Salut,
Merci Oui c'est faisable, une simple symétrie. Je l'ai fait à cette échelle pour que les textes restent lisible.
Maintenant on peut voir plus global si tu veux. J'ai juste une question, tu veux 8 cadrans comme celui là ?... Parce la figure 3D admet une première symétrie verticale (amorcée dans le dessin), une seconde selon r (à ce stade on a un genre de Kruskal à quatre régions) et enfin une troisième selon R*. Chaque projection plane admet deux symétries et l'image obtenue ne serait qu'une "face" de l'objet 3D complet : si on applique deux symétries à chaque projection, les régions représentées ne seront pas les mêmes (ou elles seront confondues tel Schw qui "superpose" les régions I et III). En gros, faut il chercher une "extension" supplémentaire par rapport à Kruskal ou est-ce que je me limite aux deux premières symétries décrites ?
Oui ça correspond bien à la définition de NovikovA constant, A(r) (donc r(R*) dans tes notations) est une parabole, en particulier pour , qui correspond à la culmination ()
Pour toi eta constant c'est un plan qui est orienté (pas trouvé...) ?
Est ce que tu es en train de me dire que la formule de A est une "solution" (comme Schw) et que E définit une métrique (cad un repère comme Schw, ou Kruskal, Penrose etc...). Qu'en fait A ne dépend que de M ?On a :
parce que , solution de l'équation d'évolution, imposée par les maths et
, choix arbitraire de l'expression de E.
S'il faut se retaper un Novikov-like sans formule analytique c'est sans moi…On pourrait avoir une hyperbole à la place de la parabole par exemple (…)
J'avais imaginé un autre genre de repère dans lequel on aurait de vraies cycloïdes (car seule la noire en est une pour l'instant)
Je ne suis pas sur que le jeu en vaille la chandelle, on pourrait en faire une infité
Oui je sais, j'essaye de ne pas m'aveugler...elle est pleine d'arbitraire (expressions de et E), mais ça donne un angle de vue original.
Ok donc tu confirmes que R* est bien ton étiquetage r. Je comprend mieux le sens du "comobile" dont vous parliez, c'est leur coordonnée en abscisse suivant R*. J'étais troublé par la différence entre les deux derniers graphs : chute depuis Rmax ou depuis l'infini, il y a vraiment deux écoles qui ont l'air incompatibles.Et oui, c'était bien ce que je cherchais à te faire voir. Et de là à te faire comprendre A' et , les pentes de A suivant r et suivant (les pentes de r suivant R* et dans tes notations).
Ok je crois que j'ai compris cette étape. Il me semble que pour poursuivre il faudrait passer à un exemple concret de LTB, avec trois coques de matière.non, pas de problème, l'étiquette est très versatile (…)
[HS : d'aillleurs, si on devait les faire chuter depuis Rmax à t=0, comment auraient elles pu arriver jusqu'ici ? L'existence de matière n'est elle conditionnée par celle d'un trou noir éternel (dont elle est issues) ]
Merci
Mailou
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