Ca va accélérer l'approche des limites!
C'est un sujet assez tabou dans nos sociétés!Je suis comme vous particulièrement pessimiste. Les limites environnementales (ressources/nombres d'humains) ne se feront pas sentir chez nous en premier, mais dans les pays du sud, et ils seront bien obligés de venir chez nous échapper à ce qui deviendra insupportable chez eux. Simple constatation, pourra-t-elle aider à la prise de conscience ?
Facile de citer les "mauvais" indicateurs. Mais, "chez nous", la mortalité infantile n'a jamais été aussi basse, en fait la mortalité à tous les âges jusqu'à au minimum 40 ans n'a jamais été plus faible. Le nombre de personnes avec des handicaps graves est en régression (dû par exemple à la quasi éradication de la polyo, ou au contrôle de la toxoplasmose, chirurgie réparatrice, ...). Etc, etc. Tout bien compris, malgré quelques mauvais indicateurs, on ne s'est jamais mieux porté!N'empêche que, concernant la santé globale, elle est partie pour s'altérer de plus en plus rapidement chez nous (troubles comportentaux, obésité, maladies auto-immunes, cancers...).
La diminution de la culture du maïs n'aurait pas nécessairement des conséquences négatives! L'exemple n'est pas le meilleur!ce qui portera préjudice aux culture irriguées (maïs...)
La faible augmentation démographique est plutôt une bonne chose. Et elle n'est pas due à la baisse de fertilité, mais bien aux choix des gens quand au nombre d'enfants.. Possibilité d'avoir des enfants ? 18 000 fécondations in vitro/an en France, et ce nombre ne cese d'augmenter, au point d'atteindre 3 % des naissances. Mais que se passe-t-il ??? La baisse de la fertilité occidentale, conséquence à mon avis de la pollution, est neutralisée par la médecine et compensée par l'immigration.
A mélanger tous les problèmes en vrac, ce qui ressort c'est plus du catastrophisme qu'autre chose!
Cordialement,
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