Quelques suppressions de messages ont été faites. Rappel de la charte du forum :
Vous pouvez critiquer les idées, mais pas les personnes.
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Vous pouvez critiquer les idées, mais pas les personnes.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
En quoi un test négatif serait plus rassurant?
On sait tous que ni les tests, ni les vaccins n'empêchent d'être porteur du virus, alors confiner 1000 personnes bien agitées (on ne va pas en boite pour faire la sieste), bien désinhibées (on ne va pas en boite pour boire de l'eau) dans une salle sans port de masque avec en plus des trous dans le contrôle d'entrée, c'est jack pot assuré pour le virus.
Jusqu'ici tout va bien...
Voici un extrait d'un article reprenant les constatations de virologues néerlandais:
"L'idée qu'on avait au départ, qu'on ne transmet plus le virus après la vaccination, ne semble pas vraie pour le variant delta. Nous voyons même des personnes qui ont déjà eu une infection, ont été vaccinées deux fois et sont à nouveau testées positives", souligne ainsi le virologue clinicien Matthijs Welkers (Amsterdam UMC), auprès du quotidien néerlandais."
https://www.lalibre.be/planete/sante...JBQT4OJLQA6LY/
Si cela est vrai, vacciner le personnel soignant pour réduire la transmission aux patients ne serait pas vrai.
Ce n'est pas du tout ou rien, et pas plus pour les variants antérieurs que pour le delta.Voici un extrait d'un article reprenant les constatations de virologues néerlandais:
"L'idée qu'on avait au départ, qu'on ne transmet plus le virus après la vaccination, ne semble pas vraie pour le variant delta. Nous voyons même des personnes qui ont déjà eu une infection, ont été vaccinées deux fois et sont à nouveau testées positives", souligne ainsi le virologue clinicien Matthijs Welkers (Amsterdam UMC), auprès du quotidien néerlandais."
https://www.lalibre.be/planete/sante...JBQT4OJLQA6LY/
Si cela est vrai, vacciner le personnel soignant pour réduire la transmission aux patients ne serait pas vrai.
Personne de sérieux n'a jamais dit que la vaccination supprimait totalement le risque de transmission. Mais elle réduit fortement le risque d'être infecté (de ~90% pour le variant alpha et de ~80% pour le variant delta), et si infecté, le risque de transmettre le virus (au moins 2 fois plus faible que pour un non vacciné infecté, dont la charge virale est plus importante et baisse moins vite).
Donc en gros, ça donne une réduction du risque d'être infecté ET de transmettre le virus de ~95% pour le variant alpha et "seulement " de ~90% pour le delta.
Autrement dit, même avec le variant delta, une personne vaccinée risque 10 fois moins d'en contaminer d'autres qu'une personne non vaccinée, en supposant que ces deux personnes aient par ailleurs le même nombre de contacts à risque.
Mais évidemment, si les personnes vaccinées multiplient leurs contacts à risque et donc augmentent leur risque d'être infectées, ça peut remettre en cause cet avantage. D'où les recommandations de maintenir les gestes barrière et de continuer à porter le masque dans les lieux publics clos même quand on est vacciné.
Sans doute des personnes un peu immunodépressives, ou fortement exposées. Que leur serait-il arrivé sans le vaccin ? ? ?Voici un extrait d'un article reprenant les constatations de virologues néerlandais:
"L'idée qu'on avait au départ, qu'on ne transmet plus le virus après la vaccination, ne semble pas vraie pour le variant delta. Nous voyons même des personnes qui ont déjà eu une infection, ont été vaccinées deux fois et sont à nouveau testées positives", souligne ainsi le virologue clinicien Matthijs Welkers (Amsterdam UMC), auprès du quotidien néerlandais."
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Sans réelles données, il est impossible de dire quoi que ce soit de pertinent (j'y inclus ma phrase précédente).
Ben si, à partir du moment où ça réduit même un (bon) peu le risque de l'attraper et un autre (bon) peu le risque de le transmettre...Si cela est vrai, vacciner le personnel soignant pour réduire la transmission aux patients ne serait pas vrai.
Jusqu'ici tout va bien...
Du coup, on va devoir porter le masque et respecter les gestes barrières à vie même en étant vacciné ?Mais évidemment, si les personnes vaccinées multiplient leurs contacts à risque et donc augmentent leur risque d'être infectées, ça peut remettre en cause cet avantage. D'où les recommandations de maintenir les gestes barrière et de continuer à porter le masque dans les lieux publics clos même quand on est vacciné.
Est ce qu'on devra même vacciné limiter non contacts peut être pour toujours?
Effectivement un test basé sur un prélèvement effectué à J-2 sera probablement négatif sur une personne contaminée entre J-5 et J-2, alors qu'elle sera contagieuse le jour J...
Dans une région et une période où le taux d'incidence hebdo est de l'ordre de 1% (on doit y être dans pas mal de coins en France actuellement puisque les incidences calculées à partir des cas confirmés, qui ne représentent en général que la moitié des personnes infectées, approchent de 500/100000), ça donne une probabilité de ~0,5% qu'une personne présentant un PCR- de moins de 48h soit en fait contagieuse.
Et cette probabilité est évidemment plus élevée pour les tranches d'âge dans lesquelles l'incidence plus élevée (et encore plus dans les personnes de ces tranches qui fréquentent le plus des lieux de rencontre en tout genre).
Même sans faille dans les contrôles, dans ce genre d'endroit il doit bien y avoir 1 à 2% de personnes contagieuses parmi celles qui sont admises sur la foi d'un PCR- (la majorité, puisqu'il n'y encore qu'une minorité de complètement vaccinés parmi les moins de 30 ans, et même les moins de 50).
Donc, dans les coins où l'incidence est actuellement la plus élevée et dans des lieux fréquentés par 1000 personnes, il y en a probablement au moins une dizaine de contagieuses malgré un PCR-...
Quant aux vaccinés, s'ils multiplient les contacts à risque (sans gestes barrière, masque etc.) au point d'en avoir en moyenne 5 fois plus que les non vaccinés, le risque qu'ils soient infectés est aussi élevé. Et c'est probablement le cas de beaucoup de ceux qui fréquentent ce genre d'endroits... En revanche ils sont moins contaminants; mais effectivement pas assez pour que ça limite drastiquement le risque de transmission.
Bref, dans les régions où l'incidence hebdo dépasse 100/100000, ce n'est certainement pas une bonne idée de laisser ouverts des lieux dans lesquels 1000 personnes peuvent se rassembler (et où on sait que le respect des gestes barrière est quasiment impossible)...
Mais ce n'est pas qu'une question de capacité de ces lieux : si on laisse ouverts des lieux du même genre mais de moindre capacité, la même population se répartira dans ces lieux. Et dans 10 salles de 100 personnes il y aura au total autant de personnes contagieuses que dans 1 salle de 1000 personnes (et comme ce n'est pas parce que la salle est plus petite que les personnes y seront plus éloignées les unes des autres, chaque personne contagieuse pourra probablement en contaminer autant que dans une salle plus grande).
Non. Seulement tant que la proportion d'immunisés dans la population ne sera pas assez grande pour que l'épidémie régresse même en l'absence de gestes barrière et de mesures limitant les contacts. Comme actuellement en Ecosse par exemple, et sans-doute en Angleterre.
Le discours selon lequel la vaccination permet un retour à la vie normale devrait d'ailleurs être plus clair, car ce n'est pas individuellement qu'elle le permet (un peu quand-même pour les personnes à risque qui s'interdisaient tout contact proche de peur d'être contaminées).
C'est collectivement : c'est la vaccination de tous (ou du moins d'une très grande majorité de ceux qui sont éligibles et de la quasi-totalité des "à risque") qui permettra le retour à la vie normale de toute la population.
Mais pour ceux qui avaient du mal à le comprendre (ou à se l'appliquer à eux-mêmes, car c'est toujours plus facile de compter sur les autres), la carotte de la "libération" individuelle a l'air de marcher...
Il n'y a pas QUE cette solution, mais aussi la possibilité que les formes graves soient suffisamment réduites pour qu'on laisse courir l'épidémie tel qu'on le fait pour la plupart des épisodes grippaux. Le tout est de définir ce "suffisamment réduites". Si on se fie aux capacités hospitalières (ce qui est discutable mais semble le critère actuel), avec un minimum de précautions complémentaires à la vaccination déjà effectuée ou une amélioration de celle des personnes à risques, on y est peut etre.
Et à mon avis cette dernière solution serait mieux socialement admissible plutot que d'envisager des contraintes individuelles de vaccination de plus en plus lourdes, que ce soit pour des catégories de population telles que les soignants (au sens large), les personnes en contact de public, les ados, les enfants, pourquoi pas les bébés....
Tendre une carotte c'est aussi prendre ses concitoyens pour des ânes...
La panacée n'existe pas pour concilier tous les facteurs.En quoi un test négatif serait plus rassurant?
On sait tous que ni les tests, ni les vaccins n'empêchent d'être porteur du virus, alors confiner 1000 personnes bien agitées (on ne va pas en boite pour faire la sieste), bien désinhibées (on ne va pas en boite pour boire de l'eau) dans une salle sans port de masque avec en plus des trous dans le contrôle d'entrée, c'est jack pot assuré pour le virus.
Néanmoins, au delà du calcul de Yves qui se base sur des probabilités d'infection entre j-2 et j-5 pour les PCR-, la probabilité de contamination des vaccinés, à leur insu, est aussi conséquente. Et surtout leur comportement lié à leur sentiment d'impunité, très probablement plus favorisant leur propre contamination que celle des PCR- conscients de leur vulnérabilité.
Non seulement "on" a tendu une carotte pour accélérer la vaccination, mais "on" a évité de trop dire qu'elle n'était appétissante que vu de loin...
C'est pourquoi le meilleur effet de la vaccination reste sa limitation très importante des risques graves, et cet aspect ne souffre plus de débats.
Ce sera plus une décision politique que scientifique, selon l'acceptation qu'on posera des conséquences de l'épidémie de Covid.
Si l'exigence est posée très haut, comme en Israël où malgré un taux de formes graves assez faible ils semblent décider de prendre d'autres mesures barrière, il faudra sans doute rester prudents longtemps voire indéfiniment.
Mais si la Covid entre dans nos habitudes comme une forme de grippe plutot sévère mais sans les impacts terribles qu'on a connus lors des vagues passées, on revivra comme avant en protégeant avec les vaccins les personnes les plus exposées aux derniers variants du moment, s'ils le souhaitent.
Apparemment si, puisqu'une proportion non négligeable des personnes ne semblent pas voir d'urgence à se faire vacciner, voire pour certains excluent complètement de le faire...
Ce qui fait que ce que disais ci-dessous est un vœu pieux.
Dernière modification par yves95210 ; 25/07/2021 à 13h19.
Comme je l'ai déjà dit à plusieurs reprises, aussi bien les projections faites par les épidémiologistes que la situation actuelle au R-U. montrent qu'il n'est pas nécessaire d'imposer la vaccination aux moins de 18 ans (ou de 16 dans d'autres pays) pour atteindre un taux d'immunité populationnelle suffisant.Et à mon avis cette dernière solution serait mieux socialement admissible plutot que d'envisager des contraintes individuelles de vaccination de plus en plus lourdes, que ce soit pour des catégories de population telles que les soignants (au sens large), les personnes en contact de public, les ados, les enfants, pourquoi pas les bébés....
Mais à condition que, obligation ou pas (les Britanniques n'en ont pas eu besoin, mais faut croire qu'ils sont collectivement moins bornés que nous), les adultes se fassent vacciner en assez grand nombre et ceux "à risque" encore plus.
Quant à l'obligation vaccinale, je suis d'accord au moins sur un point : dans la situation actuelle elle n'a pas a être imposée à une catégorie de la population si elle ne l'est pas à tous les adultes (pas la même chose que pour des maladies dont le taux d'incidence est bien moins élevé et les risques de contamination plus localisés).
Mais à propos des soignants (et pas que : ça concerne l'ensemble du personnel des hôpitaux et des EHPAD, il n'y a pas que les "soignants" qui sont en contact avec des personnes fragiles), l'attitude de certains vis-à-vis de la vaccination est assez incompréhensible. C'est quand-même frappant de voir que parmi eux ce sont ceux qui (par leur formation et leur métier) ont le plus de connaissances et sont le plus à même d'évaluer les risques présentés par les vaccins, les médecins, qui sont de loin les plus vaccinés :
(source)plus de 70 % du personnel médical était totalement vacciné au 25 juin (91% de première dose) contre 51 % du personnel non soignant (66 % pour les primo-vaccinés) et 39 % du personnel non médical (infirmiers, aides-soignants…). Enfin, parmi ces derniers, 54 % n’auraient reçu qu’une seule injection
Faut croire qu'une partie des soignants "non médicaux" prennent les médecins pour des abrutis. Mais dans ce cas je ne sais pas ce qu'il font dans ce métier...
Les personnes qui ne se font pas vacciner, ce sont plutôt eux qu'ils mettent en danger, ou les autres qu'ils peuvent contaminer, ou c'est kif-kif ?
Les infirmiers appartiennent au personnel "non médical" ?39 % du personnel non médical (infirmiers, aides-soignants…).
Dernière modification par Mickey-l.ange ; 25/07/2021 à 13h59.
Parce que sans doute tu places le curseur au niveau de l'équité alors que pour cela il faut aussi remettre en cause le principe de droit fondamental de chaque personne de disposer à sa guise de son propre corps. C'est admissible en situation de crise, s'il n'y a pas d'autre solution uniquement.
Sans doute peut-on y voir une défiance envers l'industrie pharmaceutique suite à tous les scandales et événements malheureux qui ont émaillé le passé et donc restent à l'affut de ce qui pourrait survenir dans le futur (Sang contaminé, Mediator, Lancet, Levothyrox, Distilbene, Depakine, Chloroquine, Remdesivir, Vioxx, Tamiflu, Hormone de croissance, Thalidomide, etc...). J'en oublie plein dans cet inventaire à la Prévert, mais comment veux-tu que la parole de confiance circule sans problèmes désormais? On peut croire que les Britanniques ont meilleure capacité de confiance que les Français, ou alors ils ont été plus durement choqués par les hécatombes de leurs vagues de Covid précédentes, eux qui ont le chic de la primeur et d'inaugurer l'expansion des nouveaux variants...
Les deux s'ils ne prennent pas des mesures barrière d'autant plus rigoureuses.
Cela montre bien que ce n'est pas qu'un problème d'irresponsabilité et d'égoïsme de leur part.
Comme je suis surpris de voir le discours sur le taux de protection des vaccins évoluer dans le temps, en fait, au contact de la réalité. Un virus s'affaiblit en variant, alors le taux de protection des vaccins augmente d'autant ?
Je suis tout à fait d'accord avec Yves, un test PCR à J-2 est un non sens total. Quid de la contamination dans les deux derniers jours avec une période d'incubation de 15 jours ?
Quant à l'avenir, tout contact avec une personne vaccinée, sanguin, liquides corporels, relations sexuelles (qui génèrent un contact entre muqueuses), entraînera un échange de virus portés et peut-être d'anticorps.
Si cela est le cas pour les anticorps, alors l'organisme récepteur réagira avec ses anticorps à l'agression subie :
- par bonheur si les anticorps sont compatibles et se "reconnaissent".
- par malheur s'ils ne se "reconnaissent pas".
Le deuxième cas est identique à un organisme comportant des anticorps naturels qui est attaqué par un pseudo-virus introduit, par injection, par exemple.
ça dépend de leur niveau de vulnérabilité. Les jeunes en bonne santé ne risquent pas grand-chose en cas d'infection (même si un Covid "modéré" ça peut ne pas être agréable à vivre et ça peut laisser des séquelles), donc ne se mettent pas (trop) en danger. Les personnes à risque (âgées ou souffrant de comorbidités) se mettent évidemment en danger. Mais tous mettent en danger les autres...
Dans le sens "non médecin", je suppose.Les infirmiers appartiennent au personnel "non médical" ?
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
Ce n'est pas qu'un problème d'équité, mais aussi d'efficacité : ce n'est pas en vaccinant les seuls "soignants" et autre personnes en contact avec des personnes à risque que ces dernières n'auront pas d'autres (nombreuses) occasions de rencontrer le virus. Cela rend d'autant plus incompréhensible (et en apparence inéquitable) une obligation limitée à ces catégories.
La seule autre est l'obligation vaccinale pour les personnes à risque. Et là on ne peut pas parler de rupture d'équité, puisque le but de la vaccination est avant tout de les protéger elles (et de protéger la société du coût qu'entraîne leur protection si elles ne sont pas vaccinées; je ne parle pas que du coût financier en cas d'hospitalisation mais aussi du besoin de maintenir des mesures préventives, contraignantes pour tous, tant qu'il y a un risque de saturation des hôpitaux).C'est admissible en situation de crise, s'il n'y a pas d'autre solution uniquement.
Mais je suppose que s'il était question d'une telle mesure il y aurait encore une levée de boucliers...
ou tout simplement qu'ils sont plus pragmatiques et moins sensibles aux thèses complotistes. Ou moins enclins à considérer qu'une mesure est forcément mauvaise lorsqu'elle vient d'un gouvernement qu'ils n'aiment pas (et qui n'a pas non plus toujours brillé dans sa gestion de la crise) ou de quelque "autorité" ou institution que ce soit.On peut croire que les Britanniques ont meilleure capacité de confiance que les Français, ou alors ils ont été plus durement choqués par les hécatombes de leurs vagues de Covid précédentes,
Mais n'allons pas plus loin, ça serait hors-sujet et hors charte.
Le gouvernement allemand met aussi (un peu plus) la pression...
(je n'ai pas accès à la suite de l'article)Les personnes non-vaccinées contre le Covid-19, même testées négatives, pourraient être confrontées à de nouvelles restrictions si les infections continuent à augmenter en Allemagne, a déclaré le chef de cabinet de la chancelière Angela Merkel. «Les personnes vaccinées auront certainement plus de liberté que les personnes non-vaccinées», a souligné Helge Braun, dans le journal Bild am Sonntag de ce dimanche.
Actuellement, les Allemands peuvent se rendre dans des lieux publics s’ils sont totalement vaccinés ou qu’ils présentent un test négatif récent. Mais si les taux d’incidence continuent à augmenter, les personnes non-vaccinées devront réduire leurs contacts, a déclaré Helge Braun. «Cela pourrait signifier qu’accéder à des endroits comme les restaurants, les cinémas et les stades ne serait plus possible...
Une efficacité se mesure lorsqu'on a défini un but précis à atteindre. En l'occurrence à part ne pas retomber sur la saturation des hôpitaux on n'en voit pas d'autres.
Evidemment que l'obligation vaccinale complète serait un must, mais si le but fixé est atteignable autrement pourquoi briser un respect du droit fondamental de l'individu?
Là aussi c'est un problème de droit individuel: chacun peut rester maitre de sa propre acceptation du risque. Sinon il faut contraindre beaucoup d'autres catégories pour beaucoup d'autres risques.
Je ne voulais pas entrer dans ces considérations économiques, hors chartes et mises à l'écart par nos décideurs, mais ne pas oublier que ce cout est potentiel et pas effectif. Actuellement un non-vacciné prudent (ermite si tu veux), contribue par ses impôts à payer nos vaccins et nos tests sans rien couter à la société.
Il est des sujets où la recherche du responsable payeur est bannie du principe de solidarité, sachant que forcément il y aura des déséquilibres, des bénéficiaires et des perdants du système. Ceci reste valable jusqu'à ce que le déséquilibre devienne insupportable pour le système et le mette en péril, et pas sur le sentiment d'inégalité de surcout d'un vacciné face à un non-vacciné.
Quel droit fondamental ?
Et du droit qu’ils s’arrogent de faire courir des risque aux autres.
Mon droit, c’est de ne pas accepter le risque qu’ils me font courir, si je faisais éventuellement partie des quelques % que le vaccin protège mal.
Dernière modification par JPL ; 25/07/2021 à 17h02.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Puisque tu parlais de hors charte plus haut, j’ai du mal à voir l’aspect scientifique de ce genre de remarque.
Pour le reste, les personnes en question restent contagieuses, elles font circuler l’épidémie, favorisent l’apparition de nouveaux variants, seront éventuellement hospitalisées ce qui est problèmatique.
On ne peut pas ramener leur comportement à un choix individuel.
Toutes ces arguties, oui mais... ou oppositions exprimées de façon parfois scandaleuse se résument en un seul mot : MOI, MOI, MOI, et uniquement moi.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Je trouve aussi. Si pratiquement tout le monde est vacciné il n’y a plus de Covid.
C’est gratuit, facile à faire, on est déjà tous vaccinés contre plein de maladies, on fait éventuellement nos rappels sans se poser de question et on vaccine les enfants très tôt.
J’ai du mal à voir un argument rationnel dans tout ce que j’ai lu jusqu’à présent ici et ailleurs pour ne pas se faire vacciner quand on peut.