Bonjour.
Je ne partage pas cet avis:
- Les temps de déplacements restent pour la plupart long par rapport au temps donné pour ce faire et sa finalité (transports quotidiens chronophages: qui utilisent pour rien d'autre une part significative de la journée et qui pourrait être employé avec profit autrement).
- la sécurité du transport reste faible (morts, blessés graves, blessés moins graves qui se comptent respectivement par milliers, dizaines de millier par an, etc., rien que dans un pays comme la France).
- Utilisation délétère pour la santé (pollution qui réduit la qualité et la quantité de vie des utilisateurs et des riverains, indépendamment des risques inhérents aux transports).
- Utilisations massives de ressources non renouvelables qui n'ont pas trouvé de remplaçants et dont la fin est en vue.
- Modification de notre environnement demandant un entretien et nécessitant une adaptation de notre part (urbanisation, effet de serre, autres pollutions...) qui coute cher en temps, ressources et santé également.
- Finalité du transport pas forcément obtenue (effet délétère du type accident ou mauvaise circulation (retard)) avec des conséquences pouvant être sans commune mesure avec le but du transport (travail perdu, vie terminée ou gâchée, etc...).
- On attend toujours les livraisons (...): il n'a pas été inventé de transport qui permette d'éviter cette attente.
Par définition, ce qui sera inventé ne sera connu que quand ce sera inventé, sinon, ce n'est plus à inventer.
Les améliorations visées par ces inventions non encore inventées donc encore inconnues viseraient tous les lourds problèmes cités plus haut et tous ceux auxquels je n'ai pas pensé.
De mon point de vue (donc pas forcément partagé), un moyen de communication simple, tout le temps à portée de main, qui ne me dérange ni moi, ni mes interlocuteurs (et si je savais comment, il serait inventé mais ce n'est pas le cas, d’où mon attente).
L'augmentation de puissance a été déjà inventée: reste à la traduire techniquement au fur et à mesure des besoins.
Mais les problèmes d'archivages ne sont pas réglés (des millions de mètres cubes de documents originaux (administratifs, historiques) dont on ne peut se passer, des données en augmentation en même temps que la population et les besoins pour les gérer sans qu'un confort apparaisse vraiment (sauf à titre individuel et pas forcément pour tous).
Des délais de réponses -pour les questions utilisant ces données - (administratives, techniques, commerciales, financières) incompatibles avec une vie correcte (de mon point de vue) et parfois avec la vie (autorisations de santé ou autre mais lui étant nécessaires, qui arrivent trop tard).
Des données qui se perdent, ne sont pas ou plus accessibles ou qui sont accessibles à ceux qui ne sont pas concernés (en particulier pour en faire un mauvais usage (euphémisme)).
Des besoins extrêmement lourds pour gérer ces données à tel point qu'il faut plusieurs métiers spécialisés pour y parvenir - du matériel, du temps, de la place, des immeubles (qui nécessitent des sociétés, donc une énergie conséquente pour les réunir et les mettre en œuvre).
Une consommation non négligeable des ressources qui vont également manquer rien que pour conserver ces données sans forcément améliorer leur sécurité, utilité, productivité ou simplement accessibilité et surtout dont la pérennité n'est absolument pas garantie.
Etc...
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