;tau), c'est l'espace de l'observateur éloigné à t=0 qui est alors "discontinu". Comme déjà dit, le passage en coordonnées de Schw c'est "comment sera vu Painlevé" compte tenu de tenu du z+1 gravitationnel local + gamma lié à la vitesse newtonienne, c'est déjà à mon sens une "mise à plat" (choix de 3 dimensions d'espace privilégiées parmi 4D = observateur). Je n'arrive pas à savoir si c'est une coïncidence ou une origine ?..
Pour poursuivre, je pense qui finalement les coordonnées (r;t) restent justes à l'intérieur tant qu'elles continuent de définir la même chose. Au passage de l'horizon, pour celui qui chute, la trajectoire rayonnante (entre surface et singularité) devenue sa ligne d'univers devient de fait son axe de temps propre. Mais pour l'observateur éloigné, cette même trajectoire continue d'être définie par une variation de r. Implicitement, si ce n'est pas le cas alors pour lui la trajectoire mesurant Rs ne peut excéder Rs/c en temps est reste donc pour lui visuellement une droite (rayon lumineux) le long de laquelle c'est l'espace qui défile... hum. J'avoue préférer la version où Rs/c est une asymptote en temps t pour des valeurs de tau infinies, la singularité n'est une issue que du point de vue de l'observateur extérieur. C'est du moins à cela que m'ont mené mes réflexions...Ensuite les coordonnées de Schwarzschild ont moins de sens physique que ce qui semble sous entendu, et je crains que ça ne soit un problème crucial dans la discussion.
Merci pour votre aide
Mailou
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