Petite rectification, limite hors sujet. Tu te trompes : la libération d'énergie par la réaction entraîne une augmentation de l'agitation des molécules, donc de la chaleur. Cela a l'air d'un détail, mais c'est l'inverse de ce que tu as écrit.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Mais ces questions ne sont plus scientifiques. La science a pour vocation d'expliquer comment fonctionne les choses. Pourquoi l'univers est tel qu'il est de l'ordre de philosophie (ou de la théologie), ce n'est pas une question scientifique.
Il n'est donc pas exclu qu'on puisse un jour comprendre parfaitement comment fonctionne l'univers et que la science s'arrête sans qu'on n'ait répondu à la question de pourquoi il est ainsi.
on peut sortir par l'ésprit ,c'est un trou noir,la gravitation de tous ses composantes est tellement forte que l'éspace -temps est indéfini à l'éxtérieur(au milieu de la terre la force la gravitaion est nulle)la même chose pour nous par rapport à ce trou noir.
C'est cette discussion qui ne va pas échapper au trou noir. Elle gravite autour de plus en plus près... sauf qu'elle ne rayonne pas.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Je plussoie en vert ; de plus le fil tourne en rond.
Le message 153 étant une conclusion non nécessaire mais largement suffisante ici.
C'est un peu prétentieux comme réponse, vu l'immensité du temps qui nous sépare du début de l'univers et l'immensité des phénomènes qui ont eu lieu à ce moment là.
L'univers a 15 milliards d'années, si l'univers avait un an, alors les derniers 1 ans de l'humanité représenterait 2/1000ème de seconde.
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Je n'ai pas dit qu'on y arriverait et encore moins que ce serait facile. Il n'y a aucune prétention dedans ou d'anthropocentrisme. Je dis simplement que l'impossibilité de répondre à la question du pourquoi n'empêcherait pas la science d'être fini.C'est un peu prétentieux comme réponse, vu l'immensité du temps qui nous sépare du début de l'univers et l'immensité des phénomènes qui ont eu lieu à ce moment là.
L'univers a 15 milliards d'années, si l'univers avait un an, alors les derniers 1 ans de l'humanité représenterait 2/1000ème de seconde.
Mais je ne prétend surtout pas que la science aura une fin accessible à l'homme. Juste que votre argument pour dire qu'elle est sans fin n'est pas recevable car vous posez à la science des questions non-scientifiques.
Ce n'était pas vraiment une conclusion. La seule chose que je dis c'est que Evrado conclu trop vite.Envoyé par myoperLe message 153 étant une conclusion non nécessaire mais largement suffisante ici.
De toutes façons, on arrive vite au hors charte avec ce genre de débats parce qu'on atteint la limite entre science et philosophie ou métaphysique.
Par exemple on ne peut pas expliquer le pourquoi des inégalités flagrantes entre les humains, mais ce n'est pas à la science de l'expliquer car il s'agit d'un autre domaine.
Quoique peut être dans l'avenir sciences humaines et sciences rationnelles se rejoindront.
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.
Content de le lire .
Mais ce problème pourrait être plus ou moins facilement contourné en présentant les bases et définitions qui permettraient à e genre de fil de rester dans des bornes scientifiques (ment établies).
L’ambiguïté vient du fait que l'on se refuse à prendre conscience que toute théorie a été bâti sur des nouveaux présupposés métaphysiques/philosophiques en plus des connaissances antérieures que nous avons acquises. Ensuite pour obtenir un degré de confiance dans ces théories il faut faire une mise en cohérence avec de nouvelles observations, déduites de la théorie, qui la (la théorie) confronte au monde empirique.
Cela traduit, ma compréhension, du point de vue de Popper.
Patrick
salut , j'exagere , mais ,d'apres ce lien http://fr.wikipedia.org/wiki/Rasoir_d'Ockham
on choisit le plus simple et on neglige le plus compliqué , chaque specialité choisit ce qui lui convient et neglige les autres , on dirait qu'ils se renferment sur eux memes .ce n'est que dans le cas où deux hypothèses ont la même vraisemblance (ou poids d'évidence) qu'on favorisera l'hypothèse la plus simple (ou parcimonieuse). Il s'agit en fait d'une application directe du théorème de Bayes, où l'hypothèse la plus simple a reçu la probabilité a priori la plus forte.
Salut !
Le rasoir d'Occam s'applique à la méthode scientifique, pas aux différentes disciplines scientifiques.
@ +
Une formulation plus moderne est que « les hypothèses les plus simples sont les plus vraisemblables ». C'est un des principes fondamentaux de la science.(wikipédia)
les hypothéses les plus simples sont nos sciences(pour comprendre l'univers :aspect physique,artistique(symétrie en physique),psychique(beuté des équations),....toutes les science sont des hypothése les plus simples pour comprendre l'univers,esssayer de comprendre ce dérnier on utilisons que le physique contredit les dimensions caractéristique de l'être humain (mental'logique',mat é riél,pshysique)
Désolée, mais c'est totalement in-com-pré-hen-si-ble pour moi.esssayer de comprendre ce dérnier on utilisons que le physique contredit les dimensions caractéristique de l'être humain (mental'logique',mat é riél,pshysique)
Vous pouvez éclaircir?
merci.
"Музыки хватает на всю жизнь, но целой жизни не хватает для музыки"
Rachmaninoff
si on applique le principe 'd'évolution' au idées (scientifiques)(appliqué en biologie,cosmologie(big bang:du gluons au super amas,psychologie ..:les petite 'structure' générent les grandes structures) ,on se rend compte qu'à l'instant même on'ai entrain d'évolué(les idées,théorie..),possible je délire donc mon idées est écarté et d'autre émmergent(compétitions)ou j'ésquesse 'entame' une idées plus générale que la miénne(ce qui se passe en math et en physique,en biologie...),poser la question de fini ou infini revient au même que la question quelle est l'idées initiale qui 'a évolué(relative à nous:antropocentrisme des idéees,sans nous serai une autre question)
Je crois que vous avez une vision très positiviste de la science.
Il me semble que la science c'est une manière particulière de poser des questions et d'y apporter des réponses. Mais elle ne progresse pas de façon continue du vrai vers le faux.
Par exemple, à la question : "La lumière est-elle corpusculaire", Newton, vers 1700 répond : Oui
Maxwell au XIX° siècle répond : Non
La MQ au XX° répond : Oui (aussi).
Donc on a une assertion "la lumière est corpusculaire" qui fait parti du domaine de la science à une époque, qui en est retirée puis ré-intégrée.
Alors bien sûr, entre temps, les explications fournies ont enrichi notre compréhension de la nature de la lumière, et en ce sens, on peut dire qu'il y a progression de la science.
Mais entre Mawell et Newton, il y a simplement occultation d'un certain nombre de phénomènes physiques pour permettre de conserver cette "illusion" de progression de la science.
Vous êtes sûr qu'il existait des phénomènes connus indiquant une nature corpusculaire de la lumière entre Newton et Maxwell? Il me semble que l'effet photoélectrique n'a été vraiment étudié qu'à la toute fin du XIXème siècle, non?
Oui, c'est pour ça que j'ai précisé "valides".Je crois que vous avez une vision très positiviste de la science.
Il me semble que la science c'est une manière particulière de poser des questions et d'y apporter des réponses. Mais elle ne progresse pas de façon continue du vrai vers le faux.
Mais valide, c'est contextualisé dans le temps. Ce qui était valide en 1700 avec Newton, ne l'est plus au XIX° siècle avec Maxwell et l'est de nouveau au XX°.
Peut-on vraiment être sûr que ce qui est présenté comme des certitudes scientifiques actuellement le seront encore dans 50 ans ?
L'effet photoélectrique oui. Mais la diffraction d'un rayon lumineux à travers un prisme était connue depuis longtemps. Et c'est sur cette expérience que Newton concluait à nature corpusculaire de la lumière.
D'ailleurs, je suis curieux de savoir comment ont peut concilier cette diffraction en analysant la lumière que comme une onde.
Edit : j'ai écris une bêtise. La diffraction c'est justement une manifestation du caractère ondulatoire de la lumière. J'essaye de retrouver pourquoi Newton pensait qu'elle était corpusculaire.L'effet photoélectrique oui. Mais la diffraction d'un rayon lumineux à travers un prisme était connue depuis longtemps. Et c'est sur cette expérience que Newton concluait à nature corpusculaire de la lumière.
D'ailleurs, je suis curieux de savoir comment ont peut concilier cette diffraction en analysant la lumière que comme une onde.
Probablement à cause des lois de la réflexion qui font penser à une balle rebondissant avec un angle de réflexion égal à l'angle d’incidence.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Oui, c'est ça, mais pas seulement. Pour Newton, il y avait aussi le fait que la lumière se déplace en ligne droite et l'existence d'un milieu nécessaire pour le caractère ondulatoire.
Et il expliquait la diffraction par le fait que les photons avaient une masse différente en fonction de leur couleur et étaient attirés de façon différente dans le cristal.
La théorie ondulatoire avait aussi des soucis avec la diffraction, parce que ses défenseurs pensaient que la lumière était blanche. ils expliquaient la diffraction par des impuretées du cristal qui altéraient la lumière.
Newton a emporté le morceau quand il a montré qu'avec deux cristaux bien placés, ont pouvait refaire une lumière blanche.
Bon, il n'avait pas tord, mais pour des mauvaises raisons
UN site intéressant sur la question : http://www.thestargarden.co.uk/NewtonAndLight.html
Tu confonds diffraction et réfraction.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Bis répétita : c'est pour ça que j'ai précisé valide, la validité étant, par définition, par rapport à quelque chose et dans ce cadre scientifique, veut dire valide dans le contexte ("dans le temps", ou, plus "scientifiquement" par rapport aux connaissances de l'époque) mais n'est pas et en aucun cas, une certitude.Mais valide, c'est contextualisé dans le temps. Ce qui était valide en 1700 avec Newton, ne l'est plus au XIX° siècle avec Maxwell et l'est de nouveau au XX°.
Peut-on vraiment être sûr que ce qui est présenté comme des certitudes scientifiques actuellement le seront encore dans 50 ans ?
L'idée que la Terre est ronde est une certitude scientifique pour encore quelques milliers d'années.
On peut douter de certaines théories tant qu'on n'en n'a pas la certitude absolue.
Travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins.