Yapluka.
Si avant, ce qu'il s'est déjà passé, n'est pas le passé, c'est quoi ?
Ce n'est certainement pas moi qui affirme l'existence d'une chose qu'on ne peut pas percevoir. Tu as dis que tu percevais le temps, or c'est faux car comme je l'ai déjà dis la perception implique un récepteur sensoriel. Or, nous n'avons aucun sens pour le "temps". Donc tu peux seulement dire que tu as une impression du temps, mais pas une perception. Ce qui est totalement différent car une impression est du domaine de la subjectivité, donc de la psychologie.
J'ai déjà défini ce que j'entends par réalité.
C'est surtout John McTaggart qui a fait cette distinction dans un article de 1908.
Voir par exemple : http://philodutemps.free.fr/?p=116
C'est la mémoire qui nous permet de ressentir la notion de temps non ? elle ordonne les "images" que nous nous avons de notre interaction avec l'environnement.Ce n'est certainement pas moi qui affirme l'existence d'une chose qu'on ne peut pas percevoir. Tu as dis que tu percevais le temps, or c'est faux car comme je l'ai déjà dis la perception implique un récepteur sensoriel. Or, nous n'avons aucun sens pour le "temps". Donc tu peux seulement dire que tu as une impression du temps, mais pas une perception. Ce qui est totalement différent car une impression est du domaine de la subjectivité, donc de la psychologie.
Patrick
Je ne demande pas que quelqu'un le dise mais que ce soit démontré.Ce n'est certainement pas moi qui affirme l'existence d'une chose qu'on ne peut pas percevoir. Tu as dis que tu percevais le temps, or c'est faux car comme je l'ai déjà dis la perception implique un récepteur sensoriel. Or, nous n'avons aucun sens pour le "temps". Donc tu peux seulement dire que tu as une impression du temps, mais pas une perception. Ce qui est totalement différent car une impression est du domaine de la subjectivité, donc de la psychologie.
Je lis encore que quelqu'un ne vois pas/ne comprend pas ... donc ça n'existe pas et c'est très très loin d'être le début d'un commencement de démonstration.
Par ailleurs, j'ai bien indiqué que j'impliquais les récepteurs sensoriels dans cette sensations/perception mais il est simple de ne pas voir les démonstrations qui gênent.
Ah oui, il faut lire, évidemment ...Le temps, c'est ce qui fait par exemple et entres autres, que je répond à la question après qu'elle aie été postée et avant ma mort et après ma naissance.
Que je mange quand j'ai faim, que je cultive quand c'est la saison, que je dors quand j'ai sommeil, que je distingue des perceptions de mes sens aux même endroits et parfois identiques mais qui ne sont pas simultanées, etc, etc etc etc, etc ...
Mais je lis un gros mélange de mots qui ne m'expliquent toujours pas pourquoi je vais mourir après ma naissance ou dans n'importe quel ordre puisque le temps n'existe pas.
En gros :
Perception = récepteur sensoriel (au passage, il n'existe pas de galaxies ni d'atomes comme affirmé plus haut puisque les récepteurs ne permettent justement pas de les percevoir).
Pas de vie, pas de pensées, pas de raisonnement, etc ... puisqu'il n'y a pas de récepteur pour ça non plus.
Quand on ferme les yeux/dors/dans un caisson d'isolation sensoriel, plus rien n'existe puisqu'on ne ressent plus rien.
Et puis, chaque être humain ne peut avoir qu'une seule et unique perception puisque deux perceptions ne peuvent se suivre (a un certain intervalle) ...
Cette définition ?J'ai déjà défini ce que j'entends par réalité.
Insuffisant pour moi.
Et encore des affirmations qui ne sont pas fondées.
Tout ceci s'appelle le changement, la succession, etc. Ce n'est donc pas du temps, à moins que tu dises que le temps est synonyme de changement ou de mouvement ?
C'est un des aspects indispensable.
Pour qu'il y ait changement, il faut qu'il y ait du "temps qui passe" sinon les choses ne changent pas et ne bougent pas.
Ensuite, on peut mettre dessus les mots que l'on veut, ça ne changera pas la réalité (dont je ne lis toujours pas de définition, ni celles des atomes, des galaxies ...).
Ça c'est toi qui le dis. C'est une affirmation gratuite et pas une démonstration ou une preuve. Pourquoi faudrait-il qu'il y ait du temps (et qu'est-ce donc que ce temps ?) pour qu'il y ait du changement ? Ce que j'observe c'est du changement, point. Pas du changement avec "temps qui passe". Mais peut-être possèdes-tu un sixième sens que je ne possède pas et qui te permette de voir ce mystérieux "temps qui passe"...
Je ne peux pas naitre et mourir cent ans plus tard en même temps et ce n'est pas une illusion.
Comme je l'ai déjà expliqué quatre fois (plus ?), ce sont tous mes sens et non pas un sens mystérieux qui me permet de le percevoir.
Je fais bien la différence entre percevoir cent fois la même odeur et en percevoir une seule cent fois plus longtemps (ou pendant la même durée mais cent fois plus courte) et ce n'est pas mon nez qui fait un saut quantique.
Mais je peux me tromper et je suis en train de lire 69 fois le même message différent et il n'y a strictement aucune évolution et j'attends encore et toujours le démonstration qui permet d'expliquer ce genre de choses qui n'existent pas.
Ah bah non puisque c'est la même message qui porte le même numéro 69 fois puisqu'il ne peut pas y avoir évolution chronologique.
C'est justement l'intervalle entre deux états ici appelé le changement.Ça c'est toi qui le dis. C'est une affirmation gratuite et pas une démonstration ou une preuve. Pourquoi faudrait-il qu'il y ait du temps (et qu'est-ce donc que ce temps ?)
Ce n'est pas une affirmation gratuite c'est un constat, il ne faut pas confondre les choses a défaut de ne pas les reconnaitre.
Au lieu de renverser encore une fois la charge de la preuve, j'attends encore la démonstration que le temps n'existe pas et il faut aussi que celui qui affirme ça le définisse.
En passant, j'ai des sens magiques : je perçois des odeurs et pourtant ça n'existe pas !
Je n'ai pas non plus de sens de "distances" qui ne doit donc pas exister.
Alors pourquoi je ne constate pas cela ? Pour le moi le temps n'existe pas car c'est aussi un constat : ce que j'observe d'un mouvement n'est que du mouvement, et pas du mouvement dans l'espace et dans le temps, sinon ceux-ci seraient aussi perceptibles que le mouvement lui-même.
Une horloge ne mesure pas et ne montre pas du temps. Une horloge n'est que du mouvement : ça c'est un constat. Qu'il y ait un avant et un après, qu'il y ait de la succession, du changement et du mouvement est aussi un constat. Mais on ne peut pas aller plus loin. On ne peut pas affirmer que l'on constate que le mouvement s'effectue dans le temps ou que le temps est nécessaire au mouvement. Ce genre d'affirmations n'est pas de l'ordre du constat. Il est de l'ordre de la supposition. Donc tout au plus tu peux penser que le temps est nécessaire au mouvement mais pas constater que le temps est nécessaire au mouvement.
Je ne vois pas comment on peut prouver l'inexistence d'une chose. C'est plutôt à celui qui affirme l'existence d'une chose qui doit en apporter la preuve. Par ailleurs, s'il y avait une preuve de l'existence du temps, alors on n'en discuterait pas car tout le monde serait d'accord. Personne ne conteste l'existence des arbres ou des nuages. Et plus personne ne conteste aujourd'hui l'existence des atomes ou des galaxies. Par contre, je suis loin d'être le seul à penser que le temps n'existe pas. C'est dire à quel point l'existence du temps n'est pas aussi évidente que tu veux bien le faire croire (à moins que tu penses que ceux qui défendent cette opinion sont totalement stupides ?).
Cela dépend de la définition que l'on donne à la notion de temps et à la notion de existe. Il y a plusieurs définition possible. seule l'inter-subjectivité/consensus permet de trancher.
Une approche relationnelle de la physique permet de confondre la notion temps local (propre) et les changements effectif des variables d'états. Elle unifie les points de vue pour unifier la physique .
http://forums.futura-sciences.com/de...ml#post3256556
Patrick
Oui je suis tout à fait d'accord.
Si on défini le temps comme une chose différente de la matière et nécessaire au mouvement, alors ce temps là, pour moi, n'existe pas. Et cela n'existe pas car cette "chose" ou cette "substance" n'est pas perceptible par nos sens ou par des instruments scientifiques, qui sont en quelque sorte le prolongement de nos sens.
Ce que je voulais dire c'est par exemple la physique donne plusieurs définition formelle du temps différentes. Le temps définit dans le formalisme de la RG n'est pas le même que le temps définit dans le formalisme de la MQ. Il semble même émerger une troisième définition formelle du temps désigné sous le vocable de "temps thermique" permettant de traduire la propriété constaté à l'échelle macroscopique d'irréversibilité.Oui je suis tout à fait d'accord.
Si on défini le temps comme une chose différente de la matière et nécessaire au mouvement, alors ce temps là, pour moi, n'existe pas. Et cela n'existe pas car cette "chose" ou cette "substance" n'est pas perceptible par nos sens ou par des instruments scientifiques, qui sont en quelque sorte le prolongement de nos sens.
Dire qu'un de ces temps est vrai ou faux n'a pas plus de sens que dire qu'un énoncé est vrai ou faux sans préciser le modèle auquel il fait référence.
Tu semble donner une autre définition (philosophique) du temps. pourquoi pas, mais il faut qu'il y ait consensus pour qu'elle soit accepté.
Patrick
Et comment peut-on vérifier que vous ne constatez pas cela
Et donc vous observez le temps selon toute personne qui accepte que "mouvement" veut dire changement corrélé dans le temps et l'espace.Pour le moi le temps n'existe pas car c'est aussi un constat : ce que j'observe d'un mouvement n'est que du mouvement
Exemple, le TILF
Mouvement : Déplacement (d'un corps) par rapport à un point fixe de l'espace et à un moment déterminé.
La définition fait bien ressortir les idées d'espace et de temps.
Pour que vous puissiez dire "j'observe le mouvement, mais pas le temps", il faut que vous utilisiez une signification du mot mouvement qui n'est le sens commun, qui n'est pas celui du langage utilisé ici pour communiquer.
C'est votre choix. Mais qu'on ne vous comprenne pas en est la conséquence immédiate et inévitable.
Certes. Mais ce genre de raisonnement s'applique tout aussi bien dans le cadre des religions par exemple. Suffit-il que beaucoup de personnes pensent que X n'existe pas pour que tout le monde doive être convaincu que X n'existe pas ???
Les questions ontologiques (ce qui "existe" ou pas) sont des questions ouvertes, sans réponses scientifiques. Même pour un arbre ou un nuage (la position solipsiste nie l'existence des arbres).
Devant ce genre de questions il y a différentes attitudes possibles. Principalement (très grossièrement) le dogmatisme (il y a une réponse parce que...), l'agnosticisme (la question n'a pas d'intérêt) et le scepticisme (la question est intéressante, mais il n'y a pas moyen d'y répondre et la question reste en suspens).
les dogmatiques argüent, argüent, et argüent encore, avec une rhétorique plus ou moins vicieuse, dont le ad nauseam. Et ne prennent en compte que ce qui les conforte dans leur vision.
Les agnostiques vont lire d'autres discussions.
Les sceptiques écoutent les argumentations, d'où qu'elles viennent, les examinent, en montrent l'insuffisance et les mettent de côté en attendant plus d'information.
Ce que je voulais dire c'est que l'affirmation "le temps existe" n'est pas plus vraie, démontrée ou prouvée que l'affirmation "le temps n'existe pas", et que les deux sont autant valables l'une que l'autre.
Ou aussi peu valables l'une que l'autre.
Proverbe : Quand on est sur la route de Beijing et qu'on fait demi-tour, on est toujours sur la route de Beijing.
Ok, mais, par exemple, que signifie t dans v = d/t ? A quoi cela correspond-t-il dans la réalité physique ?Dire qu'un de ces temps est vrai ou faux n'a pas plus de sens que dire qu'un énoncé est vrai ou faux sans préciser le modèle auquel il fait référence.
Tu semble donner une autre définition (philosophique) du temps. pourquoi pas, mais il faut qu'il y ait consensus pour qu'elle soit accepté.
L'unité de temps en physique a toujours été définie par rapport à du mouvement, et les horloges, qui sont les instruments de "mesure du temps", sont toutes faites de mouvement. Le paramètre t se réfère donc toujours a du mouvement. Pourquoi alors ne pas considérer que t correspond au mouvement lui-même puisqu'il s'agit, du point de vue physique, de la seule chose que l'on peut mettre derrière cette variable ?
Par ailleurs, j'aimerais citer ce texte d'un intervenant d'un autre forum à propos d'une discussion similaire, et qui constitue selon moi un argument imparable :
Un processus de comparaison nécessite d'éviter de prendre des carottes comme
étalon pour mesurer des patates. [...] Tu n'as pas d'étalon de temps, tu n'as pas un
"morceau de temps" de référence, comme tu as un "morceau d'espace" que tu
appelles "double-décimètre" pour mesurer les longueurs ou un "morceau de
masse" que tu appelles "kilogramme-étalon".
Tu infères de la comparaison de la dynamique de systèmes, qu'il y existerait
"quelque chose" appelé temps, qui serait physique. Tu n'as aucun droit de le
faire, le temps n'est pas observable. Tu es en pleine tautologie : définir
le temps à partir de mouvements d'objets matériels pour ensuite caractériser
ces mouvements en fonction du temps.
temps ou durée ?
Patrick
Que signifie d dans la même expression ? À quoi cela correspond-t-il dans la "réalité physique" ?
La question si une quelconque donnée apparaissant dans des équations physiques correspond univoquement à une "réalité physique" est celle du "réalisme scientifique" ; c'est une question ouverte, sans réponse consensuelle, et peut-être bien sans possibilité de réponse consensuelle.
L'unité de longueur en physique a été, dans le temps, définie par rapport à une stabilité dans le temps. Pour accepter que quelque chose soit un étalon de longueur, il faut qu'il soit stable dans le temps. Comment montre-t-on qu'un étalon de longueur est stable dans le temps ? Par "absence de mouvement" ??? (E pur si mueve, l'étalon de longueur...)L'unité de temps en physique a toujours été définie par rapport à du mouvement
À ce jour, l'unité de longueur est définie par une horloge Comment vous faites entrer dans votre "argument imparable" que les spécialistes de la mesure (les métrologues) aient abandonné les "double-décimètres" au profit d'un étalon de fréquence ???
Parce ce que des mouvements, il y en plein, et que ce l'un des aspects qu'ils ont en commun est appelé "temps".Pourquoi alors ne pas considérer que t correspond au mouvement lui-même puisqu'il s'agit, du point de vue physique, de la seule chose que l'on peut mettre derrière cette variable ?
Comment caractérisez-vous le "mouvement" dans l'émission radio-active du carbone 14, une des manières de mesurer des durées ?
Bien sûr, puisque toute parade sera considérée invalide !qui constitue selon moi un argument imparable :
Un morceau de temps, c'est une portion de ligne d'Univers. Ben oui, ça ne se tient pas dans la main, ça ne vend pas, ça ne se jette pas par terre et ne peut pas le peindre en bleu marine. Pas plus qu'un morceau de température, ou un morceau de pression, ou un morceau de force, etc.
Alors qu'est ce qui peut bien faire que cette réponse arrive après mon message ?
C'est bizarre ...
Comment pouvez vous expliquer aussi que vous ne soyez pas mort avant votre naissance, que toute votre vie soit rythmée par des périodes de sommeil, d'activité (repas, repos, travail...), etc ... séparées par des durées et cela même si vous ne faites strictement aucun mouvement.
Vous pouvez encore nier tout cela ad nauséaum mais le fait est le même si vous êtes incapable de le constater (enfin, c'est encore une de vos affirmations, moi j'ai décrit le déroulement d'une vie telle que tout le monde la connait).
Quel mouvement peut donc bien m'indiquer une horloge a affichage digital (je précise parce que je vois arriver l'amalgame gros comme une maison) ?
J'aimerais bien savoir aussi comment vous constatez un mouvement et comment on peut les différencier s'il n'y a pas de temps.
Qu'est ce qui peut bien séparer deux mouvements identiques au même endroit ?
Ben oui, ils sont séparés par une durée et c'est justement ce qu'on appelle le temps donc il existe bien.
Merci du constat, comme quoi ça ne sert a rien de le nier.
Alors on ne peut pas constater non plus le mouvement puisque celui-ci est un changement (de position) durant un intervalle (de temps).
Je retiens donc que cette "démonstration" nie le temps après l'avoir mis en évidence.
Alors j'attends encore la définition du mouvement "sans" que le temps existe.
Ah oui, c'est vrai que ceux la http://www.cnrs.fr/cnrs-images/physi.../ihatomiq.html , http://www.bipm.org/fr/si/si_brochur...-1/second.html , par exemple et entres autres physiciens, sont des abrutis qui croient n'importe quoi.
Il va falloir que vous leur expliquiez aussi que toutes leurs théories sont complétement fausses (puisqu'elles font intervenir une variable qui ne correspond a rien, n'existe pas et n'est donc pas mesurable).
Non, vous prétendez qu'il n'existe pas, vous l'affirmez, vous ne le démontrez pas et vous le répètez ....
Et je remarque que toutes vos démonstrations sont basées sur des affirmations péremptoires ce qui les valident à vos yeux.
Exemple :
Non, je prétends que les nuages n'existent pas et c'est vrai puisque je le prétends sinon je ne serais pas la à affirmer le contraire.
Et avec cette même démonstration, j'affirme que le temps existe donc c'est vrai.
Je ne peux pas les manipuler, je ne peux pas les percevoir avec l'un de mes sens sans instruments donc ça n'existe pas.
Et c'est vrai puisque sinon on ne serait pas la à en discuter.
J'aime bien aussi cette tentative désespérée : si d'autres le disent et si les autres ne sont pas stupides donc ils ont raison donc c'est "vrai".
Je ne peux pas me prononcer en public mais mis à part les affirmations non fondées scientifiquement on ne voit toujours pas la démonstration physique qui infirme toutes les théories faisant intervenir le temps et indiquerait alors que tous les autres sont stupides.
Edit : caduque avec les réponses précédentes.
Pas d'emportement Myoper, s'il-te-plaît.Ah oui, c'est vrai que ceux la http://www.cnrs.fr/cnrs-images/physi.../ihatomiq.html , http://www.bipm.org/fr/si/si_brochur...-1/second.html , par exemple et entres autres physiciens, sont des abrutis qui croient n'importe quoi.
Il va falloir que vous leur expliquiez aussi que toutes leurs théories sont complétement fausses (puisqu'elles font intervenir une variable qui ne correspond a rien, n'existe pas et n'est donc pas mesurable).
Les arguments d'autorité ne peuvent jamais faire véritablement avancer un débat sur le "fond".
Je t'invite par contre à lire très attentivement les messages d'Amanuensis, qui constituent une réponse argumentée et enrichissante pour tous, y compris pour moi, bien que je ne partage pas une partie de son point de vue.
Cordiales salutations.
Je n'ai jamais prétendu vouloir faire de démonstration qui infirme toutes les théories faisant intervenir le temps. Je pose juste cette question : que désigne le paramètre t en physique ? Mon opinion est que t ne désigne pas une chose invisible que l'on appelle "temps" mais plutôt le mouvement. Et mes interventions précédentes étaient là pour argumenter dans ce sens.
Cela a déjà été dit, et aussi les réponses : un mouvement fait toujours intervenir une durée dans le temps.
Et le t dans les équations désigne la durée à partir d'un évènement de référence. Cette durée appartient à la droite réelle, c'est à dire qu'elle peut être à priori aussi petite ou grande que l'on veut.
Dernière modification par invite7863222222222 ; 07/11/2010 à 17h49.
En fait, c'est la notion de "présent" qui serait remise en cause.
Si avant, ce qu'il s'est déjà passé, n'est pas le passé, c'est quoi ?
Il ne s'agit pas d'abolir la chronologie avant/pendant/après. Mais se demander "le temps existe-t-il ?", serait se demander "l'écoulement du temps existe-t-il ?", le développement, et de là le "maintenant". Mais le développé existerait bel et bien.
Une température ça correspond à de l'agitation de particules; le temps ça correspond à quoi ? Une "ligne d'Univers" est uniquement un concept mathématique, donc tu rejoins ce que je pense si tu dis que "Un morceau de temps, c'est une portion de ligne d'Univers".Un morceau de temps, c'est une portion de ligne d'Univers. Ben oui, ça ne se tient pas dans la main, ça ne vend pas, ça ne se jette pas par terre et ne peut pas le peindre en bleu marine. Pas plus qu'un morceau de température, ou un morceau de pression, ou un morceau de force, etc.
Non.
Si tu veux, le temps correspond à l'ordre dans lequel se produisent les évènements pour un observateur donné.
Ça c'est la description mathématique du temps, et pas la description physique. Dans la réalité, ça correspond à quoi ?Cela a déjà été dit, et aussi les réponses : un mouvement fait toujours intervenir une durée dans le temps.
Et le t dans les équations désigne la durée à partir d'un évènement de référence. Cette durée appartient à la droite réelle, c'est à dire qu'elle peut être à priori aussi petite ou grande que l'on veut.