infini pour toujours
toute chose à des limites
son debut est son dernier
un espace obligé à se refermer sur lui meme
Avec une brique, et une règle : on peut poser une brique sur une autre brique.
Combien de piles peut-on construire avec la définition précédente (version pédante : monoïde libre a un générateur).
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
pas tout a fait, une probabilité ne se calcule que modulo certaines hypothese qui peuvent se reveler fausse, donc proba > 0 n'implique pas necessairement existence...
Nul besoin d'invoquer les réels (le texte ci-dessus est faux, on ne peut construire que des rationnels avec des suites finies de décimales).
Le nombre de textes que l'on peut écrire est clairement infini, et ce sans avoir besoin d'ajouter de symbole à la liste, fini, des symboles utilisés.
Cordialement,
Edit: Croisement, ça va trop vite...
Dernière modification par invité576543 ; 23/07/2007 à 13h36.
Vas-y, propose un exemple... Dans le cadre strict de la théorie des probabilités au sens mathématique, bien sûr. Pas avec un usage figuré si courant dans des discussions comme celles-ci et d'autres...
Cordialement,
certes, mais on n'a jamais dit qu'il devait y avoir une quantité finie de decimales.... c'etait juste pour illustrer que meme avec un alphabet fini et une seule regle (concatener des suite des chiffres) on peut construire des trucs tres grands.Nul besoin d'invoquer les réels (le texte ci-dessus est faux, on ne peut construire que des rationnels avec des suites finies de décimales).
Le nombre de textes que l'on peut écrire est clairement infini, et ce sans avoir besoin d'ajouter de symbole à la liste, fini, des symboles utilisés.
Cordialement,
au contraire, il n'y a qu'en mathematique qu'on peut affirmer quelque chose de maniere aussi tranchée. dans la "vraie vie", les probas au sens figuré comme tu dis se calculent forcement dans le cadre d'un modele. tant qu'on ne l'a pas observé, la probabilité d'existence d'un objet est a prendre avec des pincettes, encore plus que les autres modeles...
J'avais compris qu'il objectait à
Cordialement,Envoyé par MMySoit il s'agit de la probabilité de trouver une Terre dans l'Univers qui est en cherchant d'étoile en étoile, auquel cas une probabilité non nulle est strictement équivalente à l'existence, et on ne peut pas faire l'hypothèse de l'un sans faire l'hypothèse de l'autre.
Ce que je dis c'est que c'est la terminologie "probabilité d'existence" qui est à prendre avec des pincettes (et même plutôt à ne pas prendre du tout), que la probabilité d'existence elle-même.au contraire, il n'y a qu'en mathématique qu'on peut affirmer quelque chose de manière aussi tranchée. dans la "vraie vie", les probas au sens figuré comme tu dis se calculent forcement dans le cadre d'un modèle. tant qu'on ne l'a pas observé, la probabilité d'existence d'un objet est a prendre avec des pincettes, encore plus que les autres modèles...
Le mot "probabilité" en tant que nombre précis (y compris "non nul") ne devrait jamais être utilisé en dehors du cadre mathématique.
Cordialement,
Dernière modification par invité576543 ; 23/07/2007 à 13h45.
tout a fait. Ce qui est strictement equivalent a l'existence, c'est une probabilitée de 1. je pense que tu commet une des erreurs signalée par mediat :
- un certain evenement A est possible
- il se produit une infinité d'evenement
- puisque A est possible, il se produira forcement au cours de cette serie d'evenement.
mais ca ne change rien au fait que ce que tu as dit est fauxCe que je dis c'est que c'est la terminologie "probabilité d'existence" qui est à prendre avec des pincettes (et même plutôt à ne pas prendre du tout), que la probabilité d'existence elle-même.
Le mot "probabilité" en tant que nombre précis (y compris "non nul") ne devrait jamais être utilisé en dehors du cadre mathématique.
Cordialement,
""univers infini => toute chose possible dans l'univers se produira""
Là tu triches car les chiffres 0 à 9 ne sont pas des "briques" en quantité finie mais juste des symboles qui peuvent être instanciés à l'infini, on est loin des nos atomes d'univers qui sont en nombre fini si l'univers est fini.
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Non.tout a fait. Ce qui est strictement equivalent a l'existence, c'est une probabilitée de 1. je pense que tu commet une des erreurs signalée par mediat :
- un certain evenement A est possible
- il se produit une infinité d'evenement
- puisque A est possible, il se produira forcement au cours de cette serie d'evenement.
Je dis simplement que si la probabilité de tirer un 6 sur un dé à six faces est non null, il existe nécessairement une face marquée 6 sur le dé.
Cordialement,
Pourquoi? Tu connais un cas de processus stochastiques qui n'est pas mathématisable correctement? Comme souvent en physique, qu'on puisse le faire est suffisant, pas besoin de leur demander le formalisme.
Mais ici, tu m'expliqueras comment formaliser la notion de probabilité sur des Univers alternatifs...
Cordialement,
non, desolé, ca ne revient pas a ca. m'enfin passons, ca n'est pas tres grave !
predigny: je ne triche pas, je reponds a une question posée. si ca ne te convient pas, repose une question !
Qu'ai-je dit qui était faux?
Cela: ?
"Soit il s'agit de la probabilité de trouver une Terre dans l'Univers tel qui est en cherchant d'étoile en étoile, auquel cas une probabilité non nulle est strictement équivalente à l'existence, et on ne peut pas faire l'hypothèse de l'un sans faire l'hypothèse de l'autre."
Expliques moi mieux pourquoi c'est faux, en lisant bien ce qui est écrit
On ne peut que répéter que c'est n'importe quoi...""univers infini => toute chose possible dans l'univers se produira""
Cordialement,
Je ne comprends pas cette remarque, les probabilités sont parfaitement mathématisées et la stochastique se basent dessus, c'est tout ce que je voulais dire : le mot probabilité a droit de cité en physique.
Tu veux dire que les physiciens appliquent bêtement les méthodes mises au point par les mathématiciens, sans même les comprendre ?
Je ne comprends vraiment ce que cette remarque vient faire ici (je n'ai jamais parlé d'univers alternatifs), mais surtout je ne comprends absolument ce que cela veut dire.
Cordialement
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
bah oui, c'est bien ce que j'ai dit. quel que soit le sens que tu donnes a la notion de proba d'existence, une probabilité non nulle n'est pas equivalente à l'existence. une proba non nulle implique que l'existence est possible, mais meme dans un espace infinie cette existence n'est pas assurée.
et je ne comprends pas le sens de ton "tel qui est"....
Il y a incompréhension quelque part. Je n'ai écrit ou sous-entendu que le mot probabilité n'avait pas droit de cité en physique, il me semble.
Reprenons autrement alors.Je ne comprends vraiment ce que cette remarque vient faire ici (je n'ai jamais parlé d'univers alternatifs), mais surtout je ne comprends absolument ce que cela veut dire.
Comment comprends-tu le mot "probabilité" dans la phrase de Prédigny?
"Ce n'est qu'une question de probabilité pour que des atomes dans l'univers s'assemblent pour former une autre terre. Certes il y aura beaucoup de zéros dans la probabilité mais si l'univers est infini ça arrivera forcément ; l'infini est inépuisable."
Cordialement,
C'est pourtant ce que j'avais compris.
Il me semble avoir suffisament combattu cette confusion; je ne vois pas pourquoi tu veux que je justifie les phrases de qui que ce soit autre que moi-même ???Comment comprends-tu le mot "probabilité" dans la phrase de Prédigny?
"Ce n'est qu'une question de probabilité pour que des atomes dans l'univers s'assemblent pour former une autre terre. Certes il y aura beaucoup de zéros dans la probabilité mais si l'univers est infini ça arrivera forcément ; l'infini est inépuisable."
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Une proba non nulle implique que l'élément appartient à l'espace probabilisé, qu'il existe dans l'espace probabilisé.bah oui, c'est bien ce que j'ai dit. quel que soit le sens que tu donnes a la notion de proba d'existence, une probabilité non nulle n'est pas equivalente à l'existence. une proba non nulle implique que l'existence est possible, mais meme dans un espace infinie cette existence n'est pas assurée.
L'Univers tel qu'il est, pas un Univers hypothétique.et je ne comprends pas le sens de ton "tel qui est"....
Soit l'espace probabilisé est l'Univers tel qu'il est, soit il porte sur une multiplicité d'Univers hypothétiques.
Si c'est l'Univers tel qu'il est, proba non nulle => existence, tout comme tirer un 6 non nul => il y a une face marquée 6.
Le passage à l'infini ne change que dans l'autre sens, à savoir existence n'implique pas probabilité non nulle.
Cordialement,
Si ce que tu veux dire, en étant un peu plus général, est que les probabilités ne devraient s'utiliser que dans un cadre formel, alors je signe des deux mains (j'ai réussi à faire dire à des élèves de première que la probabilité pour que le soleil se lève (que sa lumière soit visible) le lendemain était de 1/2 ; ils ont commencé à réfléchir quand j'ai proposé un pari...)
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Je vais essayer d'être plus clair.
Quand on calcule une soit-disante probabilité de quelque chose dans l'Univers, le calcul ne porte pas sur ce qui est, pour la bonne et simple raison qu'on ne le connais pas, mais sur ce qui est possible. Et cela revient à faire des probabilités sur des, pluriel, univers hypothétiques.
Et toute la confusion dans ce genre d'affirmation vient de là.
Cordialement,
Oui. Et l'usage par Prédigny est soit non formalisable, soit amène tautologiquement la conclusion.
J'en attendais pas moins. Je m'étais mal exprimé..., alors je signe des deux mains
Cordialement,
euh... tu sais que l'espace probabilisé et l'univers sont 2 choses differentes ?? dire qu'un evenement existe dans l'espace probabilisé ca n'a pas vraiment de sens... pour reprendre ton exemple, la question n'est pas de savoir s'il y a une face marquée 6, mais de savoir si le 6 va sortir.Une proba non nulle implique que l'élément appartient à l'espace probabilisé, qu'il existe dans l'espace probabilisé.
L'Univers tel qu'il est, pas un Univers hypothétique.
Soit l'espace probabilisé est l'Univers tel qu'il est, soit il porte sur une multiplicité d'Univers hypothétiques.
Si c'est l'Univers tel qu'il est, proba non nulle => existence, tout comme tirer un 6 non nul => il y a une face marquée 6.
Le passage à l'infini ne change que dans l'autre sens, à savoir existence n'implique pas probabilité non nulle.
Cordialement,
donc ton affirmation "Si c'est l'Univers tel qu'il est, proba non nulle => existence" est fausse. un espace probabilisé c'est un modele. rien de plus. si je prends un de pipé, et que je le modelise en supposant l'equiprobabilité de chacune des faces, j'aurais un mauvais modele, le tirage 6 existera dans mon espace probabilisé, mais pourtant le 6 ne sortira jamais, quand bien meme je lancerais le de une infinité de fois.
et meme avec un "bon" modele, ca ne suffit pas pour conclure a l'existence. ce n'est pas parce qu'on suppose l'univers infini que tout ce qui est possible (<=> probab non nulle) s'y produit.
admettons, meme si c'est moyen clair, mais la question originale (et il semble bien que tes affirmations aussi) portait sur "notre" univers reel, (c'etait bien le sens de ton "tel qu'il est", en plus ???)Je vais essayer d'être plus clair.
Quand on calcule une soit-disante probabilité de quelque chose dans l'Univers, le calcul ne porte pas sur ce qui est, pour la bonne et simple raison qu'on ne le connais pas, mais sur ce qui est possible. Et cela revient à faire des probabilités sur des, pluriel, univers hypothétiques.
Et toute la confusion dans ce genre d'affirmation vient de là.
Cordialement,